⭑ 𝐁 𝐎 𝐍 𝐔 𝐒 | II ⭑

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BIENVENUE DANS CE SECOND BONUS.
POUR VOUS REMETTRE DANS LE CONTEXTE, IL SE DÉROULE EN 2025.
UNE PÉRIODE QU'ON N'A JAMAIS VU, ËLLA ET SOHAN ÉTAIENT ÂGÉS DE 5 ANS.

 UNE PÉRIODE QU'ON N'A JAMAIS VU, ËLLA ET SOHAN ÉTAIENT  ÂGÉS DE 5 ANS

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M I R A
🤍🪐






— Eh on va être en retard là dépêche toi wesh, me pressa mon mari en rentrant dans la salle de bain.

— Tu crois que je prépare des empañadas ?! Je suis au courant merci, aide moi à attacher ma robe.

— Hé me parle pas comme aç j'suis pas ton iench Mira, wAllah tu vas m'énerver bêtement.



Je soupirais en essayant de m'apaiser. J'étais stressée et forcément, j'étais désagréable. Mais Nabil n'y étais pour rien. À travers le miroir face à moi, je le voyais contracter sa mâchoire et s'en aller mais je tirais sur sa manche avant pour le retenir. Je souriais doucement en prenant ensuite son visage en coupe, chacune de mes mains posées sur ses joues qui se décontractaient à ce contact. Il souffla.



— Désolée amor, c'est le stress, murmurais-je en déposant un chaste baiser sur ses lèvres.

— Si toi t'es stressée, imagine moi.

— Désolée j'ai dis, il plissa les yeux puis finit par me lâcher un sourire, tu veux bien m'aider avec ma robe por fa' ?

— Toi là t'es une sorcière, ton accent il m'rend trop faible c'est grave, il grogna et je pouffais, allez tourne toi on va faire vite.



J'obéissais en m'appuyant sur le rebord de la vasque, mordant ma joue en sentant ses mains effleurer le bas de mon dos puis remonter lentement avec la fermeture. Il termina par un doux boussah sur mon épaule nue, posant un instant son menton dessus et ses mains le long de mes hanches. On se regardait tendrement dans le miroir. On avait beau être en retard, je pense que lui comme moi avions besoin d'un petit moment rien que tous les deux pour souffler et apaiser les tensions. Parce que la soirée, voire même tout le week-end, qu'on s'apprêtait à vivre, allait être plein d'émotions.




— Allez bouge ton uc', il me donna une petite tape sur le derrière ce qui me fit automatiquement glousser, je me retournais vers lui et posais mes paumes sur son torse pour rapprocher nos corps.

— On va pouvoir y aller, lui souriais-je, ils sont prêts ? Nabil sourcilla.

— Les jum's ? Je confirmais par un hochement de tête, bah j'sais pas, je les ais pas vu depuis hier soir, mes yeux s'écarquillèrent.

n.o.s | 𝐏𝐀𝐑𝐋𝐄 𝐀̀ 𝐌𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant