𝟻𝟶. « 𝐉'𝐫𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐟𝐞𝐫𝐬 𝐍'𝐃𝐀 ! »

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« 𝐽'𝑎𝑖 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑟𝑒𝑟 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑎𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 »

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« 𝐽'𝑎𝑖 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑟𝑒𝑟 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑒𝑠 𝑏𝑟𝑎𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑠𝑒́𝑒 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 »



𝐉𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟗, 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 𝐗𝐈𝐕, 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞





M I R A




- Nan nan bouge Mira, j'joues pas moi j'travaille là.

- Et si je veux pas tu vas faire quoi ?

- J'rigole pas avec toi la vie.

- Tu vas faire quoi Nabil ?

- wAllah arrête.

Je faisais danser mes sourcils en un peu plus mon index contre la gâchette du pistolet en le pointant encore plus près de sa tête. J'approchais dangereusement de son bureau d'un pas prêté. Nabil commença à grincer des dents et rangea les papiers éparpillés devant lui sur qu'il était en train de travailler. Il glissa sa main sous le bureau et le ressorti face à moi avec un pistolet bien chargé. Je laissais échapper un rire nerveux mais il ne me laissais même pas le temps de tirer se dégaina encore plus vite. Tee-shirt Je hurlais en moi retrouvant complètement trempée pile en plein sur mon. Le brun partit dans un fou rire en continuant à m'arroser, il contourna son bureau pour être encore plus proche de moi et me trempait de la tête au pieds.

- ARRÊTE C'EST BON LÀ, criais-je en me bouchant les oreilles.

- C'est toi qu'a commencé wesh !

- Et alors ? Toi faut toujours que t'abuse coño !

- Tu pues l'seum cousine, se moquait-il en ricanant.

En se marrant, il continuait à m'asperger d'eau ce qui me fit crier encore plus. Énervée, je levais mon arme en plein dans son visage et l'arrosait tout en l'insultant dans ma langue maternelle.

- T'aime trop jouer avec le feu toi fais belek après tu vas crier.

Je savais que j'allais sûrement le regretter mais je continue quand même à l'arroser. Sauf que Nabil étant un géant par rapport à moi et vu ma force de moustique, il eut aucun mal à reprendre en me déséquilibrant par une clé de bras, me faisant alors lâcher mon pistolet. Je me remettais à crier mais en riant à gorge déployée en même temps alors qu'il vida entièrement la fin de son réservoir d'eau sur le haut de ma tête. Nabil ricanait aussi en moi locataire fermement le cou.

- OK OK t'as gagné, laisse moi maintenant !

- J'entends pas.

- S'il te plait-

n.o.s | 𝐏𝐀𝐑𝐋𝐄 𝐀̀ 𝐌𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant