𝟼𝟶. « 𝐐𝐮𝐞 𝐋𝐚 𝐅𝐚𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞. »

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| 𝐏 𝐀 𝐑 𝐓 𝐈 𝐄 𝐅 𝐈 𝐍 𝐀 𝐋 𝐄 |

« 𝐿'𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒𝑠 »

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« 𝐿'𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑏𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑡𝑜𝑖𝑙𝑒𝑠 »








𝐌𝐚𝐢 𝟐𝟎𝟑𝟓
𝐁𝐮𝐞𝐧𝐨𝐬 𝐀𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐀𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭𝐢𝐧𝐞








— Je peux prendre ton sweat s'il te plaît le plus beau que j'aime plus que ma vie ? Demanda-t-elle d'une voix toute mielleuse et papillonnant des cils en ouvrant la porte de ma chambre.


Coupé en plein appel, je mettais directement mon portable en mode silence le temps de ce dérangement.


— Quel sweat même ?

— Ton Louis Vuitton, continua-t-elle d'une voix toute douce.

— J'en ai plusieurs, soit précise.


Elle me toisa de haut en bas en pouffant.


— Pardon monsieur le pourri gâté ...

— Pourri gâté moi ? Recommence pas avec ça hein.

— Oui t'es pourri gâté, insista-t-elle, je te rappelle quand t'avais une mini-rayure sur ton téléphone tout neuf et que t'en a reçu un autre juste pour ça ?

— Rien à voir, grinçais-je, je t'ai déjà dit il arrêtait pas d'avoir des beugs c'est pour ça que tonton m'a offert l'iPhone dix-sept.


Elle leva ses yeux au ciel et remettait en place les boucles châtains de son chignon haut.


— Bref si tu veux, pour en revenir à ton sweat je parle de celui qui sèche dans la buanderie.

— C'est la femme de ménage qui s'occupe de ça donc je sais toujours pas de quoi tu m'parle hmara.

— T'es chiant ! Viens voir alors.

— Non j'suis au téléphone avec Camilla, tu me dérange là. Bouge.


Je reprenais mon appel avec ma go, en me retournant sur mon lit pour plus avoir cette casse couille dans mon champs de vision mais au même moment elle décida de rentrer et elle tira sur mon poignet. Déséquilibré par sa force inattendu, je me relevais et elle me tira jusqu'à la buanderie au sous-sol.


n.o.s | 𝐏𝐀𝐑𝐋𝐄 𝐀̀ 𝐌𝐎𝐍 𝐂𝐎𝐄𝐔𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant