Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)

Chapitre 58

Et durant ces vacances je ne rencontre finalement pas de filles sur internet. Ni en dehors d'ailleurs. Je m'ennuie pas mal, comme vous pouvez vous en douter. Du coup je passe pas mal de temps à glandouiller, et surtout à rêvasser à la prochaine étape de ma vie : la fac ! Il faut avouer que cette perspective me réjouit assez. Cela va constituer un changement assez considérable par rapport au bahut. Là, tout est multiplié par cent, par exemple le nombre d'étudiants, et surtout étudiantes, et plus encore les jolies étudiantes... L'âge sera également différent : alors qu'au lycée, la plupart des filles ont entre 16 et 19 ans, il n'y a pas de limite à l'âge des étudiantes. N'allez pas croire que je vais courir la quinquagénaire ! Mais une petite nana de 25-26, ce serait bien sympa. À la fois jeune et expérimentée, ce serait parfait. En plus je le sais d'expérience : les belles nanas sont légion à la fac. Je suis passé à côté à plusieurs reprises l'année dernière, je me souviens notamment d'une belle journée de printemps... Je peux vous dire que je n'avais pas les yeux dans ma poche. Que de canons ! Et bien mises en valeur, avec ça ! Elles m'avaient tout l'air d'être des Coralie ou des Lisa en puissance : coquines, sympa, ouvertes, sexy... Miam. Tous ces p'tits culs, ah là là. Bref je m'y vois déjà.

Je m'imagine la scène : je suis au fond d'un amphi, une bombe assise à côté de moi, avec un joli décolleté bien appétissant et un visage très agréable. Je materais ses seins pendant un long moment, elle m'écrirait « Tu peux arrêter de me mater ? Ça me fait de l'effet ». Je lui répondrais toujours par écrit : « Et moi ça me fait de l'effet de te faire de l'effet ». Elle me répondrait « Ah je peux en savoir plus ? », avant de plonger sa main dans mon caleçon, puis de m'embrasser goulûment. Personne ne nous verrait puisque nous serions au fond. Puis on sortirait du cours, direction les toilettes, et on s'amuserait bien... Et à la fin de l'année, j'aurais « fait la connaissance » de toutes les nanas sexy de l'amphi. Sans parler des soirées universitaires... Bon d'accord je délire. Je suis un fantasmeur professionnel, mais j'ai quand même un minimum de lucidité pour savoir quand je divague et c'est ici le cas. Je sais que ce genre de scénario n'a rien à voir avec la réalité. Mais ça m'évade de rêver ainsi, que voulez-vous. Cela dit, même si sur la forme, je sais que ça ne se passera pas de cette manière, je reste très optimiste devant la perspective de goûter à la vie universitaire. Je ne sais pas, j'ai un bon pressentiment. Enfin, on verra bien...