Chapitre 64

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Quel plaisir en tout cas cette situation. Chauffer une fille terriblement sexy, faire monter son excitation, se faire désirer un max tout en sachant que c'est dans la poche. C'est une situation que je ne connaissais pas, puisque ce rôle incombait jusqu'ici à la gent féminine, et je dois dire que j'y prends goût. Et pas qu'un peu. Parallèlement cette fille m'excite de plus en plus. Je repense souvent aux traits de son visage et surtout à ses courbes délicieuses. Plus d'une fois, il m'arrive de me palucher en pensant à ce que je pourrais faire à la donzelle. Je me vois déverser ma semence dans chacun de ses orifices. Poétique, non ? Quoi qu'il en soit, je commence vraiment à être pressé d'y être. Et j'imagine bien que c'est pareil de son côté. La fois suivante où je croise la belle demoiselle, c'est encore dans l'ascenseur, on descend ensemble. A son attitude, je sens bien qu'elle attend quelque chose, il faut dire que j'ai été plutôt entreprenant les fois précédentes. Mais cette fois-ci je joue l'indifférent, comme s'il s'agissait d'une voisine lambda. Je ne fais strictement rien, me contentant d'un terne et classique « bonjour » et « au revoir » sans même un sourire ou regard ambigu en supplément. Elle devait se dire que cette fois serait la bonne, mais j'ai envie de me faire désirer encore un peu. La pauvre doit rester sur sa faim, c'est peu de le dire.

La fois suivante, je la vois dans l'ascenseur – comme d'habitude, en fait. Elle est une nouvelle fois habillée très sexy, ses seins sont notamment moulés à la perfection. On entre dans l'ascenseur. Dans la montée, je la regarde dans les yeux et lui demande si « ça va », avec un sourire qui a l'air de la faire craquer. « Je t'ai manqué ? » lui demandé-je, ce à quoi elle répond oui de la tête, un peu timidement. « Pareil pour moi », lui réponds-je avant de l'embrasser sur la joue puis de lui rouler une bonne pelle bien gourmande. C'est un long et beau baiser où nos langues dansent l'une avec l'autre, se redécouvrent, s'apprivoisent et manifestement s'apprécient. Je descends mes mains sur son petit cul que j'aime tant pendant que ses bras se trouvent autour de mon cou. Arrivés à notre étage, les portes s'ouvrent. La voisine par réflexe se détache pour sortir mais je la retiens dans mes bras, la smacke et lui dis qu'on n'est pas si mal finalement dans cet ascenseur, pas vrai ? Je lui propose de rester jusqu'à ce que quelqu'un appelle l'ascenseur, ce qui peut durer quelques secondes ou, avec plus de chance, de longues minutes. Elle accepte, bien entendu, si bien qu'on reprend nos petites affaires. Notre baiser se fait toujours plus sensuel et profond, elle ne peut s'empêcher quelques petits gémissements qui m'excitent encore plus, pendant que je continue à lui caresser les fesses.

Je m'attaque désormais à ses seins admirablement généreux qui ne demandent qu'à être câlinés. J'y vais d'abord par-dessus le tissu avant de soulever celui-ci. J'ai la bonne surprise de constater que la coquine n'a pas mis de soutif, il faut croire qu'elle avait prévu le coup ! « J'adore tes seins, bébé », lui dis-je avant de les cajoler avec ma bouche et ma langue. La forme de ses seins est parfaite, bien ronds et volumineux, et je m'attarde particulièrement sur ses tétons gonflés par l'excitation. Un régal que cette situation. Je plonge maintenant ma tête entre ses seins avant une nouvelle fois d'embrasser profondément ma belle partenaire. Mes mains, revenues naturellement sur son cul de rêve, s'attellent désormais à l'exploration de sa petite chatte. Ma main passe outre le pantalon et son string trempé pour titiller son clito, tout aussi gonflé que ses tétons auxquels je viens de goûter. J'accélère le mouvement tout en l'embrassant de plus belle, je la doigte de plus en plus fort, elle a de plus en plus de mal à contenir ses gémissements, alors que nos langues se dévorent toujours plus ! Je continue, continue, continue encore... jusqu'à ce que l'ascenseur finisse par descendre... Quelqu'un vient de l'appeler. Dommage, même si on a quand même eu le temps de faire des trucs bien agréables. Je retire ma main audacieuse, remets le haut de ma belle comme il convient, et me remets à l'embrasser à pleine langue. Une fois que les portes s'ouvrent je me trouve à deux mètres de la belle, comme si de rien n'était. On sort de l'ascenseur, je lui demande si ça lui a plu. « Plutôt » me répond-elle d'un regard coquin, sous-entendant que le mot est faible au vu de ce qu'elle pense réellement. Je lui dis :

« - Demain tu peux sonner à la porte si tu veux. Passe en début d'aprèm, on sera tranquille.

- Ça me va.

- Cool, lui réponds-je en lui mettant une petite main au cul. Si tu le veux bien j'ai une petite idée pour que ce soit plus amusant... »

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant