Chapitre 82

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« - Je vais prendre une petite douche, m'annonce-t-elle ensuite avec un joli petit sourire à la limite de la provocation.
- Tu ? Objection Votre Honneur ? ON va prendre une douche, oui !
- Si tu insistes, bello Paolo.
- Et comment que j'insiste, petite Flavia », lui réponds-je avant de m'avancer vers elle pour l'embrasser goulûment. Je suis déjà chaud comme la braise, et ma belle Italienne le sent en passant rapidement sa main sur la partie cruciale de mon caleçon. Je la suis alors jusqu'à la salle de bains, mes mains sur ses hanches, et me collant toujours plus à elle. Arrivé au seuil, je la serre de plus en plus fort, ma queue collée à son petit cul. Seuls nos sous-vêtements respectifs font vaguement barrière, même s'ils n'empêchent pas l'excitation d'être à son comble. Une fois dans la salle de bains, on s'embrasse toujours plus profondément, voire sexuellement. Quelle intensité ! Je lui caresse notamment ses fesses, d'une grande douceur, en passant ma main sous sa petite culotte, et en alternant avec son soutif, que je finis par dégrafer. Dans le même temps, pendant qu'on continue à s'embrasser, la belle passe sa main sous mon caleçon pour entamer quelques caresses bien agréables, en alternant avec mes boules... Je lui enlève sa culotte, elle m'ôte mon caleçon et on entre dans la douche. C'est une douche sans pommeau, comme à la piscine, il suffit d'appuyer sur le bouton pour faire « pleuvoir » l'eau, ce qui est plus pratique, en ce genre de circonstances...

On s'embrasse toujours plus, je lui adresse des caresses de plus en plus prononcées voire osées. Un pur délice, surtout au vu des formes voluptueuses de la belle Italienne. Je me rue sur ses seins, que je cajole notamment avec ma langue, puis elle joue avec ma queue. Elle la caresse, dépose des petits coups de langue, la prend en bouche, puis la frotte contre ses tétons... Je suis comme un fou. Je l'embrasse ensuite une nouvelle fois, tout en passant un puis plusieurs doigts dans son antre manifestement brûlant de désir. Je l'entends gémir de plus en plus fort. Je me permets même avec mon autre main de lui mettre quelques claques sur ses fesses. Puis elle m'enfile une capote, et me présente son petit cul. Ni une ni deux, je la pénètre, ce qui a le don de la faire gémir de plus en plus fort au fur et à mesure que j'accélère la cadence, mes mains sur sa taille. Quel bonheur. J'adore ça, et elle aussi, apparemment. Elle enchaîne les « si, si, Paolo » pendant que je lui dis « t'aimes ça bébé hein » en disant parfois des trucs plus crus, puis j'accélère de plus en plus, jusqu'à ce que je me décharge ! Je jouis dans le petit trou de ma petite Flavia, miam. Puis on s'embrasse délicatement mais néanmoins profondément avant de se passer du gel douche sur tout le corps, puis de s'essuyer. J'adore le moment où je passe la serviette sur les seins de la belle. Puis on prend notre petit déj. Voilà une bonne journée qui commence !

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant