Chapitre 21

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Nous nous voyons donc le plus souvent possible, mais les deux semaines passent malheureusement très vite. Je vois Lola une dernière fois la veille de son départ : elle vient à la maison passer l'après-midi. La dernière avant bien longtemps... Nous sommes assis l'un à côté de l'autre sur mon lit. Je vais à la recherche de ses lèvres et de sa langue et on s'amuse comme ça pendant de longues (mais courtes) minutes. Un vrai régal. Dans le même temps je lui caresse ses beaux cheveux et un peu sa poitrine. On termine par un smack et on se regarde amoureusement. Je lui embrasse son joli nez et frotte le mien contre le sien. Elle me dit :

« - C'est fou quand même. Je me souviens pendant les dernières vacances. Je n'arrêtais pas de te regarder, et toi tu ne voyais rien. Tu avais l'air obnubilé par cette fille qui m'a demandé mon numéro pour toi. J'essayais de retenir ton attention, mais impossible.

- Oui, je sais, je suis aveugle. Il faudra que je sois plus vigilant la prochaine fois qu'une fille me fait du gringue ! lui réponds-je en lui lançant un clin d'œil.

- Goujat ! Tu me dis ça la veille de mon départ, ce n'est pas très rassurant !

- Je te taquine, ma belle. Bon, je reconnais que la blague n'est pas de très bon goût. Comment pourrais-je me faire pardonner ? Je me le demande bien.

- Cherche et tu trouveras, la réponse n'est pas loin ! » dit-elle en riant.

Je l'embrasse alors sensuellement de longues secondes avant de pousser un peu plus mes caresses. Pendant que nos langues se dévorent mutuellement, j'enlève le haut de ma belle, qui se retrouve ainsi en soutien-gorge. J'admire la poitrine de ma chérie quelque temps avant de dégrafer le soutif et de libérer ses seins. Je peux désormais les dévorer, ce que je fais avec grand appétit, ce qui fait gémir ma belle. Je lui enlève ensuite son pantalon et sa culotte, avant qu'elle m'enlève à son tour mes vêtements, ce qui lui permet de constater l'ampleur de mon érection. J'infiltre deux doigts dans sa petite chatte, et décide d'y fouiner un peu avec ma langue. Lola a l'air d'apprécier, surtout quand je mets des petits coups d'accélération bien sentis. J'aime changer de rythme. Je quitte sa chatte et lui demande de s'occuper un peu de ma queue toujours aussi dure. Ma chérie me la lèche et décide même de me faire une petite branlette espagnole. Alors que je suis allongé sur le dos, ma belle frotte ses seins contre ma queue tout heureuse. Même si sa poitrine n'est pas aussi généreuse que celle de Lisa, c'est tout de même un vrai plaisir. Puis Lola s'empale sur ma queue. Je suis terriblement excité. Encore plus que d'habitude. Cette intensité inédite est probablement due au fait que nous n'allons plus nous voir pendant un long laps de temps. Toujours est-il que je la lime avec une ardeur impressionnante en poussant des grognements de plus en plus sourds, alors que ma chérie gémit comme jamais, hurlant : « c'est trop bon ! » à plusieurs reprises. Et je finis par me vider, pour un moment unique d'extase commun, avant que j'embrasse ma partenaire toujours aussi sensuellement.

« - Mon chéri, ça va être trop dur, sans toi.

- Tu vas me manquer aussi, ma puce. »

On reste comme ça quelque temps, avant de se rhabiller. Je la raccompagne jusqu'à la bouche de métro, où on s'embrasse langoureusement. Là encore, la saveur est spéciale, puisqu'il faudra attendre six longues semaines avant de pouvoir goûter à nouveau aux douces lèvres de ma chérie. Je réalise qu'elle a les larmes aux yeux. On se serre très fort dans les bras, et on s'embrasse une toute dernière fois, avant que je lui dise :

« - Allez mon ange, profites-en bien. Tu vas beaucoup me manquer.

- Ça va être dur d'en profiter si loin de toi, mon chéri. Bon je dois y aller. Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime, bébé. »

Et elle finit par s'en aller. Elle me fait coucou de loin, avant de disparaître définitivement de mon champ de vision... Pour six longues semaines...

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant