Chapitre 79

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Le lendemain, je suis réveillé par la belle Flavia. Il est convenu que nous partions ensemble à l'école, puisque nous avons cours à la même heure. Et la belle Italienne, bien plus lève-tôt que moi, est déjà réveillée depuis belle lurette quand elle me dit à l'oreille :

« - Allez Paolo, il faut se réveiller !

- Pas envie... Un petit bisou me donnerait de la motivation. »

Elle me donne alors un baiser sur la joue, bien agréable. Surtout que la belle, qui vient de prendre sa douche, est toute fraîche.

« - Grazie, Flavia, voilà une journée qui commence bien. »

Je me lève, prends mon petit déjeuner, me lave et on va prendre notre bus. Il n'y a qu'une seule place pour nous deux, je lui propos la mienne en galant homme que je suis toujours – du moins quand je veux séduire une fille –, mais elle a une autre solution : elle me propose la place et s'assoit sur mes genoux. Décidément, on est souvent collés l'un à l'autre, elle et moi. Après le scooter, c'est la place de bus, et c'est tout aussi émoustillant qu'hier. Accueillir son petit derrière sur mes genoux n'est pas désagréable, et puis je peux en prime sentir son doux parfum et humer sa belle chevelure. À un moment, le bus met un bon coup de frein. Je joue alors la ceinture de sécurité en retenant par la taille ma belle Italienne. Elle me dit « grazie mille, Paolo », comme si je venais de lui sauver la vie. Bien entendu, elle sait qu'il n'y avait rien de périlleux dans cette situation, mais on fait comme si, pour faire plus romanesque. Je laisse mes mains sur ses hanches, en les caressant un peu, en n'omettant pas de m'attarder sur sa zone sans tissu, pour caresser ma belle à même la peau. Tout cela m'excite fortement, sans parler évidemment de ce petit cul qui me nargue, et qu'elle remue de temps à autre... Puis on arrive. Déjà ! Durant la journée, je suis un peu ailleurs, pensant à ma prochaine confrontation avec la jolie Transalpine. Celle-ci arrive en fin de journée, durant le trajet retour. Encore dans le bus ! J'ai le plaisir de découvrir qu'on termine à la même heure, étant donné que sa prof est absente. Sa vision me remplit d'allégresse, tout autant que d'espoir. On entre, mais il y a cette fois encore plus de monde, donc pas de place assise, et très vite le bus se remplit de façon conséquente. Une mauvaise nouvelle ? Disons que ça dépend de qui on est accompagné. Pour ma part je n'ai pas trop à me plaindre...

Tout naturellement, on se retrouve dans une situation excitante, moi collé derrière elle, sans que je me souvienne qui a fait le premier pas : je ne sais plus si c'est elle qui s'est mise devant moi ou moi derrière elle. En tout cas le résultat est là, et c'est le principal. Une nouvelle fois, je me retrouve donc très proche de la douce Flavia, notamment de son petit cul que je désire tant. Elle le colle à mon entrejambe déjà en feu. J'adore. Elle fait comme si de rien n'était, mais de temps à autre, remue son petit derrière, comme ce matin, mais cette fois c'est encore plus efficace, car elle le remue contre une zone particulièrement sensible... qu'elle doit bien sentir d'ailleurs. Encore une fois, je mets de temps en temps ma main sur sa taille, et serre fortement ma belle contre moi, comme pour lui signifier tout le désir qu'elle m'inspire. Pour toute réponse, elle se laisse faire et remue encore plus son petit cul... Je n'en peux plus. J'ai une telle envie d'elle ! À plusieurs moments, me vient l'idée de promener ma main dans une zone pour l'instant encore inexplorée, je parle bien sûr de la zone cruciale ! Mais ce ne serait pas extrêmement discret, et puis on n'est quand même pas en boîte de nuit, et je me dis que ce sera pour une prochaine fois, que j'espère très proche ! Finalement, on reste dans cette délicieuse position, puis on arrive. Mais survient un petit imprévu sur notre chemin de retour : alors qu'il faisait beau jusqu'ici, voilà l'orage ! Eh oui, n'oublions pas qu'en Irlande, comme le veut l'adage, il pleut quatre jours sur trois ! Et elle comme moi avons ce matin oublié de prendre de quoi nous protéger – pas de double sens dans cette phrase, hein. Heureusement que la maison est toute proche. Pas assez cependant pour que ma belle Flavia puisse éviter de se faire entièrement tremper, et honnêtement, quand je suis à la maison, je réalise que ça vaut le coup d'œil : cela me permet de mieux voir ses formes alléchantes, en particulier ses seins, et ses tétons durcis. Miam. En prime, Flavia me jette un regard un peu coquin. Elle est bien loin, sa (fausse ?) pudeur d'il y a quelques jours ! La belle me dit avec un regard ambigu qu'elle va se changer dans la salle de bains. Honnêtement, j'ai comme l'impression qu'il faut y voir une invitation pure et simple, et je suis très tenté d'aller la rejoindre, d'ailleurs je suis sur le point de le faire lorsque je suis stoppé par Mrs O'Hara qui vient me parler des coins sympas de la région (je l'avais interrogée à ce sujet la veille). Coupé dans mon élan !

Lorsqu'elle revient toute fraîche dans la chambre, la belle Italienne vient me demander de lui apprendre à parfaire son français. Je me mets à côté d'elle sur son lit, lui propose un livre que je lui propose de lire à haute voix. J'aime bien son petit accent chantant, ses hésitations et ses efforts pour parler la « langue de Molière », on dirait un petit enfant, c'est mignon. S'ensuit en tout cas très vite un jeu de séduction entre nous bien sympathique : on devient l'un avec l'autre de plus en plus tactiles, elle n'hésite pas à me toucher les avant-bras, à me lancer des sourires coquins tout en passant de temps à autre sa langue sur ses lèvres, quant à moi, je prolonge ses regards appuyés, lui caresse de temps à autre son visage et ses cheveux, pour passer enfin à sa taille, puis à son petit cul de rêve. J'y vais au départ assez timidement, et comme elle se laisse faire, j'éternise mes caresses sur cette zone que j'apprécie tant. Quelle douceur, quel plaisir. Tout en continuant à la regarder langoureusement, je lui caresse ensuite l'épaule puis un sein, mais à l'exact moment où mes lèvres s'avancent vers les siennes, la fille O'Hara vient nous annoncer que « the dinner is ready ». Aïe ! Moi qui pensais qu'il n'y avait que dans les séries télé que ce genre de « coupure » arrivait ! Enfin, j'ose espérer que ce n'est que partie remise, d'autant que la belle ne me laisse pas tellement souffler à table : alors qu'elle est juste devant moi, elle m'envoie des regards qui en disent long tout en passant régulièrement son pied sur ma jambe, oscillant entre mon pied et mon genou. Elle le passerait sur mon entrejambe que ça ne m'exciterait pas davantage. Je suis comme un fou. Le contact physique avec une jolie fille, quel qu'il soit, fait toujours son effet, mais le côté « caché » de la situation rend celle-ci encore plus excitante, sans parler de tous les moments de plaisir que ce petit jeu augure. Je n'en peux plus. Cette petite Flavia, j'ai une folle envie de la sauter ! Vous excuserez le caractère un peu cru de mon propos, mais là j'ai du mal à garder ma sobriété. Et puis ça fait quand même un certain temps que je ne suis pas passé à l'action avec une fille, alors oui, il faut appeler un chat un chat : j'ai une grande envie de baiser ! Et je pense que ma belle Italienne l'a très bien compris, et profite de la situation pour (gentiment) me torturer, avant, j'imagine, de s'offrir une bonne fois pour toutes à moi. Pour prolonger la « torture », la belle s'absente deux bonnes heures après le repas. Pour se promener, peut-être, mais aussi, sans doute, pour continuer à se faire désirer. Et ça marche : durant ces deux heures, je ne pense à rien d'autre ! Finalement, elle revient, toujours aussi sexy avec notamment un petit haut qui lui moule bien les seins Elle me fait un joli sourire et s'allonge sur son lit pour lire tranquillement le bouquin que je lui ai passé. J'adore les lignes de son corps que j'admire ouvertement. Je craque également pour son petit soutif qui dépasse un peu de son haut. Mais très vite je suis à bout, et lui propose d'un ton faussement détaché de continuer notre petite « conversation » de tout à l'heure : elle me fait alors une petite place sur son lit, je m'approche et me colle à elle, pose une main sur son ventre, lui embrasse le cou puis la joue. Elle continue à se laisser faire. Puis je passe assez vite à ses lèvres, pour un baiser qui n'a rien de bien chaste. Un baiser gourmand, sensuel, voire sexuel, pendant lequel je me dis qu'enfin, je vais pleinement goûter aux délices de ma belle Flavia...

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant