Chapitre 38

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Ma belle Coralie plonge donc sa main dans mon pantalon. Le simple contact entre sa douce main et mon caleçon suffit à faire son effet. Elle empoigne ma queue à travers le tissu puis s'aventure vite en dessous... Coralie a maintenant sa paume sur ma queue, sans faire de mouvement, excepté pour titiller de temps en temps mes boules... Je suis chaud comme la braise ! Et Coralie semble prendre un malin plaisir à m'exciter de la sorte. Je la supplie :

« - J'en peux plus, bébé, j'ai trop envie, là.

-Hmm, j'aime ces moments où le mec est dans cet état, prêt à me sauter dessus. Bon, on va dans ma chambre ?

- Je n'attends que ça !

- Attends, il faut que j'envoie un ou deux textos, d'abord ».

Bien sûr, ce n'est qu'un prétexte pour temporiser : cela lui prend quand même plusieurs minutes (interminables de mon point de vue !), et on y va. J'ai la main sur sa hanche, la descendant de temps en temps sur ses fesses bien moulées dans son pantalon serré... Arrivés dans sa chambre, je la déshabille d'emblée. Je commence par son haut et son soutif, pour pouvoir me ruer sur ses petits seins que j'apprécie tant. Je les embrasse, les câline et les lèche comme il se doit. J'embrasse profondément ma partenaire, qui commence à avoir de légers frémissements, qui se transforment en gémissements quand, à mon tour, je passe ma main dans son pantalon... J'y sens un string humide et m'aventure dans sa petite chatte trempée... J'enlève vite son pantalon et son string, j'écarte les jambes de Coralie pour voir sa petite chatte qui m'a l'air bien hospitalière. Sans faire de détour, je plonge mon nez dans son antre, avant de littéralement le dévorer. Coralie pousse des gémissements comme jamais je ne lui ai entendus jusque-là. Je ne laisse aucun répit à son vagin, que je harcèle de coups de langue dévastateurs. Je n'oublie pas non plus son clito gonflé, que je déguste en le suçant et en le léchant. Coralie est aussi chaude que moi, si ce n'est plus.

Elle finit par me dire : « J'en peux plus, prends-moi.... ». J'aime ce revirement de situation. Tout à l'heure c'était moi qui lui disais que je n'en pouvais plus, et maintenant c'est son tour : voilà un retournement qui n'est pas pour me déplaire. Cela dit, je dois avouer que je suis moi-même tout aussi bouillant, et entendre les mots qu'elle vient de prononcer m'excite toujours plus. Je retire ma bouche de sa petite chatte, et elle se met à genoux, en position de levrette. Je mets quelques tapes sur son petit cul qui me nargue dans cette position, enfile une capote, et pénètre la chatte en feu de Coralie, que je lime avec une ardeur peu commune. « C'est trop bon, j'adore quand tu me baises », me dit-elle, ce à quoi je réponds : « J'adore te prendre sauvagement, te traiter comme la petite salope que tu es », puis je continue à la pilonner jusqu'à l'explosion. Elle gémit toujours plus fort, et quant à moi, c'est un pied terrible. Fabuleux. Je me détache et embrasse Coralie, avant de lui demander :

« - J'y suis pas allé trop fort dans ce que je t'ai dit, j'espère ?

- T'inquiète pas, les mots crus ne me dérangent pas, loin de là... De toute façon, si ça me posait problème, je te le dirais...

- Ok, parce que j'aime bien en dire, mais j'ai peur de te manquer de respect, que tu le prennes mal... Enfin, quand je pense que demain c'est le dernier jour, tout ça va tellement me manquer, bébé.

- C'est vrai que c'est le dernier jour. Il va falloir qu'on profite au maximum de ces derniers moments passés ensemble... À ce propos, je connais une fille qui a une chambre où il n'y a que deux personnes. Sa colocataire part demain soir, je lui ai donc demandé si ça ne la dérangeait pas d'échanger sa place avec la mienne. Comme elle n'a pas de mec et qu'elle est plutôt cool, elle a accepté : on aura donc sa chambre pour nous tout seuls pour la dernière nuit, c'est pas une bonne nouvelle, ça, Paulo ?

- Oh que si, super nouvelle ! C'est le moins qu'on puisse dire... », lui réponds-je, en me réjouissant à l'idée de passer une nuit entière avec la belle et coquine Coralie...

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant