Chapitre 40

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On entre donc dans la chambre, moi juste derrière elle. Je la stoppe, la serre contre moi, l'embrasse dans le cou, puis aventure ma main dans son entrejambe : mon doigt vient s'immiscer dans sa petite chatte déjà mouillée par l'excitation. Elle pousse un petit gémissement et remue son petit cul contre ma queue toute dure. Je lui murmure à l'oreille : « Si tu savais à quel point j'ai envie de toi, ma belle ». Elle se retourne et me dit : « Oui je l'ai déjà bien senti », avant de passer sa langue sur mes lèvres, de se baisser et d'embrasser mon engin par-dessus mon pantalon, en me lançant des regards sans équivoque... Alors je la relève et l'embrasse à pleine langue, avec grande ardeur, on se dévore, c'est tellement bon ! Je continue à l'embrasser tout en la pressant contre le mur et en lui caressant les fesses, elle de son côté me caresse les cheveux. J'ai une terrible envie de la prendre ici même, et ça a l'air d'être pareil de son côté ! Alors qu'on est toujours habillés, je baisse sa mini-jupe et son string, elle fait de même avec mon fut et mon caleçon, puis m'enfile une capote : j'entre en elle d'emblée.

La posséder comme ça alors qu'elle est « dos au mur » est terriblement jouissif, on pousse des gémissements et grognements de plus en plus forts au fur et à mesure que je la pénètre de plus en plus intensément. Je lui dis « T'es bonne, bébé, j'adore te baiser », je caresse ses fesses et les claque de temps à autre, puis je jouis en elle. C'est tellement bon ! Coralie aussi a l'air de prendre un pied incroyable. Nous qui voulions être discrets (après tout on n'est pas censés dormir dans cette chambre), avons plutôt manqué notre coup avec le boucan qu'on a fait, mais pourquoi se priver, après tout.

Après la jouissance, je lui dépose un baiser dans le cou puis l'embrasse tendrement et langoureusement, pour terminer par un petit smack, au cours duquel elle laisse échapper un petit gémissement. On se déshabille puis on se couche, après avoir échangé quelques baisers. Je suis fourbu, il faut dire que ce moment, bien que bref, a été d'une grande intensité : j'ai donc besoin d'un peu de repos pour reprendre des forces. Je m'endors assez vite puis me réveille une ou deux heures plus tard. Coralie dort encore, je trouve mignon de la voir dans les bras de Morphée, elle a l'air si sereine. Elle finit par se réveiller. Je la laisse reprendre ses esprits, puis elle m'embrasse tendrement, pendant que je lui caresse dans le même temps les cheveux et les fesses. On reste allongés côte à côte, les yeux vers le plafond, contemplatifs. Elle finit par rompre le silence par une question typiquement féminine :

« - À quoi tu penses ?

- À Célia, mon ex de la semaine dernière.

- T'es gonflé, dis donc ! Tu me dis si je te dérange, hein !

- Héhé non je ne pense pas à elle de ce point de vue là. Je me disais simplement que c'est dommage pour elle qu'elle soit bloquée comme elle est. Un mec lui a mis la pression pour coucher avec elle alors qu'elle n'était pas prête, et maintenant elle ne veut plus entendre parler de sexe. Je la comprends, je ne la juge pas (par contre, le mec, quel bâtard !) mais c'est quand même dommage pour elle. Je veux dire : c'est tellement bon de s'envoyer en l'air. Toutes les filles avec qui j'ai couché, j'ai pris un pied terrible, et avec toi, n'en parlons même pas. Je trouve ça dommage. À cause du connard qu'elle a rencontré, elle est traumatisée, et doit se priver de super moments !

- Tu sais, elle est encore jeune. Et puis elle a le temps de cicatriser, je suis sûre que le fait de t'avoir rencontré va la réconcilier avec les mecs. Un mec doux et qui ne met pas la pression, c'est ce qu'il lui fallait. Si je comprends bien, tu trouves ça dommage pour elle qu'elle ne couche pas, mais tu dois aussi trouver ça dommage pour toi, je me trompe ?

- J'avoue que j'aurais pas mal aimé coucher avec elle. Je te le dis à toi parce que je sais que tu me jugeras pas, et puis on est plus potes qu'autre chose, pas vrai ? J'avoue que j'étais fasciné par son corps. Ses seins, notamment... J'en ai jamais vu d'aussi beaux... Désolé pour toi hein !

- Tu n'as pas à l'être, je sais bien que ce n'est pas mon point fort. Et tu penses que tu la reverras ?

- Sans doute pas, elle est de Toulouse, et puis ce n'était qu'un flirt de vacances. Bah de toute façon, c'est pas une affaire d'État.

- Et ta copine Lola, t'en es où ?

- Je sais pas trop, je suis un peu perdu en ce moment. C'est une fille merveilleuse, rien à dire là-dessus. C'est ma p'tite Lola. Mais en même temps, je suis fasciné chaque semaine par une nouvelle fille...

- Ah donc je te fascine quand même un peu ?

- Of course ! Tu le sais bien, non ?

- Bon, alors maintenant que tu m'as exprimé ta fascination pour ton ex, si tu me rassurais un peu : dis-moi ce qui te plaît chez moi.

- Beaucoup de choses, petite Coralie. Dès le départ, j'ai été attiré par ta « présence », ton assurance, ton dynamisme. Toutes ces qualités sont assez rares, je trouve. Et physiquement tu es une vraie beauté. J'adore ton visage, tout en harmonie, ton nez bien dessiné, ta bouche sensuelle... J'aime aussi beaucoup ton corps. Même si tu as de petits seins, ils s'accordent parfaitement avec le reste, quant à tes fesses... une merveille. Tu es consciente de la perfection de ton petit derrière ?

- Oui, je sais qu'il plaît beaucoup. Les mecs le matent sans cesse, et tous ceux avec qui j'ai fricoté m'ont complimentée là-dessus. Il faudra d'ailleurs qu'on m'explique ce qui vous fascine tant chez les fesses des filles. Quand tu réfléchis à... leurs fonctions, bon, c'est pas si sexy que ça, finalement (elle rit).

- Moi aussi je me suis déjà fait la réflexion, mais il faut croire que cette fascination est totalement irrationnelle. Reste que j'adore le cul des filles, et le tien plus particulièrement. Regarder un p'tit cul, le caresser, etc. (tu imagines bien ce que ce « etc. » signifie !). Ah là là ! Sinon, j'aime aussi tes pieds. Tu as des pieds typiques de filles : tout petits, tout mignons, j'adore. Et tes mains aussi. Des mains toutes petites, toutes douces, qui ont l'air tout innocentes... alors qu'elles ne le sont pas forcément !

- Héhé, et mes cheveux, non ?

- Si, bien sûr. Ils sont très beaux.

- Et sensuels, aussi, dit-elle en se penchant vers mon entrejambe et en laissant traîner ses cheveux sur ma queue, durcissant automatiquement... Hmm, je vois qu'on reprend des forces... Bon, à mon tour maintenant de te dire ce qui me plaît chez toi, cher Paulo. Malgré les petits défauts dont je t'ai parlé la dernière fois, j'apprécie beaucoup ta personnalité, très douce. Tu es un peu ailleurs, mais c'est ce qui te rend intéressant, et puis tu inspires confiance. C'est un bon point pour toi, sache-le à l'avenir : c'est une qualité à laquelle les filles sont très sensibles.

Et physiquement, tu es très agréable. Tu n'es pas extraordinaire non plus, d'ailleurs au premier regard, il faut bien reconnaître que tu ne crèves pas les yeux, mais tu m'as quand même plu assez vite. Finalement on retrouve dans ton visage la douceur de ta personnalité, c'est une harmonie qui ne manque pas d'attrait. Tu as des beaux cheveux aussi (détail auquel je suis plus sensible que toi apparemment, enfin, sauf dans certaines situations !), et un joli sourire. Bref, mon cher Paulo, sans être Mister Univers, tu es bien séduisant ! Ah et il y a encore une dernière chose que j'apprécie chez toi, je vais te la montrer...

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant