Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)

Chapitre 85

Le lendemain, après les cours, on décide tous les trois d'aller au pub. On y va en bus, je suis entre les deux jolies nanas. Leur simple présence suffit à me chauffer un max. C'est simple : je sens mon cœur battre plus vite et mon entrejambe s'affoler. Il faut dire que je suis en train de penser à des choses pas très catholiques... Je me permets de poser mes mains sur leur cuisse, ce à quoi elles répondent chacune leur tour par un sourire séduisant... Bref, jusqu'ici tout est très chaste, mais j'apprécie quand même ce « calme avant la tempête » de demain, voire même de tout à l'heure ! On entre au pub et on commande une guinness. Une bière peu à mon goût (en plus je n'aime pas la bière...) mais qui j'espère va permettre de détendre encore plus l'atmosphère. La petite Derya me demande de lui parler français. Je lui dis alors : « Tout comme la belle Flavia, tu es délicieusement séduisante et je veux connaître en ta compagnie tous les délices de la volupté », avant de dire : « Ou si tu préfères : j'ai très envie de toi dans mon lit ma belle ». Elle me dit qu'elle aime bien quand je parle français. Voyant que la jolie blonde commence à « chauffer », ma belle Flavia s'en approche, passe une main sur sa hanche, l'embrasse sur la joue avant de lui rouler une pelle mémorable. Voir deux jolies filles s'embrasser ainsi, en particulier dans ces circonstances, est diablement excitant. Je pense d'ailleurs que c'est un peu le but de ma belle Flavia. J'adore voir ces deux langues se découvrir avec gourmandise et manifestement une grande délectation.

Après leur baiser, elles me regardent toutes deux avec un regard provocant. « Vous êtes toutes belles, les filles, vous me donnez tellement envie », leur dis-je, toujours en français dans le texte. Je me prends une deuxième bière histoire de me détendre encore plus et j'embrasse ma belle Flavia bien profondément, avant de passer à la belle Derya. C'est un vrai régal de pouvoir embrasser deux (belles) filles à la suite. C'est un baiser profond et plein de désir et de fougue. D'autant plus que, contrairement à ma belle Flavia, je n'avais encore jamais embrassé la petite Turque. C'est donc chose faite. J'en profite aussi pour tâter les courbes de la jolie blonde. C'est d'autant plus agréable que la belle s'est habillée moulant. Miam. Flavia finit par nous séparer et me dire : « La suite demain après-midi, cher Paolo ». On sort du pub et une nouvelle fois, Flavia embrasse Derya profondément. Là encore je suis diablement excité, j'en profite même pour caresser les ptits culs de mes belles demoiselles, eh oui je ne perds pas le nord ! Derya me dit au revoir en me faisant une bise chaste, qui contraste avec le baiser de tout à l'heure, et surtout avec la partie de jambes en l'air de demain ! En tout cas je suis chaud comme la braise, et c'est ma belle Flavia qui va en profiter ce soir : dès notre retour à la maison, je la déshabille et lui fais l'amour avec un désir particulièrement ardent. « A demain, ma belle », lui dis-je. Elle me répond « A domani, bello Paolo » avant de m'embrasser fougueusement. Puis je tombe dans les bras de Morphée. Vivement demain.