Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)

Chapitre 131

On quitte donc la salle main dans la main. Une fois sortis, on se regarde de manière tendre et complice, avant de s'embrasser une nouvelle fois, avec un doux mélange de tendresse et de désir. En fait, au fur et à mesure de notre baiser dure, le désir l'emporte assez largement... On se serre de plus en plus fort, et mes mains, le plus souvent sur ses hanches, s'aventurent par moments sur ses fesses. Quant à nos langues, elles se dévorent avec toujours plus d'ardeur... On conclut par un smack, puis elle me dit : « On va chez toi ? ». « J'allais te le proposer », lui réponds-je, ravi que la belle prenne les devants, et plus encore de la perspective de ce moment pour le moins intime qu'on va partager tous les deux ! Au départ, on pense rentrer à pied mais le hasard fait que le bus arrive pile au bon moment, et comme il y a quand même une petite trotte, on décide de le prendre. Comme ça, on sera plus vite arrivés. Malheureusement (ou pas !), il ne reste plus qu'une seule place : je décide de la prendre et propose à la belle de s'asseoir sur mes genoux... Évidemment ce contact fait tout de suite son petit effet, et s'avère une mise en bouche bien sympathique de ce qu'il va se passer à notre arrivée ! Je n'hésite pas à poser mes mains sur les hanches de Diane, tout en embrassant de temps à autre son épaule, et en me laissant envoûter par les effluves de son doux parfum... Elle, de son côté, prend ses aises et fait en sorte de multiplier les contacts entre son petit cul avec mon engin en feu... Cela lui permet de prendre la pleine mesure de mon excitation maximale ! Je suis comme un dingue ! Ce merveilleux supplice dure de longues minutes, avant qu'on arrive enfin à bon port.

On descend du bus, et je l'embrasse à nouveau en lui disant « Tu m'as rendu dingue, dis donc ». « Oui je l'ai bien senti », me taquine-t-elle. Puis on marche jusqu'à chez moi. Pour ma part je suis dans un état second, et même totalement décomplexé, puisque je fais tout ce chemin la main sur le petit cul de ma belle... Et apparemment ça n'a pas trop l'air de la déranger... On arrive, je suis presque tremblant en prenant mes clés et quand je cherche à ouvrir la porte. Je lui propose à un jus de fruit, là encore, j'essaie tant bien que mal de ne pas en renverser la moitié à côté. On s'assoit sur le canapé, on trinque, on boit une gorgée, et on se regarde dans les yeux. Elle me sourit, un sourire pour lequel je craque littéralement : ne pouvant tenir davantage, je me penche sur ses lèvres pour y goûter à nouveau. Nos langues se dévorent une nouvelle fois, pendant que je commence d'emblée à enlever son top, puis son soutif. L'appel de ses jolis petits seins est trop fort : je me rue dessus pour les déguster buccalement ! Ma chérie enlève ensuite mon t-shirt et s'assoit de nouveau sur moi, comme dans le bus, en frottant toujours plus ses fesses contre moi, qui suis toujours plus dur... En guise de réponse, je l'embrasse profondément en lui caressant bien son petit cul de rêve... Je lui enlève son jean et son string, elle fait de même avec mon pantalon, s'amuse à caresser et embrasser mon engin par-dessus mon caleçon, puis finit par l'enlever, ce qui lui confirme que je suis déjà prêt à l'action !

Elle prend ma queue en bouche en me fixant de son regard inoubliable, joue avec mes boules, en taquinant aussi régulièrement mon gland... Puis elle se lève, se penche sur son verre (ce qui me permet une vue bien sympathique sur son petit derrière), et le boit tranquillement, lentement, alors que de mon côté j'ai plutôt envie de consommer autre chose ! Elle boit en me taquinant du regard, sentant bien que je n'en peux plus. Puis elle se penche sur ma queue de manière à faire glisser ses cheveux dessus (merveilleux contact !), embrasse une nouvelle fois mon gland puis vient enfin s'empaler sur mon engin. Je l'embrasse profondément en lui agrippant les fesses pendant que je la pénètre de plus en plus fort. Ses gémissements sont de vrais plaisirs auditifs ! Ça dure de plus ou moins longues minutes comme ça (je n'arrive pas vraiment à me rendre compte, vu l'importance de mon trouble !) jusqu'à ce que j'explose enfin en elle ! Un pur délice, conclu par un long baiser langoureux. « Merci ma chérie », lui dis-je simplement, ce à quoi elle répond tout aussi simplement par un sourire ensorcelant. Bien agréable premier « contact » avec ma belle Diane, donc...