Chapitre 42

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Le lendemain au réveil, Coralie est déjà éveillée : elle m'embrasse, et me propose une petite douche. Comment refuser ? Elle m'y amène en me prenant délicatement par la main. Dans la salle de bains, j'enlève son top et son string, quant à elle, elle m'ôte mon caleçon : elle a bien compris à la forme proéminente de celui-ci qu'il fallait libérer la bête ! Je savonne ma belle en insistant bien sur ses seins et plus encore ses fesses. Elle fait de même pour moi : elle passe du savon sur chaque centimètre de mon corps avec une infinie douceur. C'est très agréable... et très excitant, et Coralie ne manque pas de constater avec amusement le fruit de cette excitation... Une fois rincés, elle me lèche subrepticement la queue avant de la prendre en main : la belle me branle lentement avant d'y aller crescendo.

Cette fois-ci, elle ne ralentit pas pour faire durer le plaisir, bien au contraire : elle m'astique le manche de plus en plus vite tout en se baissant pour que sa tête soit à la hauteur de l'objet de ses caresses, et juste avant que je déballe tout, elle me prend en bouche pour tout avaler. Sacrée Coralie ! J'embrasse alors ma belle à pleine langue, de plus en plus profondément. La coquine a l'air bien chaude, et plus encore lorsque j'insère dans sa petite chatte deux doigts qui pour leur grand plaisir apprécient le taux d'humidité ambiant. Je continue à l'embrasser profondément tout en la doigtant de plus en plus fort en me concentrant toujours plus sur son clito. Ma partenaire ne peut réprimer des gémissements de plus en plus sonores accompagnés d'encouragements bien agréables du type « Continue, c'est trop bon, ça me rend dingue ! » jusqu'à ce qu'elle jouisse en hurlant ! On se regarde tendrement avant de s'embrasser de nouveau, cette fois-ci avec douceur. Je lui murmure à l'oreille : « mon successeur en a de la chance », ce qui la fait sourire.

On descend ensuite prendre le petit déj. Après nos exploits de cette nuit, nous réalisons que nous avons une faim de loup. En ce qui me concerne, je n'ai jamais mangé du séjour avec un tel appétit. Je dévore tout ce qui me passe sous la main, en embrassant entre deux tartines ma petite Coralie, en alternant douceur et fougue : eh oui, le temps m'est désormais compté, puisque je sais que je n'ai plus que quelques instants à profiter de sa compagnie. Comme je vois que personne ne fait vraiment attention à nous, je passe ma langue sur ses lèvres, avant de nouveau de lui rouler une bonne pelle bien gourmande, tout en pelotant ses fesses que j'admire tant. J'adore. Puis on sort de la cantine.

Je fais mes valises quelque temps en pensant avec mélancolie que je n'ai vraiment pas envie de partir de ce lieu de vacances où j'aurai passé deux super semaines – plus particulièrement celle qui vient de se dérouler. Que de beaux moments passés ces derniers jours ! Sous la couette, bien sûr, mais pas seulement. J'ai beaucoup aimé la complicité que j'ai eue avec Coralie. Cette rencontre aura été une vraie bulle d'oxygène, un pur moment de fraîcheur. Je redescends avec ma valise, et c'est déjà l'heure du départ. Le car est en place. J'y dépose mon bagage et me dirige vers ma petite Coralie, qui a, tout comme moi j'imagine, les yeux rouges d'émotion – ce qui est toujours agréable, même si notre relation n'était pas sentimentale. On s'embrasse sensuellement plusieurs minutes, on termine par un petit smack, on se câline l'un l'autre, puis elle me dit :

« - Je t'adore, petit Paulo. C'est vraiment dommage que tu restes pas une semaine de plus...

- À qui le dis-tu ? Mais bon, un peu de diversité, ça ne fait jamais de mal, pour une coquine comme toi, lui dis-je avec un clin d'œil.

- Héhé, t'as peut-être raison. Mais ce qui est sûr, c'est que j'ai vraiment envie de te revoir. Il faut absolument qu'on s'organise ça...

- Je suis bien d'accord avec toi, ma belle. Ta compagnie est tellement épanouissante... enfin sauf quand tu t'endors en sursaut quand je me lance dans des discours cosmiques, mais bon personne n'est parfait (clin d'œil). Allez porte-toi bien ma belle », lui dis-je avant de l'embrasser et de lui caresser une dernière fois son ptit cul bien moulé par son jean. Je lui dépose enfin un baiser sur sa joue, et un dernier smack, puis finis par monter dans le car, qui démarre : je vois alors ma jolie Coralie s'éloigner rapidement jusqu'à disparaître complètement du champ de vision.

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant