Chapitre 65

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Et le lendemain, comme prévu, la jolie voisine vient sonner à la porte en début d'après-midi. Elle est bien sexy, vêtue d'un haut incroyablement moulant, qui ne laisse rien perdre de ses seins de folie, et qui lui laisse le nombril (percé) à l'air. Côté bas, la coquine a opté pour une mini-jupe à la limite de l'indécence. J'adore. Elle me serre la main en me disant : « Bonjour, je viens pour le cours ». Eh oui, c'était ça le deal que je lui ai proposé hier : une petite mise en scène où je donnerais un cours particulier à une fille coquine qui me ferait du gringue. J'y ai pas mal pensé cette nuit, et franchement c'est prometteur, d'autant que je compte cette fois « conclure » une bonne fois pour toutes avec elle, en allant jusqu'au bout ! J'ai hésité à me soulager cette nuit, mais j'ai finalement choisi de résister à la tentation. J'ai bien fait, car je suis maintenant totalement prêt à l'usage, même si ça n'a pas été facile de tenir ! Toujours est-il que la belle passe maintenant le seuil de la porte. Je lui sers un jus de fruit et lui indique le chemin vers ma chambre, où je dois donc lui « donner son cours ». En grand gentleman (!), je la laisse passer en premier, avant tout pour ne pas perdre une miette du merveilleux petit cul qui se dandine sous mes yeux, et qui me donne tant envie de le cajoler, et ce d'une infinité de manières possibles ! La belle s'assied à mon bureau, sort ses affaires de maths. Je lui donne un exercice à faire, elle s'y met. Je la vois faire semblant de se concentrer. J'en profite pour la regarder de profil : j'aime la régularité de ses traits, sa belle chevelure brune, et bien entendu, sans parler de sa poitrine alléchante. Ça vaut le coup d'œil ! Et je sais depuis mon « tête-à-tête » d'hier dans l'ascenseur que le plaisir ne s'arrête pas à la vue... Je m'attarde donc sur la forme parfaite et généreuse des seins de la belle. Je ne parle même pas du moment où elle s'étire, les mettant encore plus en valeur... Je bande comme un taureau. En plus, pour faire mine de se concentrer, elle met régulièrement son stylo à la bouche, en prenant brièvement des expressions sans équivoque. J'ai tellement envie de la prendre, là ! Au bout de quelques minutes, je passe derrière elle, passe ma main sur son épaule en lui demandant d'un air bienveillant où elle en est. « J'ai du mal », me répond-elle, avec une petite moue coquine. Je lui dis de persévérer, avant qu'on voie ça en détail.

Et quelques minutes après, la belle « craque », elle s'effondre en – fausses – larmes en disant qu'elle n'y arrivera jamais, qu'elle ne comprendra jamais rien aux maths ! Elle lève les yeux vers moi en me disant ça, d'un air tout triste particulièrement craquant. Je l'aide à se lever en lui tendant main, et la serre dans mes bras. Ses seins bien contre moi. Miam. Je l'embrasse sur la joue et lui dis : « Ecoute ma belle, les maths, ça n'a pas son pareil pour venir à bout de quelqu'un, pour lui faire croire qu'il a un blocage avec cette matière, mais tout ça c'est dans ta tête. Les maths, tout le monde peut y arriver, même si certains ont besoin d'être soutenus. Il faut tout d'abord que tu te détendes. Relax ! Tout va bien se passer, il faut juste faire en sorte que tu te sentes à l'aise, tu comprends ? » lui dis-je avec un sourire qui en dit long. Elle me répond : « J'imagine que pour que ça marche, il faut faire les choses à fond, pas vrai ? ». « Exact, tu as tout compris ». Je lui propose à nouveau de s'asseoir et lui adresse un bref massage, lui embrasse sa belle chevelure, puis la joue. « Alors ça va mieux ? », lui demandé-je. Elle hoche la tête en guise de consentement. En lui embrassant le cou dans lequel je m'enivre de son doux parfum, je passe ma main sur ses seins parfaits, un régal. Pendant qu'une main reste sur son sein, l'autre s'aventure du côté de sa petite chatte déjà trempée. D'abord calmement, j'alterne par la suite différents rythmes avant d'y aller de plus en plus fort ! La belle a de plus en plus de mal à se retenir de « s'exprimer », et de mon côté je bande toujours plus. Je lui demande si ça va, lorsqu'elle me dit oui, je l'embrasse à pleine bouche, pour que nos langues se retrouvent une nouvelle fois. Toujours un vrai plaisir de l'embrasser, d'alterner smacks et pelles bien fougueuses. J'enlève son haut, pivote vers moi sa chaise et m'occupe de sa magnifique poitrine. Je me régale de ses courbes autant que de ses tétons durcis par l'excitation. Je me relève et regarde du côté de ma braguette pour qu'elle comprenne le message. Elle baisse mon fut' et mon caleçon puis me prend en bouche avec une voracité qui fait plaisir à voir (et pas seulement à voir !). Elle semble y prendre un grand plaisir... Alors que je sens que ça commence déjà à monter, je baisse à mon tour la mini-jupe de la belle puis son string trempé, avant de la prendre sauvagement contre le mur. On se roule des pelles mémorables pendant l'acte, jusqu'à l'apothéose. J'explose en elle, qui ne se retient désormais plus pour hurler. Puis on se met sur le lit, on s'embrasse un peu et on fait une petite sieste pour prendre des forces. Qui nous seront d'ailleurs nécessaires car on fera l'amour une autre fois après notre réveil. Un vrai plaisir. Puis elle se rhabille, je lui dis :

« - Au fait comment tu t'appelles ?

- Christelle.

- Moi Paulo. Ravi d'avoir fait plus ample connaissance avec toi !

- Idem !

- On se voit demain... pour un cours de français ?

- Mmm j'ai hâte d'y être », me dit-elle en m'embrassant goulûment, puis elle sort.

Moi aussi j'ai hâte d'y être... C'est sympa, la vie de prof, en fait...

Des vacances et du sexe (Les aventures de Paulo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant