Kross : le peuple guerrier T1 🔞(terminé)

Chapitre 18

Quelques jours passèrent, rapprochant Sinn et les siens de leur destination. Au fur et à mesure que le convoi s'approchait de la frontière, il fit face à des attaques isolées de quelques Ombres.

Sinn qui avait prévu cette hypothèse avait créé une équipe de guerriers pour protéger la longue caravane. Les civils qui voyageaient avec l'armée ne réalisèrent pas qu'ils échappaient de peu aux assauts de l'ennemi, d'autant que les consignes étaient claires « personne ne devait s'éloigner de la file de chariots. »

L'aube du cinquième qui marquait le retour de Sinn de la forteresse, n'irisait pas encore l'horizon.

Allongée sur le dos sur le sol de sa petite tente, Nane'té glissa les mains sous la chemise d'Orok pour lui labourer la peau de ses ongles et elle releva la tête pour gémir au creux de son cou.

— Nous n'avons pas beaucoup de temps, sussurra-t-elle pour inciter le guerrier à accélérer.

— Notre petit puceau de damoiseau n'est pas encore levé, grogna Orok.

Nane'té sourit avant de le mordre à la base du cou.

— Plus fort, approuva-t-il en amplifiant le rythme de ses coups de butoirs.

Secouée, Nane'té obéit jusqu'à ce que l'orgasme lui renverse la tête en arrière et qu'elle retienne son gémissement d'extase, alors que son sexe humide qui était soumis à de violents spasmes offrait un écrin de chairs au long et large sexe qui s'était logé tout entier en elle.

Orok exulta son plaisir en ressentant tressauter sa queue alors qu'il éjaculait sans retenue, et qu'ils soient laissés pantelants par la violence de leur courte baise.

— Tu dois prendre la relève de la surveillance, souffla-t-elle en lui caressant le dos.

— Je sais, sourit Orok. Encore quelques minutes, je ne suis pas encore rassasié de ton corps, femelle, ajouta-t-il avant de l'embrasser.

Nane'té le repoussa et attendit qu'il se retire pour rouler sur le ventre. Orok se colla à elle et frotta son sexe ramolli contre ses fesses tout en couvrant sa nuque de baisers. Le guerrier se dressa à genoux et lui saisit les hanches pour la mettre à quatre pattes, puis il se colla à nouveau à elle, allant à la rencontrer de ses seins sous ses vêtements, les pétrissant à pleine main jusqu'à ce qu'il décide d'aller lui titiller le clitoris de deux doigts.

— Prends-moi, gémit-elle.

Orok ne se fit pas prier, alors il se redressa et lui maintint les hanches fermement avant de la pénétrer d'un coup sec...