Enzo et Nina

Chapitre 68

Enzo s'assied contre le rebord du bassin et le je le chevauche. Il pose ses mains sur mes hanches pour accompagner mes mouvements. Il m'empli pleinement et dépose un pluie de baiser dans mon cou. Mes mouvements sont lent mais profond.

"- Tu me rends fou..." Il soupire.

Je souris et lui mordille la lèvre inferieure, c'est le geste de trop. Il me soulève pour se retirer et me positionne de façon que je sois dos à lui. Je me penche et mes mains s'appui sur le rebord du bassin. je sens son torse contre mon dos et son membre dur contre mes fesses. Ses lèvres glissent le long de ma colonne vertébrale. Il ne me pénètre pas et semble s'amusé à me faire languir.

"- Arrête de jouer." je dis.

Il rit au creux de mon cou et me mordille le lobe de l'oreille. Je tourne la tête vers lui et lui lance un regard impatient et fiévreux à la fois. Il sourit et s'enfonce en moi jusqu'à la garde. Un gémissement s'échappe de mes lèvres et se retrouve aspirer par les siennes. la cadence de ses coups de reins et soutenu et le plaisir monte en moi. J'accompagne ses mouvement et tente de rester silencieuse, de peur qu'on nous surprenne. En même temps ce petit danger m'excite au plus haut point.

Lorsqu'il atteint le point de non retour, ses bras s'enroule autour de ma taille. ma jouissance se mêle à la sienne et je m'effondre sous le poids de l'extase. Il me retient mais reste appuyé contre mon dos, le souffle court.

"- Je crois qu'on ne pouvais pas faire mieux question détente, non?" Il dit.

J'éclate de rire.

- Oui, mais si tu veux mon avis, il va falloir se rhabiller et sortir de là. je ne pense pas que aies réservé le spa pour la nuit." Je dis.

Il rit contre ma peau et dépose un baiser sur ma tempe.

"- Non, en effet." Il dit.

Il se retire et attrape mon maillot pour me le tendre. Nous rhabillons sans nous quitter des yeux.

"- Tu as vraiment un corps à croquer ma beauté... Il ma lance.

- Arrête... je dis.

- Je te jure, je ne me lasserais jamais de te dévorer."

Je rougis, nous repassons nos peignoir et rejoins la sortie pour regagner notre suite.

Lorsque nous arrivons dans la notre chambre, le diner vient tout juste d'être servit. Enzo a vraiment fait les choses en grand. Je l'aime de tout mon cœur et toutes ses attention me comble de joie. Apres notre excellent repas, je sui blotti contre lui sur le lit.

"- J'ai encore quelque chose pour toi. Il dit.

- T'es fou! cette soirée était suffisante. Je dis.

- Je veux te rendre heureuse mon amour. Il répond.

- Je le suis déjà. T'avoir avec moi me comble." Je dis.

Il me vole un baiser et se lève.

"- Bouge pas!" il dit.

Il bondit presque du lit, uniquement vêtu de son boxer ce qui me laisse admirer ses tatouages qui me fascinent.

"- Il va falloir que je me dépêche de trouver quoi t'offrir, je suis à la traine. je lance.

- Rien du tout. Tu as déjà faite tellement pour moi par le passé. Maintenant c'est à moi de te faire plaisir." Il répond.

Il se présente devant moi avec les mains dans la dos. Je me redresse et enfile son t-shirt. Il monte sur le lit et se pose à genoux devant moi. Son regarde est très sérieux et il commence à me faire, je sais pas trop pourquoi.