Chapitre 84

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Nous mangeons dans le silence complet. Enzo et Romain se regardent à peine. Adèle et mo ne parlons pas non plus attendant simplement la fin du repas. je n'aime pas ce genre de situation. depuis que nous avons retrouver Enzo, Romain est très distant comme si ça le dérangeait. Je pensais que notre amitié était de nouveau sur les rails. peut être qu'il a peur des réactions d'Enzo s'il se montre trop proche. En tout cas une bonne discussion s'impose.

Enzo et moi pénétrons dans l'ascenseur, j'appuie sur le bouton de notre étage et les portes se ferment. Il attrape mon visage et me vole un long baiser qui me coupe le souffle. Il attrape mes fesse et mes jambes se nouent naturellement autour de son bassin. Il abandonne mes lèvres et plonge dans mon cou.

"- Enzo, on pourrait nous surprendre..." Je dis.

je fourrage dans ses cheveux et mon rythme cardiaque s'accélère sentant son désir poindre contre mon bas ventre. Un sourire coquin étire se lèvres pulpeuse...

"- Et alors... c'est excitant. Et ça fait trop longtemps que j'attends..." Il dit.

je me mord la lèvres et il plonge dans mon décolleté pour parcourir ma peau de mille baiser, mille caresse. je me sens fondre sous ses geste et ferme les yeux quand ceux ci se font plus précise sous ma robe. Au moment ou il arrive à la couture de mon sous vêtement le ding de l'ascenseur retentit. Avant que les porte s'ouvre, il me repose sur mes deux jambes avec u sourire triomphant. Quant à moi je suis toute rouge alors que trois personnes entrent et me dévisagent.

je remet de l'ordre dans mes cheveux et jette un coup d'œil à Enzo qui jubile. je déteste quand il fait ça. Quand les portes s'ouvrent à notre étage, je salue poliment les personne présentes et sors sans demander mon reste. Enzo me rattrape et se colle à mon dos tout en marchant.

"- Et alors... comme ça, on prend la fuite? Il dit.

- Oui. je dis.

- Tu étais encore plus belle avec les joues en feu..." Il lance.

Il embrasse ma nuque et m'entraine rapidement jusqu'à notre chambre.

"- T'es infernal Rodriguez." Je dis.

Il sourit malicieusement avant de me plaque contre la porte pour me voler un long baiser. Une fois dans la chambre, je n'ai pas le temps de refermer la porte qu'il me saisi par la taille.

"- Enfin seuls..." Il dit.

Je ris et plaque mes mains sur son torse.

"- Nous avons quand même été seules toute la journée! Je dis.

- Oui mais comme tu l'as dit nous avions besoin de discuter et de faire le point, comme hier soir. Maintenant, l'heure est à la redécouverte de ton corps qui m'a énormément manqué et qui me nargue depuis le diner. Sérieux pas de soutif..." Il répond.

Il pose ses lèvres dans mon cou et remonte doucement vers mon oreille. Divers sensation se jouent au creux de mes reins et c'est encore plus précis quand il ouvre la fermeture éclair de ma robe.

"- J'ai tellement envie de toi que ça en devient presque douloureux... J'ai eu du mal à me retenir dans l'ascenseur." Il murmure.

Ses mots me fond frémir et je me liquéfie quand ses gestes se font plus pressants sur mon corps.

"- J'ai vu oui... Mais tu es sur que c'est ce que tu veux? Tu n'es toujours pas au top de ta forme mon amour." je dis.

Ses lèvres quittent ma peau et il ancre son regard au mien.

"- je vais mieux ma beauté. Même si je n'ai pas une forme olympienne, je peux t'assurer que je l'ai assez pour te faire l'amour." Il répond.

Et je n'ai qu'une envie : Qu'il me fasse l'amour. je veux sa peau contre la mienne, je le veux en moi. ne faire plus qu'un avec lui. Et puis, j'ai senti son désir se réveillé au moment ou ses yeux se sont reposé sur moi. je noue mes bras autour de sa nuque et il me plaque contre le mur en happant mes lèvres des siennes. Son baiser est doux mais tellement passionné.

Enzo et NinaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant