Enzo et Nina

Chapitre 82

Je me redresse vivement pour regarde Enzo droit dans les yeux.

"- Tu sais que non, j'aurais... je commence.

- Je sais bien, ma beauté. Le truc, c'est que quand je suis dans cet état plus rien ne compte et je reste buté." Il me coupe doucement.

Je ferme les yeux et il m'embrasse sur le front.

"- Seulement, un soir je n'ai pas pu résister. J'avais besoin de t'entendre mais sans te mentir, je ne sais même plus ce que j'ai pu te dire ou non tant j'étais mal et complètement défoncé. J'espère que je n'ai pas été dur avec toi ou que je ne t'ai pas blessé... Il reprend.

- Non, tu m'avais seulement dit que je te manquais. je dis.

- Tant mieux, je n'aurais pas aimé dire des choses que je ne pensais pas. Il dit.

- je sais et ce n'est pas le cas. Et je te pardonne pour tout Enzo. Je réponds.

- J'ai tellement de chance que le destin t'es mis sur mon chemin Nina. Tu as changé ma vie. je t'ai fait souffrir tellement de fois et je me demande comment tu peux encore me supporter aujourd'hui." Il lâche.

Je plonge mon regard dans le sien et hausse les épaules.

"- Je ne sais pas... je dois avoir un faible pour les Bad Boys..." Je dis.

Il sourit, m'attrape par la taille et me bascule sous lui pour me chatouiller.

"- LES bad Boys?" Il demande.

je ris et tente de le repousse doucement en même temps.

"- Non, toi! Seulement toi! Et attention à ta perfusion, tu n'es pas en état de faire de folies!" Je réponds.

Il me jette un regard outré.

"- Ah oui, tu crois?" Il lance.

Ses doigts passent sous mon hauts et caressent mes cotes doucement. Je noue mes bras autour de sa nuque et l'embrasse légèrement sur les lèvres sans trop le chercher.

"- Il te faut être prudent et te reposer... Je dis.

- Oui mais il ne peut rien m'arriver... je suis déjà en vois de guérison dans tes bras." Il répond.

Ses traits se sont détendus à mesure qu'il me parle.

"- En fait, j'ai commencé à aller mieux lors de la soirée prestige... Quand je t'ai vu dans ta magnifique robe. Il ajoute.

- Il faudra remercier Adèle pour ça." Je dis.

Il sourit et passe sa main dans mes cheveux.

"- Non, c'est toi qui sublimait la robe. Tu étais divine..." Il répond.

je rougis sous ses compliments. Pour me cacher j'enfonce ma tête dans son torse.

"- Ne sois pas gênée, c'est la vérité. Et quand je t'ai retrouvée dans l'ascenseur... Si j'avais pu te dévorer sur place, je l'aurais fait." Il dit.

Je pouffe de rire.

"- J'avoue que tu ne m'as pas laisser indifférente non plus, même si j'étais furax. Je dis.

- Tu es encore plus belle quand tu es en colère, ca te donne un petit coté rebelle et sauvage à la fois. Ca me donne envie de te museler avec mes lèvres pour que tu te taise et me succombes. Il lance.

- Enzo..." je dis.

Il sourit et mordille mes lèvres. je passe ensuite ma langue dessus ce qui ne manque pas de voir.

"- Arrête de faire ça... j'ai envie de te croquer." Il dit.

je souris, amusé et attire son visage vers le mien. Je l'embrasse très tendrement.