Tu m'as sauvé, Romanoff

Chapitre 3

Pdv de Sasha

Je me réveille avec un gros mal de crâne. Je suis allongée sur une table en métal. Je ne comprends pas ce qui se passe. J'étais devant une voiture et là je me retrouve dans une pièce sombre.
La pièce est froide et sale, il n'y a pas de fenêtre pour l'éclairer. Juste un vieux néon pour ne pas être plongé dans le noir complet. J'entends aucun bruit. Je n'ai aucune idée de temps que j'ai passé inconsciente. Je savais que ça allait mal se passer, maintenant je suis enfermée je ne sais où, avec je ne sais qui.
Au bout de peut être 2 ou 3h, en faite non j'ai aucune notion du temps, j'entends des personnes marcher et parler de l'autre côté de la porte. Tout d'un coup elle s'ouvre laissant plus de lumière entrer dans la pièce. C'est aussi à ce moment là que je reconnais MR Strucker.

Strucker : «  Ah Sasha, tu es réveillé, bien »
Moi : «  Ou est ce que je suis et pourquoi je suis attaché à cette table » ai-je crié en le coupant d'à sa phrase.
Strucker : «  ne me hurle pas dessus, dit il tout en me giflant, ici tu as a Hydra. On fera de toi une arme de guerre et pour commencer tu seras à un sujet d'expérience pour augmenter tes capacités et faire de toi un être unique. Il disait tout ça en caressant ma joue avec un sourire pervers au visage. »

Je suis tétanisé, après ses aveux je suis morte de peur, je comprends pas ce qu'il m'arrive je ne reconnais pas mon coach. Pourquoi moi, une simple petite fille qui voulait juste devenir plus forte. De vague sons atteignent mes oreilles, mais je n'entends pas clairement la conversation. En effet pendant mon altercation avec ce fou, un homme habillé en scientifique est entré dans la pièce. Il commence à préparer divers seringue remplie de liquide différent. Le scientifique ce rapproche moi, et attrape mon bras gauche avec force ce qui me laissa échapper un gémissement de douleur. Il place ensuite un cathéter dans le creux de bras, relié à une poche de liquide orange. Quand celui-ci commença à entrer dans mon corps, j'ai l'impression de brûler de l'intérieur. La douleur est telle que je ne peux pas m'empêcher d'hurler de douleur. Ce qui ne plait pas au médecin car il m'envoie son poing droit dans la figure pour que me taise.

Lorsque la poche est vide, un garde vient me chercher pour m'emmener dans une cellule selon les ordres du médecin. Une fois arrivé devant, le garde me pousse et ferme la porte à clé. Il s'agit d'une pièce sombre sans fenêtre et délabrée. Au sol se trouve un matelas tout pourris. J'ai froid et je souffre, je finis par m'évanouir du à la douleur.

Ellipse de quelques heures

Un nouveau garde vient me réveiller en me donnant un énorme coup de pied dans le ventre. J'ai mal, très mal. Le garde pose un plateau avec de la nourriture dessus, sur celui-ci je peux observer une espèce de bouillit et un morceau de pain rassis. Je ne mange pas, j'ai bien trop peur de ce qu'ils auraient pu mettre dedans. Je me met en boule dans un coin de cette cellule qui me sert dorénavant de chambre et laisse mes larmes couler. Je suis terrifiée et ma famille me manque.

Comment vont se dérouler les prochains jours? Pourquoi je dois vivre ça? Vais-je retrouver ma famille? Voilà toutes les questions qui se bousculent dans ma tête.

Avec toutes ses larmes versés je finis par tomber dans les bras de Morphée.