Chapitre 40

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Pdv de Sasha

Quand je suis entrée dans ce qui lui servait de cellule et que je l'ai vue. Inconsciente au sol car elle c'est fait passer à tabac par ma faute, une rage folle c'est emparé de moi.
J'ai demandé à toute mon équipe d'évacuer avec Nat, ils ne doivent pas être blessés, je compte bien révéler ma vrai puissance maintenant.

Grâce à Friday je verrouille toutes les issues de la base et me déplace dedans comme le diable venant chercher ses victimes.
Je pourrais presque être apparenté à Anubis dans la mythologie égyptienne ou Thanatos pour les grecques.
Mon corps est passé en pilotage automatique. Chaque ennemie que je croise je le décapite, lui tranche la gorge le démembre ou encore l'éviscère. Je m'en fous complément de les faire souffrir, ils l'ont fait avec Nat j'en ai rien à foutre. 

Dans chaque couloir ou je passe et après avoir tué tout e monde sur mon passage je déclenche un feu au main je suis sur que pour ce qui ne sont pas encore mort, souffre encore un peu. Je me délecte de leurs hurlements de douleurs de leurs os qui se craque sur mon passage. 

En me rendant dans la salle de contrôle, j'y trouve Sebastian un des dirigeants de cette base mais aussi mon bourreau.

Moi : Tient, qui voilà, un fils de pute de la pire espèce.

Sebastian : Ma chienne préféré compte me mordre mais n'oublie pas à été le premier à te donner du plaisir alors que tu n'étais qu'une enfant.

Un jouet c'est ce qu'il pense que je suis encore, je m'avance vers lui à pas lent en tuant tout le monde sur mon passage. A chaque personne que je tue je le regarde dans les yeux et ce que j'y voit me plais énormément, la peur voilà ce qu'il se lit dans ses yeux. Il comprend enfin je que suis un monstre qui aime le sang et les cadavre, et lui je compte bien en faire ma plus belle proie. Tu vas retourner auprès de Dreykov mais se sera dans un tonneau quand je t'aurais désossé. 

Moi : Arrête de reculer, je vais finir par croire que je te fait peur. Toi qui pensait que je serais toujours la pour satisfaire tes besoins primaires. Combien de femme et d'enfant as-tu tué, violé ou bien les deux. Le sang de combien de personne as-tu sur tes mains ? La moitié de mon corps est remplie de cicatrices qui proviennent de tes tortures. 

A chaque mot que je prononce, je fais un pas en avant et lui fait un )as en arrière, de telle façon qu'il ce retrouve coincée entre le mur et moi. Je décide de lui lui rendre chaque coups de couteau qui m'a infligé durement mon séjour à hydra. 

Moi : Avant de te tuer je veux connaitre tous les secrets de ta petite organisation. Si tu ne parles pas te ton plein gré, je te ferais parler. 

Au lieu de répondre, il crache à mes pieds. Pour lui faire comprendre que je ne rigole pas. Je décide de prendre le poignard qui se trouve un ma ceinture et lui coupe le majeur de chaque mains. Il hurle de douleur, un hurlement qui me provoque la plus belle satisfaction. 

Sebastian : Tu vois tu n'es qu'un monstres, j'ai toujours dit à Strucker et aux autres dirigeants qu'il fallait t'abattre tant que nous le pouvions encore. Tu es une bête assoiffée de sang, je ne suis pas le seul à vouloir ta mort. Tous les dirigeants sont potes à tout pour te coller une balle dans la tête, entre les deux yeux. 

Moi : Tu es tellement con, que te vient de m'avouer une partit du plan de tes confrères mais je pense que tu peux m'en dire plus. 

Je tourne au tour de lui telle un requin prêts à tuer sa proie. Je sens sa peur augmenter, sa respiration se fait plus saccadée et sa jambe tremble. Je décide de reprendre mon interrogatoire, toujours en tournant au tour de lui et en laissant la lame de mon poignard se balader sur sa peau. A certains endroit de sa peau j'appuie un peu plus pour que la lame crée une entaille. 

Moi : En piratant la base donnée de votre prison, j'ai découvert de nombreux projet en cours. Les pierres dont vous vous servez pour nous donner nos pouvoirs, ou les trouvés vous ? 

Il ne dit rien; mais je n'ai aucune patience donc je lui coupe la main. Encore un hurlement de douleur. 

Pdv de Nat

J'ai mal, très mal mais je sens que je suis sur une espèce de lit, j'essaye de bouger mais mon ventre, mon dos, nan enfaite tout mon corps me fait souffrir. Je laisse échapper un gémissement de douleur. 

??? : Nat, je suis la bouge pas, tu as beaucoup trop de blessure. 

Je reconnais la voix de ma soeur mais la tout de suite je veux savoir où est ma copine. Je prononce donc avec difficulté le nom de Sasha. 

Yel : Dans la base, elle t'a retrouvé inconsciente dans une cellule et a demandé à Bucky de te ramener au jet. Nous on devait tous évacuer, la base on pensait qu'elle allait nous suivre mais pas du tout, on à pas de nouvelle d'elle depuis 30 minutes. 

Comment ça pas de nouvelle d'elle depuis 30 min 

Moi : De quoi tu parles Yel, vous l'avez laissé la bas alors qu'il mon battu jusqu'à l'évanouissement pour avoir des infos sur elle. 

Il faut que j'arrive à savoir si elle va bien. 

Yel : Nat tu dois savoir qu'on s'inquiète pour elle. Depuis qu'elle sait pour ton kidnapping elle fit preuve dans sang que je ne lui connais pas. Je pense sur tout qu'elle est passée en mode destruction. Elle n'épargnera personne, elle va les torturer jusqu'a ce que mort s'en suive. 

Les mots que prononçe Yel me glaçe le sang, Sasha ne peut pas faire preuve d'une telle cruauté. En revenche si c'est le cas elle a des circonstances atténuentes et je ne lui en voudrais pas. 

Tu m'as sauvé, RomanoffOù les histoires vivent. Découvrez maintenant