Pourquoi toi ?!

Chapitre 96 ; Abandon

« Je sais qu'elle est la mère dont tu as toujours rêvé. » - Carolina.

Ellipse de trois mois.

12 septembre 2027 ; Barcelone.

            Ça fait trois mois que Neymar ne m'a pas touchée, notre vie ressemble que nous avions avant et je suis tellement heureuse de retrouver l'homme que j'ai épousé. D'ailleurs, ça a fait trois ans en juillet, le 18 exactement, que nous nous sommes mariés. Davi a accepté de revoir son père. Et dire que ce « petit bonhomme » a fêté ses seize ans le mois dernier...

            Il est encore relativement tôt et je suis encore dans mon lit, même si je suis réveillée. Neymar est encore avec moi dans le lit et ses mains entourent fermement ma taille. Il remue un peu et ses lèvres chaudes viennent se poser dans mon cou. Je souris et ferme mes yeux pour profiter au maximum du plaisir qu'il me procure.

LEMON

            Ses mains se glissent lentement sous mon t-shirt et viennent empoigner fermement mes seins qu'il masse sensuellement. Ses lèvres m'embrassent juste en dessous de mon oreille et il me fait perdre la tête. Une de ses mains descends jusqu'à ma culotte et me caresse à travers le fin tissus de celle-ci. De petits gémissements sortent de ma bouche sans que je puisse les retenir.

            Je trésaille sous ses caresses et je suis impatience, il me fait languir et il sait que je n'attends que lui. Il me fait rouler sur le dos et il passe à califourchon sur moi. Ses lèvres tracent un circuit tendre jusqu'à mes lèvres. Neymar m'embrasse amoureusement, ses lèvres se soudent parfaitement aux miennes. Ses mains baladeuses ont déjà envoyé valser mon t-shirt et ma culotte et moi je le défais de son boxer, devenu beaucoup trop serré pour qu'il y soit bien.

            En un seul coup de rein il se retrouve à l'intérieur de moi. Il grogne dans le creux de mon tandis que je m'agrippe à son dos en gémissant.

Rose : Neymar continue...

            Ce sont les seuls mots qui arrivent à sortir de ma bouche, et encore, ils ne sont que soupire. Je le sens sourire dans mon cou, qu'il s'empresse de suçoter à nouveau. Ses coups de reins se font de plus en plus rapides et de plus en plus profonds. Ses grognements sont à présent transformés en gémissements rauques dans le creux de ma clavicule et mes ongles sont plus fermement accrochés dans son dos.

            Il accélère encore et encore la cadence et il finit par jouir en moi et ses gémissements de plaisir suffisent pour m'emmener jusqu'à l'apogée.

FIN DU LEMON

            Neymar est rallongé de son côté et il reprend son souffle. Je m'empresse d'aller me coller à lui, ma tête posée sur son épaule et ses bras m'entourant fermement.

Neymar : Bonjour mon amour !

            Il a un sourire pendu aux lèvres, mon Dieu qu'il est beau. Je lui souris aussi avant d'embrasser tendrement son torse encore luisant de sueur.

Rose : Bonjour !

            Ses lèvres viennent se poser doucement sur mon front. Je ne me lasserai vraiment jamais de sa tendresse matinale et je donnerai tout l'or du monde pour me réveiller à ses côtés le restant de ma vie.