Chapitre 5 : l'Éclair de douleur.

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 Je m'excuse pour toute les fautes.

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Suga sans hésitation : Je ne savais pas que tu était malade. Dit-il d'un ton triste.

...

Je ne pris pas la peine de lui répondre, je raccrocha directement et lâcha mon téléphone qui tomba par terre. Je frappa le premier mur que je vis avec mon point droit, chose que je regretta quand je senti un éclair de douleur traverser tout mon bras. Je m'écroula à terre en tenant soigneusement ma main endoloris.

Je vous l'ai déjà dit que je réagissais au quart de tour ? Nan ? Et bien maintenant vous êtes au courant. Sauf que je regrette souvent se que je fait à c'est moment là.

J'ai sûrement réagi violemment par rapport à la situation mais le ton qu'il a pris pour me le dire était juste ... c'était ... c'était juste horrible, comme si il ressentait de la pitié maintenant qu'il savait que mon état de senti n'était pas des plus meilleur, et je ne veux pas qu'il s'inquiète pour moi, bien assez de personnes le font.

Éclipse

J'avais maintenant ma main dans une bassine d'eau froide et de glaçons. J'étais assise sur le bord de mon lit et Jp faisait les cents pas devant moi.

Jp s'arrêtant de marcher et regardant Joyce : Tu te rend compte que tu aurais pus te casser la main ?! Se remettant à faire les cents pas. Mais non ça non tu ne te rend pas compte ! Je fait tout mon possible pour que tu te sente bien et à la première colère tu frappe un mur !

N'arrivant pas à soutenir son regard, je continua de regarder ma main plongé dans l'eau et lui réponda par un petit « Désolé ». Pour toute réponse il grogna et finis par s'arrêter de marcher en face de moi.

Jp croisant c'est bras : Tu va me dire pourquoi tu a fait ça ?

Joyce regardant finalement Jp : J'ai eu une enfance difficile tu sais ? Dit-je voulant détendre l'atmosphère.

Mais j'aurais dut me raviser car le regard de Jp qui était déjà dur se transforma en regard noir. Je détourna rapidement la tête vers la fenêtre ne pouvant soutenir son regard.

Je déteste me chamaillé avec Jp car je le considère un peu comme mon père et que sans lui je n'arriverais à rien avec ma santé.

Un silence s'installa et Jp me regarda toujours attendant une réponse.

Jp soufflant en se frottant le visage : Je n'ai pas le temps de faire le psy ce matin, moi aussi je voulais me promener. Il attenda quelques minutes puis repris. C'est à cause de c'est garçons ? Les BTS ?

Joyce fixant toujours l'extérieur : Ils ont rien fait ... Je souffla puis regarda Jp. C'est Carl.

Jp fronçant les sourcils : Qu'a-t-il fait ?

Joyce : Il a passé une partie de la journée d'hier avec leur manager et en gros il lui a raconté que j'étais malade et leur manager le leur a ensuite répété. Dit-je en regardant Jp.

Jp : Où est le mal ?

Joyce mimant les numéros avec c'est mains : De 1 je ne suis pas malade j'ai juste des sortes de déficiences et de deux ils ne le savaient pas.

Jp surpris : ils ne le savaient pas ? Surprenant, c'est pourtant quelque chose de public.

Pour toute réponse je haussa les épaules.

Joyce : Je m'en fiche qu'ils le savaient ou pas mais ... Je ne finis pas ma phrase détournant vers ma main.

Jp : Mais ? Dit-il d'un ton calme.

Joyce : J'ai appelé Suga ce matin pour qu'il vienne lui et les garçons avec moi en ville et il me disait beaucoup d'excuses pour que je reste dans ma chambre à me reposer et il a finis par me dire : « je ne savais pas que tu était malade » Dit-je en essayant de reproduire les paroles de mon ami.

Je regarda Jp qui me fixait attendant sûrement la suite de mon récit.

Joyce : Sa ne m'ennuie pas qu'il le sache mais c'est la façon qu'il l'a dit qui m'a énervé ... Comme si il croyais que j'allais mourir dans deux mois. Finis-je par dire d'un ton triste.

Jp s'essaya à côté de moi et me regarda en souriant.

Jp : Tu sais tes « déficiences » comme tu les appelles peuvent surprendre certaines personnes et même faire peur. Alors comprend le qu'il n'a pas été très heureux de savoir que ton état de santé n'était pas au top du top.

Joyce : Tu a sûrement raison. Murmurais-je.

Jp tout en se levant : J'ai toujours raison ! Aller ! Il pris ma main qu'il sortit de l'eau et emmena la bassine dans la salle de bain. Va te promener et tâche de ne pas t'énerver je ne veux pas te retrouver tétraplégique. Me dit-il avec un clin d'œil.

Pour toute réponse je lui sourie et sortit de ma chambre.

Arrivé dans le grand hall je me dirigea vers les grandes portes mais une voix m'interpella.

??? : Joyce !

Je me retournas vers la voix et vis Suga se diriger vers moi. Ho non ... Qu'est-ce que je vais lui dire ?

Suga se trouvant maintenant en face de Joyce : Hey ! Je t'ai appelé plusieurs fois, pourquoi tu n'a pas décroché ? Je me suis inquiété.

Joyce : Pourquoi ? Dit-je d'un ton dur.

Suga surpris par le ton que j'ai employé : Je sais pas je croyais ... je croyais ... Enfin je sais pas il aurais pus se passer n'importe quoi. Finis-t-il par dire.

Joyce se reprenant : J'avais juste éteins mon téléphone.

Suite à ma réponse il pris ma main droite dans sa main mais quand il vis ma grimace il desserra sa poigne et approcha avec douceur ma main de lui pour pouvoir l'examiner et remarquer qu'elle était légèrement gonflé.

Suga tout en examinant la main de Joyce : J'ai bien fait de m'inquiéter. Qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?

Je voulu enlever ma main de la sienne mais il resserra son emprise sans trop me faire mal pour ne pas que je m'enfuis.

Joyce : J'ai frappé un mur dut à la colère. Dit-je ne voulant lui mentir.

Il releva rapidement la tête et me regarda d'un air surpris dut à ma réponse.

Suga : Viens avec moi. Me dit-t-il tout en me tirant vers la sortit.

Joyce le suivant surprise : Tu m'emmène où ?

Suga : Je vais te faire visiter la ville. Et on auras tout le temps de parler de ça. Dit-il tout en effectuant un légère pression sur ma main.

Je sourie à sa réponse et marcha un peu plus vite pour être à sa hauteur de marche.

On sorties de l'hôtel et on se retrouva dans la grande rue principale. Toujours main dans la main.

Si un paparazzi nous vois, les tabloïds risquent de se régaler avec toute les rumeurs.

Mais toute fois je n'enleva pas ma main de la sienne. Ho diable les tabloïds !  

A la conquête de la Corée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant