A la conquête de la Corée.

Chapitre 22 : Le rite de passage

Marie : Joyce, j'aimerai qu'on parle de quelque chose. Me dit-elle d'un ton neutre.

.....

Je me retourna vers ma mère qui me regardait maintenant. Je pris une bouché de mon gâteau et je continuais de la regardé intensément voyant qu'elle ne parlait pas.

Joyce la bouche plaine : Qu'est-ce qu'il y a ?

Marie : La semaine dernière Jp m'a appelé.

Joyce surprise : Il ta appelé ? Depuis quand il t'appelle ?

Je ne savais pas que Jp avait appelé ma mère, il ne me l'avait pas dit. Je ne savais surtout pas qu'ils avaient échangé leurs numéros.

Je mangea la fin de mon gâteau et je croisa mes bras tout en regardant ma mère lui donnant toute mon attention.

Marie : Il m'appelle depuis que ma fille ne me prévient pas quand elle fait une rechute... Me dit-elle d'un ton accusateur.

Je ne lui répondit pas. Je me mordit nerveusement ma lèvre inférieur la laissant parler.

Marie : Pourquoi tu ne m'a pas prévenus ?

Elle avait l'air triste et déçu, je pouvais le lire dans ses yeux.

Joyce d'une petite voix : C'était qu'une petite rechute, c'était rien de grave.

Marie : Ce n'est pas une excuse, je suis ta mère, j'ai le droit de savoir quand tu ne va pas bien. Me dit-elle tristement.

Je sais que je l'ai blessé mais je ne peux pas supporter qu'elle s'inquiète pour moi.

Joyce avec un peu plus d'assurance : J'allais bien, j'étais juste un peu fatiguée. En plus Cara était là, elle ses occupé de moi.

Marie : Ce n'est pas à elle de le faire.

Joyce : Elle m'a pas vraiment laissé le choix. Lui dit-je voulant finir au plus vite la conversation.

Marie : Ce n'est pas elle ta mère. Me dit-elle d'un ton accusateur.

Tentative échoué, nous allons tout droit dans le mur...

Joyce d'une petite voix : Ce n'est pas à toi de le faire non plus...

...

J'aurais su que ce que je venais de dire allait enclencher une engueulade avec ma mère, je ne l'aurais pas dit. Nous venons à peine d'arriver qu'on ce prend déjà la tête. Je sais que c'est de ma faute mais je n'est plus envie d'être materné et j'ai un médecin pour m'aider et ça ma mère ne le comprend pas .

Marie d'une voix triste : Des fois je me demande si tu comprend que je m'inquiète pour toi ...

Elle venait de mettre le doigt sur quelque chose de sensible ... Je ne lui répondit pas sachant que mes réflexions pourrait la blessé et ces la dernière chose que je voudrait. Je me retourna d'elle prenant appuis sur le plan de travail de la cuisine, je ferma les yeux et me mordit la lèvre voulant partir de cet situation qui je sais, va mal se terminer.

Joyce : je comprend que tu puisse t'inquiéter mais tu n'a pas a abandonné ton chez toi pour venir t'occuper de moi dans un autre pays. Dit-je lentement ne voulant pas m'énerver.

Marie : Mais je suis ta mère !

C'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase.

Je me retourna brutalement vers elle et je la regarda d'un regard sévère.