Romain!

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-A quatre pattes, que tes jambes soient le plus écartées ! Ma voix était autoritaire, aujourd'hui aucune tendresse dans mes paroles ou mes gestes. Cette nuit, j'ai pris une décision qui est rapide mais il est temps que je concrétise ma pensée et pour cela, je dois la tester au maximum car je dois être sur de ses intentions en tant que soumise ! Je l'observais avec minutie prendre sa posture sans rechigner une seule fois. Je sortis une boite de velours d'où j'extrayais un crochet en métal lourd, la chaine qui le maintenait était reliée à un élastique, à l'idée de voir habiller son anus avec cet ustensile me réjouissait.

Je penchais mon buste en caressant son fessier laiteux, je laissais couler ma bave sur son trou anal que j'étalais de mon index en le faisant glisser en elle. J'étais brusque mais elle se laissa faire s'exprimant que par des souffles. J'entrais la boule du crochet malgré le serrage de ses fesses, je violais son entrée sans retenue. Mes doigts entourèrent sa chevelure que je tirai en arrière sauvagement, je ne faisais pas dans la dentelle, mon plaisir était prioritaire pour elle, mais ma priorité était son bien-être à elle, jamais je ne la blesserai ! J'entourai l'élastique à ses cheveux qui maintenant la chaine qui était attaché au crochet. La vue qu'elle m'offrait était d'une beauté inexplicable. Sa tête tiré en arrière à cause de l'élastique m'offrait sa bouche si besoin était.... Cette posture était dur pour les cervicales, son cou tendu pour maintenir sa tête droite deviendra douloureux avec le temps, car si elle baisse la tête d'un centimètre, elle tirera sur le crochet qui remontera dans son rectum. Elle avait compris sa position, je pouvais le lire dans son regard.

Je reprenais place à mon bureau l'observant de coin. A plusieurs reprises, je tirai sur mon pantalon de ma main pour laisser mon membre prendre la place qu'il avait besoin à force de se tendre.

Du temps de Laureline quand elle était ma soumise, je ne bandais pas autant qu'avec Savanna. D'un simple regard de cette dernière, mon sexe réagissait en se tendant à son paroxysme, nombre de fois, je me suis retenu de la prendre pour qu'elle enveloppe de son humidité caverneuse et étroite ma bite. Le premier contact que j'avais eu avec elle, je m'étais laissé imaginer une séance sur son corps, alors quand elle m'a demandé de lui offrir une séance, je me suis sentis perdu face à elle, je n'avais pas encore compris qu'elle me faisait perdre le contrôle du Maître que j'étais. Qu'elle tienne le rôle de femme ou de soumise, je l'aimais d'un amour profond et imperturbable et rien ne pourra dorénavant m'éloigner d'elle.

-Savanna, avance vers moi ! Ordonnais-je avec un rictus quand je vis ses yeux s'arrondirent. Elle glissa ses genoux sur le parquet de mon bureau, à chaque mouvement de ses jambes, je l'observai maintenir sa tête droite légèrement incliné en arrière. Sa respiration était saccadée, douloureuse de maintenir sa posture, je prenais compte de son envie de me satisfaire. Elle était devant moi, le regard interrogateur, ce que j'allais dire et voir sa réaction répondrait à ma question qui ne cesse de me hanter depuis cette nuit. Tu es une bonne chienne ! Constatais-je sans quitter son regard qui devenait tendre et non colérique à l'entente de ma phrase. A cet instant, je venais d'obtenir ma réponse, le cœur détendu de la peur que j'avais en moi attendant la réponse à ma question, je prenais place derrière elle, lui infligeant deux claques simultanément faisant vibrer ses fesses jusqu'au crochet qui la fit gémir, j'attrapais d'une main ses cheveux retenus par l'élastique et je glissais l'autre dans sa fente qui dégoulinait d'excitation érigeant encore plus douloureusement mon membre qui commençait à suffoquer coincé dans mon boxer. Je le libérai et m'empala dans sa grotte humidifié de mouille qui coulait le long de ses cuisses. A mon entrée en elle, la boule du crochet qui était toujours logé dans son cul, frottait contre mon sexe, la sensation était plaisante décuplant ma montée de jouissance qui inonda son vagin, j'avais volontairement empêché son orgasme, elle était mienne et j'allais bien la frustrer tout au long de cette journée. Lève-toi, nous sortons ! Je retirai l'élastique de sa chevelure pour qu'elle se redresse facilement et d'un geste facile, je retirais la chaine relié au crochet qui, lui restait dans son cul. Je lui tendis une de mes chemises blanche qu'elle enfila par-dessus son corset, je déboutonnais les deux premiers boutons du col, offrant le haut de sa poitrine à mon regard, si elle savait ce qui l'attendait, elle s'offusquerait et prononcerai son mot. Je sortis du bureau la laissant dans l'attente de mon retour. Je confirmai notre venue par téléphone loin d'elle pour qu'elle ne se doute un instant dans la situation que j'allais la mettre.

Délivrance! tome2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant