Partie sans titre 63

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 Je me gare devant le chalet, la lumière dans la maison n'est guère visible car les volets sont fermés. Je m'extirpe de mon habitacle pour aller à la porte qui est légèrement ouverte. Aucun sons ne me provient aux oreilles. J'essaie de me convaincre que romain doit surement donner le biberon aux jumeaux, d'ou le silence, les mains moites, le cœur en panique,je me dépêche de m'engouffrer dans le pièce, rien ne me parvient, seulement mon cri quand une main m'empoigne ma queue de cheval et me tire le crâne en arrière. La panique me gagne, je veux hurler quand la voix de mon agresseur brise le son de mon souffle.

-Je veux le silence! déclare la voix de Romain quand je sens une matière froide prendre place à mon cou. Les jumeaux sont chez Charles et Marianna, tout est prévu pour eux, tu n'as aucun soucis à te faire car je sais que tu n'apprécie pas que j'ai préparé cela derrière ton dos. Ils téléphoneront au moindres soucis. Maintenant ma belle brune, reprends ta place à mes pieds! A genoux! m'ordonne t'il sous mon souffle coupé. Mes idées se mélanges, je ne sais plus quoi penser, j'ai envie de lui hurler dessus d'avoir laissé les jumeaux, envie de crier que je ne tolère pas ses agissements, mais au lieu de cela, je conduis mon corps à genoux au pieds de mon Maître. Le regard au sol, un frisson me parcoure l'échine quand je sens ses deux mains abandonner mon épiderme.Tes longs mois de grossesse et de maman ne t'ont rien fait oublier dans ta posture! J'en suis fier Savanna! Ses mots m'enveloppent d'une fierté sans égale. Notre lien est toujours là, malgré mes tenues en jogging, mes cheveux souvent sales. Les jumeaux m'épuisent, je dois lâcher prise ce soir, me laisser conduire par Mon Maître...

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  Je l'observe à genoux, elle est là devant moi comme dans le passé. Tant de souvenirs me reviennent en mémoire. Jamais je n'aurais cru trouver en elle, celle que j'attendais au fond de moi. Je lui serais à jamais reconnaissant de m'avoir offert sa soumission mais surtout de m'avoir permis de devenir père. 

Je tire sa chevelure d'un coup, obligeant sa tête à se placer en arrière. J'extraie de ma poche un bâillon à trou qui gardera sa bouche ouverte. Je m'abaisse à sa hauteur pour lui placer, son regard m'évite par peur d'une punition. Je souris intérieurement car elle n'a pas oubliée, son coprs a retrouvé de lui-même les postures sans que je n'intervienne. Le bâillon en place, je lui ordonne de se lever pour aller a la salle de bain. Je lui offre sa tenue pour ce soir, une paire de talon, elle n'aura que cela, car cette soirée sera Maître et soumise. Elle se déshabille devant moi, le regard au sol, un léger filet de bave s'écoule de sa bouche. elle est mal à l'aise, mal d'être aussi vulnérable devant moi. Mais je n'en ai que faire, ce soir elle m'est soumise, offerte. Elle se place les jambes écartées vêtu des talons devant moi, ses mains se sont placées au-dessus de sa tête. Elle attend mes ordres, mes envies. Mais je l'ignore, la laissant là ainsi. Je lui tourne le dos pour m'extraire de la pièce, je descend à la cave pour voir si tout est bien en place. Rien ne manque, je place le carcan et la barre d'écartement à l'endroit exacte proche de la table. Mon portique de bougie est maintenu fermement par deux tiges en ferraille. Un rond pend sur ces dernières, vingt bougies sont prêtes à ^tre allumées, je ne veux pas faire semblant, je veux la faire s'abandonner entièrement corps et âmes à moi!

 Je remonte lentement, les mains dans les poches de mon pantalon, j'approche de ma belle brune, son corps me fait face, sa chatte doit être rasée, alors j'entreprends cette première étape qu'elle a négligée. Je m'amuse à étaler la mousse à raser sur son minou tout en appuyant sur son clitoris qui est très réceptif. Le rasage est rapide, car je ne veux pas perdre une seule minute de notre soirée.

  Je lui ordonne de se rendre à la cave et de m'attendre le ventre couché sur la table, les jambes écartées. Je la rejoins sans un bruit, son corps est disposé comme je lui ai demandé, je la contourne  tout en laissant frôler mes doigts sur son épiderme. Elle frissonne, gémit légèrement. Je me stop à la hauteur de son fessier, je lui caresse avant d'abattre ma main sur celle de gauche, un cri brise le calme de ce lieu. Je lui impose le silence. J'abats une deuxième claque, elle crit de nouveau, je la redresse tout en la plaçant à genoux sans douceur, je défait mon pantalon et d'un coup, je glisse mon membre dans sa bouche, elle a un haut le coeur, mais je m'en moque car je la punis, j'appuis sur sa tête qu'elle essaie de reculer pour extraire ma queue. ma prise la force à enfoncer encore plus mon gland dans sa gorge, je reste ainsi quelques secondes avant de me retirer. Sans gentillesse , je la redresse et la replace sur la table. Je scelle la barre d'écartements à ses chevilles, je place le carcan autour de sa tête et de ses poignets, j'accroche les deux cordes pour stabiliser ce dernier afin qu'elle ne puisse bouger. Je place un bandeau autour de ses yeux, je la plonge dans le noir, l'obligeant à développer plus en profondeur les sensations que je vais lui donner à travers cette séance.

 Je me recule un moment pour observer son cul rougis par la claque. Sa chatte est à ma hauteur si le besoin de la prendre se fait sentir, je contourne son corps pour la voir de face, le carcan la maintient de façon que le haut de son corps soit penché en avant, ainsi, je peux pénétrer sa bouche sans la déplacer. Je sors sa culotte de ma poche et je la glisse sur sa peau, elle bouge au premier contact pour se détendre ensuite. Ma main caresse sa chatte qui ruisselle de son nectar, ma belle brune est prête, offerte à son Maître....

Délivrance! tome2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant