UN JEU SANS LIMITE! (Tome 2 De Pourquoi M'avoir Supporté) [Terminé]

1 : ÇA COMMENCE BIEN

Ceci est le tome 2 de "Pourquoi m'avoir supporté ?"
Le tome 1 possède cinq parties.
(C'est plus une sorte de prequel pour mieux comprendre cette histoire)

Bonne lecture et croyez-moi, ça va partir en couille!

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Pdv Izuku :

J'ai mal.
J'ai mal partout.
Pourquoi j'ai mal partout?
De quoi je me souviens déjà?
Qu'est ce qui m'est arrivé?

Tout à l'heure, j'étais en cours, à ma place. Aizawa-sensei était en train de nous expliquer comment s'occuper d'un enfant apeuré.

Puis... il y a eu cet éclair bleu. Il a frappé Ashido-chan, elle a disparue, puis Todoroki-kun, puis Katchan et moi.

J'ouvre difficilement les yeux, ma tête me fait souffrir mais je réussis tout de même à me lever en me tenant à un mur proche de moi.

Ma vue s'accorde enfin à l'endroit sombre, mais je ne vois absolument rien, je tente alors de parler.

- Il y a quelqu'un ici ?

Une réponse me parvient.

- Deku-kun ?!

Cette voix !

- Uraraka-chan ! Où es-tu?!

- Ici attends, continue de parler je vais suivre le son de ta voix.

- Ok, alors viens, tu sais où on se trouve?

- Je sais pas! Attends, parle encore une fois, je crois que je suis presque à côté de toi.

- J'aime les tartes aux fraises !

- Moi aussi... Et bingo ! Je t'ai trouvé.

Je sentis alors ses deux mains toucher mon torse...
...
...
MON TORSE NUE !? C'EST QUOI ÇA !

- U-U-Uraraka!

- D-Désolée j-je ne savais pas, pourquoi tu es nue ?! Attends, vérifie plus bas !!

Elle a raison. Je me met à tapoter tout mon corps, et constate avec soulagement que j'ai un pantalon.

- Ça va, c'est juste mon torse qui n'a pas de vêtement.

- Piouff j'ai eu peur. Et les autres ? ils sont où ?!

J'attrape la main d'Uraraka.

- Ne me lâche pas. On se met à quatre pattes puis on touche le sol pour voir s'ils sont allongés quelque part.

- Ok.

Heureusement qu'il faisait noir sinon on aurait aperçu deux tomates ramper.

Nous avions à peine eu le temps de nous accroupir que de grandes lumières envahirent la salle.
Cette dernière ressemble à un salon, un très grand salon, et tous nos camarades sont allongés, comme nous le pensions.

Mais toute la classe n'est pas là, il y a: