UN JEU SANS LIMITE! (Tome 2 De Pourquoi M'avoir Supporté) [Terminé]

51 : KIKO MITA

Pendant ce temps du côté de Shigaraki :

- PUTAIN VOUS VENEZ VRAIMENT DE L'ASSOMMER?! Hurla Kazumi mort de peur.

- Kurogiri appel un pervert qu'il s'occupe de son cas... Si on peut au moins soulager les pulsions sexuelles d'un porc avec ce garçon ce sera déjà ça de gagner.

***

- Kurogiri...

- Oui?

- C'EST ÇA TON PERVERT !!? Il est tout mince et a une tête de gentil !! S'énerva le bleu.

En effet le garçon qui se tenait devant lui devait avoir au maximum 18 ans, ses cheveux étaient brun et ses yeux vert.

- Shigaraki... Ce garçon est le fils d'un Yakuza très réputé, Iko Mita.

- Attend... Le vrai Iko Mita ?!

- Hurm hurm! Je débute dans tout ces truc de Yakusa et mon père, monsieur Mita, m'a dit qu'en violant quelqu'un j'arriverai à perdre mon humanité.
Je m'appelle Koki Mita.
Je suis prêt, où est-il?

- Suis-moi.

***

- Snif... Izu-kun où tu es... J'ai peur... Est-ce que tu m'entends? Tu es peut-être dans l'autre monde ! Si tu m'entends je suis dans un bâtiment chelou, et il fait froid ici !
...
Izu-kun...
...
J'ai fait une découverte, je sais qui est la mère de Kazuto ! Alors en rentrant je te le dirai... Mon frè-

- Tait toi ! Prisonnier ! S'énerva Shigaraki qui venait d'entrer avec Kiki derrière lui.

Il ouvrit la cellule provoquant une vague de peur à Kazumi.

Koki pénétra dans la cellule

- Fait vite et ne l'abîme pas trop.

Puis il s'en alla laissant le fils Yakuza et Kazumi seul.

- Donc tu es... Commença le brun.

- Prisonnier... Finissa Kazumi.
Q-Qui êtes-vous ?

- Ton violeur. Approche.

- QUOI?! Non! Hurla-t-il en courant à l'autre bout de la cellule.

Mais le brun s'approcha assez vite lui.
Il lui donna un coup de poing.

- F-FERME-LA !

- Kof... Tu viens de bégayer?

- Non ! Tait toi maintenant.

Voyant l'hésitation qu'il avait prit à le frapper Kazumi présenta moins de résistance.

- Ne me fait rien... S'il te plaît...

- Je suis désolé mais ce n'est pas dans mes projets.

Le garçon ne pouvait rien faire...
Alors il se laissa faire, contre son gré.

Le brun retira tout ce qu'avait Kazumi sur lit.

Ce dernier commença à pleurer.

- N-Non ! Arrête de pleurer !

- Je pleure pas... Snif... j'ai une poussière dans l'oeil !
...
Faites vite... De toute façon je sert qu'à ça...

Cette phrase brisa le coeur du jeune Yakuza.
Mais en repensant à son père il changea directement d'avis puis enleva ses propres vêtements.

- Tu vas voir ! Après ça je serai le plus effrayant des Yakuza !