chapitre 14:Souvenirs douloureux 2

3.7K 407 11
                                    

Après le film il c est endormit quant à moi je n arrive pas,je ne connaît pas cette maison ni ce lit et je n arrive pas à dormir près de l homme qui ma faire tant de mal. Je ne peu pas même ci il c est bien comporté rien ne c est effacer je le hais toujours au tant et sa sa ne changeras jamais.
Des sourvenirs affluent dans mon esprit et je les laisses s exprimer.
(Le lendemain matin,ma tante ma enmener à l hopital,il fallait qu ont soient sur qu il ne m avait rien laisser. Pas le SIDA et pas non plus un enfant. Après la prise de sang j avais le corps qui tremblait j avais peur des résultats de l analyse,ma tante me prenait les mains en essayant de me recomforter. Mais sa ne changeait rien j avais toujours peur.
-Et si j ai les deux?
-Ne dit pas sa mon ange,je suis sur que tu n a rien. Dieu te protège et ta mère aussi.
-Dieu?
Depuis le viol je ne croyais plus en Dieu pourtent j étais baptisé confirmé. Mais après une telle espérience il est difficil de croire qu il y a un être qui vous protêges dans le ciel qui veille nuit et jour sur vous. S il existait vraiment ne m aurait il pas protégé?
-Oui ma cherie il est toujours là entrain de veiller continuellement sur toi.
-Il veillait sur moi lorsque ce garçon à abuser de moi?
Elle voulue repliquer mais nous avons vue le docteur arriver,vue sa bonne mine,on était sur que c était une bonne nouvelle.
-Madame votre fille vas avoir un bébé.
En entendent cette phrase,mes pieds devient lourd,la tristesse envahit mon coeur,et je laissait l obscuriter m envahir. A quoi bon résister ces derniers temps,Moi j étais en enfer.
À mon reveil j étais coucher sur un lit d hopital,une perfusion branché à mon bras. J essayais de me lever quand ma tante me vire. Elle sortit appeler le docteur. Il viens à mon niveau vertu de sa blouse blanche,je lui envoulais d avoir cru que c est enfant qui vivait en moi était une bonne nouvelle.
-Mademoiselle je m excuse je ne savait pas ce qu on vous avait faire.
-On ma violer,appeler les choses par leur nom.
-Mélanie!
-Laisser la madame elle à besoin de s exprimer.
-Vous ne savez pas de quoi j ai besoin,en ce moment je veu mourrir.
-Ne dit pas sa. Dit ma tante en pleurent.
-Pourtant c est ce que je veu,je veu plus vive.
Les pleurs de ma tante redoublait j étais triste pour elle mais moi je ne tenais plus à la vie. Et je voulait pas non plus que le monstre qui grandissait dans mon ventre prenne vie. Car cet enfant était un monstre l enfant de mon violeur ne pourrait qu être qu un monstre.
Lorsqu on me laissat sortir de l hopital après deux jour,où je fut nourrir par perfusion puisque je refusait toutes les nouritures que l on me proposait. Je voulais juste mourrir de faim,mais ma tentative n à malheureusement pas marcher.
Me voila à nouveau dans ma chambre dans mon lit chez ma tante,quel ironie non!
-Mon ange sa te dirais d aller te promener?
-Non,j ai pas envie que des personnes inocentes voir le monstre que je suis devenue.
-Tu n est pas un monstre.
-Alors pour quoi j abrite un?,je veu avorter.
-Nous en avons parler ma chérie et la reponse c est non je n accepterais jamais que tu avorte. C est puni par Dieu et tu pouras en mourir.
-Je m en fiche,que je meurt ou que sa soit punir. Tu comprends pas cet enfant restera un souvenir de mon viol je ne pourais jamais oublier cette mesaventure. Et je pourrais jamais l aimer.
-Ne dit pas sa ma chérie.
-J ai besoin d être seul.
-D accord je te laisse.
Elle me regarde tristement avent de sortir,je m en veu de lui fait au tant de mal mais elle ne me comprends pas. Je souffrais déjà et cet enfant qui grandit en moi ne fait que tripler ma tristesse.
Je ferme les yeux,il faut que je m éloigne de la réalité et le seul moyen que j ai c est le sommeil.

Le lendemain,ma tante entre dans ma chambre avec un grand bol de bouillit de riz le dépose sur ma table de chevet,ouvre les volets tout en chantonnent. Elle a l air heureuse et franchement sa me casse encore plus le moral,je sais c est malsain. Mais depuis peu je suis malsaine j habrite un monstre en moi.
-Je croyais que c était interdit de manger dans la chambre.
-C est interdit.
-Alors?
-On vas dire que comme tu ne viens pas à la nourriture la nourriture viens a toi.
-Sérieu?
-Oui,allez mange avent que sa ne refroidisse.
Je faisait la grêve de faim mais l odeur de cette bouillit de riz me donnait envie de la mangée. Alors je la prie et je me mire à la boie,ma tante me sourire et son sourire me fire du bien.
-Tu c est ma belle j ai une surprise pour toi.)
Revenue à la réalité je respire profondement,je regarde l heur sur mon portable 2h00. Il faut que je m endorme,je me couche me couvre puis je ferme les yeux.
C est partis pour une nuit pleins de cauchemars.

Mariée A Mon Violeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant