Talia Cooper, meurtrière seulement âgée de 18 ans, mène une vie particulierement ennuyeuse. Le jour d'un brocante, alors qu'elle ramène une vieille boîte à musique poussiéreuse, elle ne tarde pas à comprendre qu'il s'agit de la boîte du cauchemardes...
C'est bon, je suis devin. Mon weekend c'est bel et bien prit pour flash mcqueen ! Comment ça se fait que mes weekend chez ma grand mère passe vite et pas chez mes parents ? Un grand mystère de la vie... Je fourre mes affaires dans mon sac et une fois que j'ai fini, je sors dehors voir mes chats. - Mystique ! Plum ! Je vais bientôt m'en allez ! J'hurle à plein poumons. Ils arrivent vers moi en trottinant et se frotte contre mes jambes, je me penche et leur fait des bisous sur le museau. C'est là que je réalise que j'ai oublié ma boîte à musique dans la salle de jeu. Je cours la chercher. J'ouvre la porte et la voit là, posé par terre en plein milieu de la salle. Une sueur froide parcoure mon dos. - "attend.. elle étais pas posé sur la table avant ? " Je me met à penser. J'avançe avec précaution vers la boîte en question, prudente. Je la prend dans mes mains avant de l'emporter avec moi. Dans le jardin, je croise ma grand-mère qui étais en train de regarder les branches d'une haie. - Mamie, va bientôt falloir qu'on y aille. - Ah oui c'est vrai, j'oubliais ! Elle fait volte face et part en direction de la maison pour fermer la porte. - Dit c'est toi qui à déplacer ma boîte ? - Déplacer ? Quelle drôle d'idée, bien sûr que non ! S'exclame t-elle. - Hum d'accord. Je me contente de la suivre, m'approche de mon sac avant de poser délicatement ma boîte à musique à l'intérieur. - Tu n'a rien oublié ? Me questionne ma grand mère. - Non non. - Alors on y va ! On se pose dans la voiture et ma grand mère démarré la voiture. Ça y est je suis encore repartie... Une fois arrivé chez moi, je sors de la voiture en poussant un soupir. J'ai envie de rester avec ma grand mère ! - Ne t'inquiètes pas on se revoit bientôt ! Me rassure t'elle. - Y'a intérêt sinon je vais en mourir. Ma grand-mère rigole avant de me faire un bisous sur le front, je me laisse faire puis la regarde partir. J'enfonce la poignée de la porte et rentre chez moi, arrivé dans la cuisine je vois un mot accroché au frigo. c'est une lettre écrite par ma mère. " Ma chérie, nous sommes partis mangé chez des amis. On ne t'a pas proposé de venir car on sait très bien Que tu te serais ennuyé. Mange ce que tu veux. À ce soir. PS : on risque de rentrer assez tard. " C'est bien ! Au moins ils savent que je m'en bat les couilles de leur dîner à la con. D'un geste rageur, je pose mon sac dans les escaliers qui conduise à la chambre avant d'y sortir mon téléphone que je fourre dans ma poche de pantalon y compris un teaser que j'avais prit au cas où ( allez savoir pourquoi ), et ma boîte que j'emporte également avec moi. Je me pose dans le canapé, comme j'ai pas super faim je préfère grignoter. Je pars dans la cuisine me prendre une tablette de chocolat et me rasseois dans le canapé avec une grâce d'hippopotame. Je me connecte à youtube avec mon téléphone et tapé dans la barre de recherche " pop goes the weasel creepypasta ". Je tombe sur une multitude de réponse à ma recherche, je clique sur celle qui à le plus de vue et commençe à écouté le son. Mais soudainement, je ne prête plus aucune attention à la vidéo. Je suis comme attiré par la boîte à musique posé sur la table en verre en face de moi. Je met en veille mon téléphone avant de le posé sur le canapé puis m'avançe vers l'objet en bois d'acajou. Je m'agenouille devant elle, le cœur battant, je saisis la manivelle en métal avant de la tourner cinq fois et ouvre la boîte.
( Mettez le son :3 )
Aussitôt un horrible son de "pop goes the weasel " se répand dans la pièce. je m'accoude contre la table et me laisse bercer par cette musique creepy. Ç'aurait été si beau si ç'aurait pu être la VRAIE boîte à musique de laughing jack, malheureusement les gens d'aujourd'hui sont tellement débile qu'ils s'amuse à faire de faux espoirs au gens. Malgrés moi, je me met à sourire puis je chante le dernier verset. - POP ! Goes the weasel ! La musique s'arrête automatiquement. Puis la boîte se referme si brusquement que cela me fait sursauter.
( Vous pouvez arrêter la musique )
Mon cœur bat à 100 à l'heure, cette foutu boîte m'a fait pissé dessus ! Je me lève, et pars en direction de ma chambre. Soudain un sorte de craquement se faire entendre derrière moi, je me retourne, sur mes gardes. J'écarquille les yeux et commençe à paniqué. Devant moi la boîte se met à tremblé violament jusqu'à en tomber par terre. Je lève les yeux en l'air et voit l'unique ampoule de cette pièce explosé Au dessus de moi. Seule dans le noir, je me met à hurler. Je met quelques minutes avant de trouver un petit abat jour et de l'allumer, je recule à moitié effrayé et une main griffu se pose sur mon épaule. Je fait volte face et recule le plus loin possible. À cause de la faible luminosité, je ne vois pas cette " personne" que j'ai heurté. J'hésite à sortir mon teaser, je n'hésite pas à haussé le ton. - Montrer vous ! J'entends un ricanement rauque de la part de cette personne puis je la vois avançé sous mes yeux. J'ai le souffle coupé par l'événement qui se passe juste devant moi. - Ho bordel de merde !! Devant moi ce tenais un clown complètement monochrome à la peau blanche avec les lévres peinte en noir, un cône rayé noir et blanc en guise de nez, les épaules plumeuses, il avait des cheveux d'un noir corbeaux qui descendait en mèche tordue jusqu'a sa nuque, des dents pointu déformé son rictus et ses bras pendaient comme ceux d'une poupée de chiffon avec de longs doigts et un équipement de clown du style année 90. Il me regarda de ces yeux argenté puis écarta les bras avant d'annoncer - Venez, venez tous ! Morts ou vivants! Pour voir le meilleur clown de tous ! Le seul, l'unique, le cauchemardesque laughing jack in a box !
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Il termina sa phrase avec un long ricanement effroyable. Je me sentais paralysé sur place. - Non...c'est pas pas possible...
