Viens On S'évade

Chapitre 10

¤ ULYSS ¤

Nous étions enfin arrivé au motel. La nuit commençait à tomber, le ciel nous donnait accès à l'apogée de sa beauté. Alice a toujours aimé les couchés de soleil, elle les trouve fascinant et à pour manie de les photographier. Par la suite, elle les imprimés et y note la date, le lieu puis l'heure. Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi mais elle un album complet de ça.

Pendant, qu'elle prenait sa photo, moi je l'observais. J'étais entrain de me rendre compte de la chance que j'ai de l'avoir avec moi. Elle était si belle, sous cette lumière orange. J'avais juste envie de la sentir au bout de mes lèvres.

- Je peux ? me demanda-t elle en montrant son appareil.

Ni une, ni deux me voilà, un pied sur le volant avec ma langue sortie.

- Et moi je peux te prendre avec mon téléphone ?

En reflichissant à ma phrase, nous avions éclaté de rire. C'est vrai que sortie de son contexte...

Malgré tout elle c'était tourné vers moi et avait fait un timide sourire. Elle était tellement chou... Cette photo était tout de suite devenue mon fond écran. Puis de toute façon, ça avait toujours était elle depuis mon premier portable.

- Au fait, je veux bien que tu me prennes. lacha-t elle tel une bombe avant de sortir de la voiture en coup de vent.

J'étais bouche bée, elle venait vraiment de faire une allusion de la sorte. Je pense que si nous n'avions pas été sur ce parking, je lui aurais fait l'amour sans attendre. Mais nous avions toute la nuit et toute les nuits suivantes.

Je suis donc sortie de la voiture après plusieurs minutes de fausse réflexion. Elle était la adossé sur sa portière.

- Alors troublé mon coeur ?

Elle riait tellement, ça la rendait divinement belle, follement magnifique.

- Et si se soir je te faisais passer la meilleure nuit de ta vie ? la questionnais-je.

- Toute les nuits passé avec toi son les meilleures. me repondit-elle simplement.

Je me suis approché lentement d'elle. Mon front était contre le sien et ma main posé sur le carreau. Nos respirations devenaient lourdes, je ne pouvais plus attendre. D'une traite, j'ai saisi ses lèvres. À chaque fois J'avais l'impression de recevoir un antidote. C'était sauvagement doux, sa bouche me donnait des frissons.

Nous avions du nous délier car nous devions aller chercher les clés de notre chambre.

Arrivé à l'accueil qui ressemblait à une sorte de vieux salons, une jeune femme trop maquillé nous accueilla. Je la vis remettre en place son décolté devant nous. Et elle c'est ensuite tourné vers nous.

- Bonjour monsieur vous désirez ? dit-elle d'une voix proche de celle des téléphones rose des vieilles publicités aguicheuses.

Je n'ai pas vraiment compris. Elle venait de s'adresser seulement à ma personne alors que Alice était à côté de moi. Je pris ma copine sous mon bras avant de regarder la voiture volé dans les yeux.

- Bonjour ma fiancée et moi aimerions votre meilleure chambre s'il vous plaît. claquais-je.

- Oh, je vois que vous êtes ensemble... souffla-t elle comme ci elle avait prévu de coucher avec moi ce soir. Je vous place dans la chambre 171 au fond du premier couloir extérieur. Vous réglez maintenant ou à la fin de votre séjour sachant qu'il faut une pièce d'identité ?

- On va rester qu'une seule nuit, on reprend la route demain matin. retorqua ma copine.

- Je vais régler maintenant, on est très fatigué si vous voyez se que je veux dire. Donc on peut se dépêcher ?

Après avoir payé et être repassé à la voiture préparer nos affaires appartir de nous valises, nous étions fin près à monté dans la chambre. Seulement avec un sac à dos chacun dans lequel nous avions mis tout le nécessaire pour une nuit.

Et une fois à l'intérieur, je fus surpris de la qualité pour le prix qui était peu élevé. C'était plutôt agréable.

- Bon c'est pas que je veux te pressé mais ta coloration c'est maintenant ou jamais. cria depuis la salle de bain.

En rentrant dans celle ci, je vis Alice des gants sur les mains entrain de préparer le pot de coloration.
Je n'avais plus le choix, mais dans tout les cas je l'aurais fait. Je disais adieu au symbole de ma famille, le blond qui y régnait étrangement.  J'étais fière même si pendant le temps de pose je ne ressemblais pas vraiment à un top models.

Une fois mes cheveux rincé et sèché, la femme que j'aime le plus au monde m'ammena devant le miroir en me cachant les yeux.

- Tu me trouves comment ? demandais je intrigué.

- Terriblement sexy... soupira-t elle.

C'était plutôt clair pour moi, je n'eut même pas le temps de réfléchir je fis face à mon reflet.
Et pour la première fois de ma vie, je m'étais senti un peu plus moi. Je détestais mon aspect physique mais mes cheveux... Je ne pouvais pas m'empêcher de les toucher...

Enfin je pouvais enterrer mon nom de famille.