Chapitre 19

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¤ ALICE ¤

Je ne sais pas du tout ce que je fais là. Surtout devant cette directrice de casting. Je voulais devenir mannequin. Passer de l'autre côté de l'objectif. C'était fou. Je n'y croyais pas.

- Bon tu as les bonne mensurations, la bonne taille. Tout est parfait. Il ne manque plus qu'à te trouver un casting. déclara la femme qui était désormais mon agent.

Et en sortant, Ulyss me regarda longuement et je lui ai dit :

- Je t'aime Chéri. Merci de m'avoir poussé.

- Oh t'es trop mignonne, je t'aime aussi. Puis tant que tu poses pas en lingerie ça me va. lança mon amoureux avant de me faire un clin d'oeil.

- Dans tout les cas tu es le propriétaire de mon coeur et de mon corps.

- Et bien je suis le plus chanceux des hommes sur cette terre.

Son sourire me faisait frissonner, il était si beau, il était d'une beauté imcomparable. Et il était à moi.

- Et si on rentrait on a des cartons à ranger mon ange ? me questionna-t-il.

- Bah c'est parti mais avant.

Je l'avais arrêté puis après avoir poser mes mains sur ses joues, je l'ai embrassé avec fougue tandis que ses mains descendaient dangeureusement vers mes fesses. Se baiser était plus que langoureux et mon ventre lui était rempli de milliers de papillons. Chacun de ses baisers était plus que magique. J'avais constament l'impression de rêver quand il était près de moi.
Et dire que je pensais que je resterais sa meilleure amie voir sa sex-friend encore bien longtemps avant qu'il se trouve une femme et me laisse tomber. Mais par chance il était amoureux de moi lui aussi. Qui l'eu cru ? Tout le monde sauf nous je pense.

Nous nous sommes donc dirigés vers notre appartement. Celui ci était toujours aussi beau, je l'aimais beaucoup trop notre petit cocon.

- Maintenant cartons ! m'ecriais-je avec enthousiasme pressée de finir cet appartement.

- Tu manques pas de motivation. retorqua Ulyss en riant.

C'est vrai que pour la première fois de ma vie j'etais heureuse de faire le ménage. Sûrement parce que cet endroit et le miens. Et que je ne suis en aucun cas forcé de le faire.

- Tant que tu m'aides ça me va.

Nous avions fini très tardivement, par conséquent nous nous étions affalé sur le lit.

- Tu crois qu'on va réussir à rester ensemble toute notre vie ? lui demandais-je sans raison particulière.

- Je suis près à faire ma vie avec toi.

Viens On S'évade Où les histoires vivent. Découvrez maintenant