Viens On S'évade

Chapitre 3

¤ ALICE ¤

Je crois que j'ai mal entendu. Il vient de dire : son copain. Mais je suis pas vraiment au courant. Je le regarde dans les yeux et même si je sais qu'il fait semblant, je profite de ce moments de tendresse publique pour poser mes lèvres sur les siennes.

- Il faut croire que cet homme est le mien.

Mon sourires touchait mes oreilles et mes yeux scintillaient à l'idée qu'il ressente la même chose que moi. C'est impossible pourtant... Nos baisers son devenu normaux. C'est juste une habitude pour lui, rien de plus.

- Oh, bah écoutez soyez heureux tout les deux. lança mon collègue.

- Merci beaucoup Maxime. lui repondis-je.

Je n'y crois pas, Ulyss c'est vraiment fait passer pour mon copain où je deviens folle ?
Maxime est finalement réparti au bar pour préparer des commandes. Il était bizarre depuis que mon meilleur ami lui a dit que nous étions ensemble. Peut être qu'il voulait quelques choses avec moi... En plus, il est mignon. Malheureusement pour lui, je suis déjà folle de quelqu'un...

Nous sommes ensuite partie en salle de pause pour que je represse mes affaires. Ulyss lui était accoudé à la porte attendant qu'on parte.
Après avoir ramassé mon sac j'ai regardé mon faux copain. Il semblait crispé, je l'ai détaillé complètement avant de me rendre compte qu'il bandait. M'avait-il regardé autrement ?
Mes joues se sont teinté de rouge et je me suis retourné pour qu'il ne se rende compte de rien. J'espérais que c'était moi qui lui faisais cet effet.

Je laissais la route me bercer tandis que le blondinet ne faisait qu'augmenter la vitesse. J'adorais l'impulsion qu'il mettait dans sa conduite. Il était fou et c'était beau de le voir heureux. Je m'agrippais à lui, autant profiter.

Une fois chez lui, j'ai posé mon sac au sol et il m'a regardé.

- Putain Alice, embrasse moi ! s'écria-t-il.

Je ne pouvais pas lui resister. Je n'y arrivais jamais. Je le désir plus que ma propre vie. Je veux pouvoir être sa proie. Cette nuit, pour une nouvelle fois, allait être folle.

Nous avions déjà couché ensemble, en première. Nous nous embrassions dans le jacuzzi et nous avions fini nu. Je prennais la pillule nous étions vierge sans maladie. Dieu merci les test de notre lycée. Nous nous étions laissé aller. C'était juste magique. J'ai cette chance d'être à lui pendant se court instant et c'est ce que je pense recommencer encore un fois.

Je l'ai attrapé par le col et je l'ai embrassé avec passion. Nos bouches étaient désormais coller. Il jouait avec ma langue, nos langues ondulé sans jamais s'arrêter.
I

l m'a d'abords mis à nue puis une fois dans mon plus simple appareil, il c'est amusé à me faire hurler de plaisir. Il savait exactement quoi faire pour que je craque. Il le faisait divinement bien, c'était fou. Je m'abandonnais à lui le pire c'est que j'aimais ça.
Il ne m'a pas laissé le temps de reprendre mon souffle nous étions desormais tout deux nus. J'ai couvert son corps de baisers, il était magnifique, son corps était parfait. Une fois qu'il était en moi, le monde me semblait insignifiant et je savais que c'était lui que je voulais.
Et pour conclure cet acte plus que charnel dans un gémissement commun nous nous étions laissé tombé dans les bras de Morphée.

J'ai ouvert les yeux et la première choses que je vis c'était lui. Il me regardait intensément dans ses yeux je peux lire un désir brulant et un peu d'amour. De l'amour... Comment ça peut être possible ? Il ne pouvait pas ressentir ça. Pas pour moi en tout cas. C'etait impossible.

- Oh mon coeur, tu es réveillé ! lança t-il.

- Il faut croire que oui ! retorquais je un sourire au lèvres.

Il m'a ensuite embrassé avec une tendresse magique. C'était doux, je me sentais en sécurité avec lui. Je crois que sans lui je ne pourrais plus vivre.

Ulyss et moi, dans le canapé à regarder des films. Et une question me trotait dans la tête.

- P'tit coeur ? Pourquoi tu as dit à Maxime que nous étions ensemble ? Ce n'est pas le cas on est d'accord ? demandais je gentillement.

J'ai tourné la tête vers lui. Il c'était crispé, la machoire serré, le regard vitreux. Il m'avait enlever de ses bras. Je ne comprends pas... J'ai dis quelques choses de mal ?

- Parce que j'aime jouer la comédie. Non. cracha-t-il.