BAILAO : Confidences D'un Cœur Anxieux

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Repetez après moi : Nous allons te tuer, nous allons te tuer nous allons te tuer !
Baaaah oui et vous aurez raison 😩🤦🏻‍♀️ faut vraiment que j'arrête de vous faire des promesses! Cette vie est très imprévisible pardon 😭😭😭
Jsais je vous avait dit le week-end mais c'est maintenant que j'ai pu posté !

Votre chapitre👇🏼 Bonne lecture 😘

La voiture de Malick se gara devant une grande maison à la façade de pierres beige. Houley avait déjà une idée sur la grandeur de la famille de Malick. Cette maison avait bien l'air d'une maison de famille où l'ont trouve grand-parents, oncles, tantes, cousins...
Ils furent accueilli dès l'entrée par des enfants qui criaient « Tonton Malick gneuwna »
Ce dernier tout sourire s'agenouilla devant eux et les salua à tour de rôle. Houley juste derrière lui, observant la scène en souriant. C'était des enfants très joyeux et polis. Ils vinrent la saluer timidement et elle leur rendit le sourire.

Ils couraient tous au salon en annonçant l'arrivé de leur oncle qui les suivait de près.
Malick prit la main de Houley qui commençait à stresser de plus en plus il la regarda avec des yeux qui se voulaient rassurants et un sourire su coin que Houley lui rendit.
Ils entrèrent ensemble au salon où ils trouvèrent les aînés entrain de discuter, la télévision allumée, et un jeune homme entrain de faire le thé juste à côté.
Après leur As salam aleykoum à l'unisson au quel ils reçurent une réponse en chœur, la maman de Malick se leva toute sourire et plaça deux grosses bisous sur les joues de Houley qui se détendît aussitôt !

Malick tcheka le garçon qui faisait le thé, qui était son cousin.
Il salua son père, ses deux oncles, sa tante et son grand-père. Houley en fît de même avec des génuflexions tout en baissant la tête.
Les salutations ne semblaient pas être finis avec les aînés, il les a fallut environs 20minutes pour enfin décider de discuter normalement.

-Ah ma fille ! Commença mère Yacine la maman de Malick.

-Enfin on se rencontre. Malick me parle souvent de toi. J'avais hâte de mettre un visage sur le nom de la fille qui fait tourné la tête de mon fils. Et vraiment je ne suis pas déçue ! On ne se connaît certes pas, mais la première impression qu'une personne vous donne ne trahît pas très souvent sa vraie nature. Sama dome, yarou ngua taarou ngua, wayei timidité bi est-ce wor na ? Relâche toi, sois free ! Tu es chez toi ici. Finît elle avec un sourire sincère.

S'en suit le père de Malick qui à son tour souhaita la bienvenue à Houley.
Elle regardait Malick sourire de temps à autre en discutant ça et là avec sont père, ou encore son grand-père et son oncle, pendant qu'elle essayait de se concentrer sur l'interrogatoire de mère Yacine qui avait l'air de bien vouloir en connaître plus sur elle.
3 jeunes filles qui avaient à peu près son âge entrèrent dans le salon en les saluant chaleureusement. Deux d'entre elles avaient les mêmes traits que Malick. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau et elles n'arrêtaient pas de se payer la tête de Malick.
Plutard, Houley appris que c'était ses cousines; les filles de l'oncle de Malick. Et l'autre la cadette de la famille, la petite sœur à Malick celle qui venait après celle qui était en France.
Elles l'invitèrent à aller avec elles elle lança un regard rapide à Malick qui hocha la tête en souriant puis elle les suivi.

Elles se retrouvèrent dans la chambre des filles et la discussion allait de bon train.

-Monica (cousine 1) : Mon cousin a tapé fort! t'es belle Mashallah.

Houley sourit.

-Sagar (cousine 2) : Comment t'as fait pour tomber amoureuse de ce gros porc là ? Lahilaaaaa ioe beugo sa bopp dh !