Chapitre 23

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Moi : A-aah...

Il me donnait des coups beaucoup plus saccadés et brutaux, toujours aussi silencieux, seul d'inaudibles gémissements rauques se faisait presque entendre de sa part. J'annonçais ma fin en éjaculant sur le lit et m'écroulai dessus. Mais il remonta mon bassin pour continuer ses coups de butoir.

Moi : Han... Y-

Il donna alors un coup plus fort que les autres en éjaculant en moi.

Moi : putain... Yuta...

Il sorti son sexe de mon antre et soupira d'aise. 
Je me retournais pour venir le câliner, mais il était déjà parti se doucher...
Je soupirai à mon tour en m'asseyant sur le lit quelques secondes pour me reprendre. Puis je me levai et pris les dras sales pour les mettre à la machine.

J'attendais ensuite qu'il est fini pour que je puisse partir me doucher à mon tour...

Plus tard...

Nous étions tout les deux dans la cuisine et il devait déjà être minuit. J'étais donc vêtu de mon pyjama mais lui s'apprêtait à sortir, comme à son habitude.

Moi : tu veux pas manger quelque chose ?

Yuta : non. Je vais pas tarder à partir.

Il parti sur le canapé alors que je chauffais ma tasse de thé.
Je le regardais mettre ses chaussures.

Moi : Yuta ?..

Yuta : ouais.

Moi : tu comptes rentrer à quelle heure ?..

Il me regarda à son tour, c'est vrai que ce n'est pas souvent que je lui demande ça...

Yuta : pourquoi ? Tu veux m'attendre ?

Moi : non mais...

Yuta : alors tu n'as pas besoin de savoir.

Moi : mais tu fais quoi tout les soirs ?...

Demandai-je pour la première fois, en avançant vers lui, ma tasse à la main. Je m'assied à côté de lui, sans le regarder pour autant.

Yuta : Sicheng, c'est quoi ces questions ?

Moi : je veux juste savoir...

Yuta : mais t'en a pas besoin.

Il se levait donc pour aller chercher son paquet de cigarettes, puis il se rendit devant la porte d'entrée.

Moi : Yuta... Si un jour je découvre que j'ai des sentiments pour toi, que va-t-il se passer ?...

Yuta : ne t'avise juste pas d'en avoir. Je ne suis pas une bonne personne pour toi, DONG Sicheng.

Il ouvrait la porte d'entrée et la franchit de son pied gauche avant de lâcher un " à plus tard ".

Moi : t-tu peux rester ?..

La porte claqua à la fin de ma phrase. Il était déjà parti... Comme d'habitude...

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