EPILOGUE

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JUSTIN DREW BIEBER POV'

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Mes paupières lourdes peinent à s'ouvrir, j'essaye une fois, deux mois mais c'est comme si elles étaient collés avec de la colle forte. Je peux entendre distraitement tout se qu'il se passe autour de moi mais mes yeux sont vraiment trop dure à ouvrir. Petit à petit, mes autres sens se réveillent et s'entrechoquent. J'entends des bips incessants assez près de moi, des voix éloignées comme si elles étaient juste de passage se succédant l'une l'autre. Puis viens s'ajouter à tout ceci, une odeur étrange. Ça sent le propre voir même trop propre. Du désinfectant. Puis vient la sensation assez désagréable ; la douleur. Elle est stridente et intrusive. J'ai mal un peu partout et cela me fait bouger légèrement pour trouver une position plus agréable. Cependant je sens autre chose c'est de l'eau je crois. Ou néanmoins quelques chose qui mouille puis vient s'ajouter le bruit de reniflements que je n'avais pas alors entendus plus tôt. Plusieurs chuchotements se font entendre dans la pièce mais le mal de tête m'empêche d'identifier les différentes voix.

Non sans difficulté j'arrive à doucement ouvrir les yeux et la première chose que je vois c'est Thalia, les yeux larmoyants qui contrastent avec son énorme sourire. Elle approche ses mains qui étaient alors déposées sur mon lit pour entourer mon visage. Ses mains sont tremblantes et hésitantes comme si elle avait peur de me casser.

— J'vais bien. J'arrive à dire doucement en souriant.

— Ça fait d-deux jours que tu dormais j'ai cru que-

Thalia se fait brusquement couper par un petit garçon qui court et qui monte sur mon lit.

— JUSTIN ! tu t'es réveillé ! t'as fais la sieste drôlement longtemps. J'aime pas être à l'hôpital il y'a des enfants ici mais ils sont malades et ils sont fatigués aussi y veulent pas jouer avec moi.

Je souris grandement en voulant me redresser mais la douleur revient, cette fois beaucoup plus violemment. Thalia se précipite hors de la chambre pour appeler de l'aide pendant que le petit garçon a l'air effrayé. Il monte rapidement sur le lit et me tend son livre préféré.

La suite se passe beaucoup trop vite. Deux infirmières entre dans la petite chambre , l'une d'entre elles commence à s'activer autour de moi et m'injecte quelque chose pendant que l'autre fait sortir de la pièce devenue étroite ceux que je considère comme ma famille.

Le médecin m'a expliqué que j'avais été victime de surmenage du à la tournée et les déplacements mais que je n'avais pas à m'inquiéter. ils allaient me garder encore une journée et je pourrais retourner à ma vie.  J'étais sur le dernier mois de ma tournée mondiale et la fatigue se faisait juste ressentir.

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