CHAPITRE 50

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- Bon je vous laisse entre de bonnes mains, je reviens tout de suite j'ai des personnes à aller voir. Après le repas, il reste quatre heures avant le couvre feu et je décide de rendre visite au tableau de Benjamin Franklin dont Jean m'a indiqué l'emplacement parce qu'il avait été déplacé. Je cours donc à travers les couloirs en saluant mes anciens camarades lorsque j'en croise et, au détours du dernier couloir avant l'arrivée, je glisse et me casse la gueule contre le mur.

- Eh bien tu es toujours aussi habile à ce que je vois.

- Monsieur Jefferson ? surprise, je me redresse d'un coup et oublie donc que le cadre est juste au dessus de ma tête et me cogne dessus. Ouille je vais rester par terre un instant si ça ne vous dérange pas, le sol est moins dangereux que n'importe quoi d'autre.

- Non tu ne me dérange pas, as-tu pensé à prendre des cours d'habilité.

- Je sens de la moquerie dans votre voix monsieur.

- Je ne vais pas te cacher que ta chute était exeptionnelle, je n'ai pas l'occasion d'en voir de pareilles tout les jours.

- Donc on peux dire que mes chutes vous avaient manquées ?

- Je ne dirais pas le contraire, je m'ennuyais moins lorsque tu étais encore ici.

- J'imagine que vous êtes allé combler votre ennui en dérangeant les autres tableaux ? le tableau pris un air offusqué en riant

- Comment peux-tu dire une chose pareille

- Oh je vous ai vu prendre des notes de mon génie maléfique. Bon, pouvez-vous me dire où est le tableau de monsieur Franklin ? j'avais demandé à Jean et il m'avait dit que c'était ici.

- Oh son tableau n'a pas bougé, il est toujours vers la tour ouest. D'ailleurs Madison Hamilton Washington et Adams ont étés déplacés vers lui.

- Donc à ce que je vois vous êtes seul ?

- Comme tu peux le voir.

- Quelle tristesse vous devez vous ennuyer.

- Ne vous inquiétez pas Robert Yates va être déplacé vers vous. Toujours allongée par terre, je me tourne vers la voix qui n'est autre que celle de Mme Gold qui me regarde en se demandant surement si ça vaut le coup de savoir ce que je fous par terre.

- Bonjour madame.

- Bonjour Noa... pourquoi est-tu par terre ?

- Je suis tombée

- Magnifique plongeon contre le mur

- Puis je me suis pris le cadre en me relevant.

- C'était aussi très drole

- Mais vous m'avez fait peur aussi c'est pas de ma faute.

- NOAAAAAAAAAAA la voix de Jean se fit entendre et en courant comme un dératé il rata lui aussi le virage et s'éclata au sol. Bordel j'oublie toujours que ce couloir glisse.

- Est-ce que je te rappelle que c'est de ta faute de base ?

- Oh ça va ne la ramène pas trop. ATTENTION CA GLISSE.

nouvelle élève a Poudlard (1ere version)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant