Bangtan : A Mission Of One Life {Min Yoongi}

Chapitre XXXIV

Adam

??? : Chef ! Vous avez reçu un mail !

Je me leva de ma chambre et me dirigea vers mon collègue. J'ouvris le mail et découvris que c'était les plans de la villa de Nikonovitch accompagnés de tous les angles des caméras. Un passage était entouré et un itinéraire était tracé en rouge pour arriver jusqu'au bureau de Nikonovtich.

Moi : Elle a réussi... Dis-je sans vraiment y croire.

Moi : Bon ! On a trente minutes pour se préparer. On va chez Nikonovitch.

??? : On devait pas arrêter Anderson ? Demandât un autre de mes coéquipiers, dubitatif.

Moi : Euh... Si mais les plans ont changés. Répondis-je en faisant des gestes avec mes mains, gêné.

Sans plus de cérémonie, je leur ordonnèrent d'aller se préparer. Une fois que tout le monde était prêt, nous partîmes discrètement en direction de la propriété de Nikonovitch.

Isaak

Après que j'eux fini de régler le problème avec Vladimir, je rentra rapidement chez moi pour retrouver Aurora. Je courais presque dans les couloirs de ma villa. Une fois arrivé dans mon bureau, je désenchanta vite. Ce dernier était vide de toute présence. Je m'avança vers mon bureau et vis qu'il y avait une lettre. Je m'empressa de l'ouvrir.

" Bonsoir Isaak,

Si tu lis cette lettre, c'est que tu es rentré et que je suis partie. En vérité, je ne comptais pas partir si vite mais le fait que tu me cherches à changer mes plans. Je te remercie de m'avoir permis de découvrir que j'étais la fille de cet enflure. Ca à doubler mon désir de le tuer. Tu dois sûrement te demander comment tu as pu être aussi con pour ne pas savoir que c'était moi. Et bien, tu ne pouvais pas le savoir. Aurora est un personnage que je travaille depuis ma naissance. Elle est une personne complétement différente de moi à l'intérieur de moi. Tu n'avais aucun moyen de savoir que tu avais ta cible sous les yeux. J'espère que tu ne t'es pas attaché à elle... Car elle n'est qu'une illusion que j'utilise pour berner mes cibles. Sache que je n'ai jamais voulu en arriver là mais c'était le seul moyen que je puisse te parler. Tout ce que j'ai dit lorsque nous étions ensemble, je le pensais réellement. Enfin, j'espère que tu passeras un bon moment à Rikers Island. Oh ! Et une dernière chose. Je te rendrais ton magnifique couteau à notre prochaine rencontre.

Toutes mes salutation, Mina Anderson."

Je froissa la feuille sous l'effet de la rage qui montait en moi. Je lâcha la feuille et ouvris le tiroir où était sensé reposer mon couteau. Je bouilonnais de rage en découvrant qu'il n'y était plus.

Moi : Bien joué Mademoiselle Anderson, vraiment bien joué. Dis-je en rigolant nerveusement.

J'allais sortir de mon bureau pour aller me venger lorsqu'un homme entra en défonçant ma porte. Il était typé américain et était armé d'un AK47.

??? : Ravi de faire votre connaissance, Monsieur Nikonovitch. Agent Adam Powell du FBI pour vous servir. Se présentât-il avec un sourire arrogant plaqué sur son visage.

D'autres personnes rentrèrent eux aussi armés. Powell baissa son arme et se dirigea vers moi.

Adam : Vous êtes en état d'arrestation. Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous pourez dire ou faire sera retenu contre vous. Annoncât-il en me mettant les menottes. Vous allez voir, Rikers Island va vous plaire. Reprit-il d'une voix moqueuse.

Isaak : C'est Anderson qui vous a dit où me trouver, n'est-ce pas ?

Adam : Je dois dire que j'ai été surpris lorsqu'elle m'a offert votre arrestation contre sa liberté.

Je grogna en l'insultant de tous les noms.

Adam : Mais ne vous inquiètez pas, elle vous rejoindra prochainement dans votre quartier de hautes sécurités à Rikers Island. Complétât-il en m'emmenant vers la sortie.

Deux semaines après cette soirée, après avoir passé des jours dans un tribunal, je fus enfermé dans le QHS de Rikers Island à perpétuité.

Jimin

Cela faisait deux jours que nous étions revenus de Moscou. Après que nous ayons attéri, Mina avait disparu de la circulation sans que nous puissions la retenir. Elle était revenue le lendemain, c'est-à-dire aujourd'hui, pas très en forme. J'étais dans le salon avec une partie du gang lorsque je reçus un appel du boss. Je me leva et sortis de l'appartement pour aller dans la rue, évitant ainsi d'être repérer.

*Appel Téléphonique*

Moi : Oui, boss.

Boss : Jimin, ta famille a été attaqué cette nuit. Annonçât-il, cash.

Moi : Comment ça ?! Ils sont sensé être protégés de toute menace et là, vous me sortez qu'ils se sont fait attaqués !! Comment ils vont ?

Boss : Ils n'ont rien à par ton frère qui a juste une entaille au front.

Moi : Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Demandais-je, sèchement.

Boss : Des agents surveillaient la maison mais ils ont été égorgé par des hommes visiblement bien entraînés. Ton frère était dans sa chambre et ta mère dans la sienne. Quelqu'un est arrivé et a ordonné à ton frère de s'enfermer dans la chambre de ta mère avec elle. Elle aurait intercepté les agresseurs au rez-de-chaussée mais un homme a réussi à monter et à rentrer dans la chambre. Ton frère a essayé de les défendre mais il s'est prit un coup de couteau au front. La jeune femme est arrivé avant que le pire n'arrive et a maitrisé l'homme avant de l'égorger. Ta mère était en état de choc donc elle n'a rien pu dire. Mais ton frère a affirmé que c'était une jeune femme qui les avait sauvé mais il n'avait pas pu voir son visage. Mais il est sûr à 100% qu'elle n'était pas asiatique. Faites attention pour la suite.

Moi : Où sont-ils maintenant ?

Boss : Jusqu'à la fin de la mission, ils resteront à la base sous surveillance accrue.

Moi : Très bien. Dis-je en soufflant soulagé qu'ils n'aient rien.

Boss : Le général s'impatiente, je ne pourrais pas le convaincre éternellemment de rallonger la mission donc faites au plus vite sinon ça ne sera plus de votre ressors ni du mien. Bonne continuation Jimin.

Puis il raccrocha.

*Fin Appel Téléphonique*

Tout ça n'est pas normal. Pensais-je. Pourquoi le général s'impatiente alors que c'est le président qui a lancé la mission ?

Je resta une heure dehors à me poser des questions auxquelles je n'avais pas de réponse. La suite de la mission semblait se compliquer. Et puis, cette mission clochait. Rien ne se passait comme prévu.