Chapitre 51

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Je ne sais où va mon chemin mais je marche mieux quand ma main serre la tienne." "Je t'aime parce que tout l'univers a conspiré à me faire arriver jusqu'à toi". "Il n'y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d'exister pour quelqu'un." "Il n'y a qu'un bonheur dans la vie, c'est d'aimer et d'être aimé .
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j'ai vu mon téléphone qui clignotait, j'ai jeté un œil et c'était un numéro que je ne connaissais pas.

Ça sentait pas bon du tout.

Moi: allô?

?! : Si tu la quittes pas tout de suite, Zaya, je vais balancer à tout le monde ta vraie nature de violeur.

Moi : Okay, okay, où tu te caches, sorcière? Et bien, qu'est-ce que t'as à foutre avec nous hein?

Et vlan! elle raccroche. Je sentis mes sourcils se froncer. J'étais sûr qu'il y avait un loup là-dedans.

J'ai essayé de la rappeler, encore et encore, mais rien. Pas de réponse. Regardant ma voiture, je murmurais à moi-même : "Qu'est-ce que je vais faire maintenant?" J'étais là, perdu dans mes pensées, grattant ma nuque, fixant ma voiture depuis des heures. Dois-je rentrer à la maison, faire face à la musique et tout avouer à Zaya ou, peut-être, faire un choix plus radical?

"Dring dring!" Mon téléphone dansait sur le capot de la voiture, affichant un numéro inconnu.

Moi : Ouais, ouais, j'écoute . répondis-je en décrochant.

?! : Fais ce que je te dis, ou elle y passe. Tu vois, je suis juste devant chez elle en ce moment même.

Moi : Tu ne m'entraîneras pas dans tes saletés, tu m'entends! Ne t'avise plus jamais de m'appeler!

?! : Tu me prends pour un imbécile, huh?

Moi : Va au diable!

je crachais en coupant court à la conversation. Sans perdre une seconde, je sautais dans ma voiture. Je devrais aller voir Zaya tout de suite.

PDV ZAYA

Les lumières tamisées, le silence de mort avant qu'un bruit insolite ne décide de s'inviter à la fête. J'viens à peine de quitter ma douche pour me glisser sous les draps de Morphée, quand soudain, un fredonnement indistinct me fait tiquer. Ni une ni deux, j'empoigne mon flingue planqué sous mon lit. Oh là là, mes pieds nus frôlent le parquet froid et j'ouvre tout doucettement la porte de ma chambre. À tâtons, je me dirige vers le brouhaha- je l'ai vu! Il était là, dans la cuisine! J'ai foncé vers le salon, attrapé un pot de fleurs et -Vlan! Bing! Dans sa tête sans crier gare.

J'm'apprêtais à choper mon cellulaire mais l'invité surprise a eu comme des idées, résultat on s'est retrouvé par terre, mes doigts ont lâché mon arme, il tentait de l'attraper, le chenapan! J'essaie de me servir de lui comme appui pour me relever, une petite mule qui me catapulta à terre! Bam! C'est reparti pour un tour, ma tête fait un drôle de bruit en rencontrant le sol! Rapide comme l'éclair, il s'empare de l'arme, mais avant qu'il puisse s'en servir, j'ai chopé une chaise et brisé son élan. Reprenant mon souffle, je m'en vais récupérer ma pétoire.

Moi : Qui t'a ordonné de faire le couillon, hein? Tu vas cracher le morceau ou c'est ici et maintenant que je te règle ton compte?

l'amour De ma vie est mon violeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant