Chapitre 25

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Je me réveille avec l'alarme de mon téléphone, je descends à la cuisine, je prends mon petit-déjeuner et je retourne dans ma chambre où je me douche et m'habille comme ça.

Je me réveille avec l'alarme de mon téléphone, je descends à la cuisine, je prends mon petit-déjeuner et je retourne dans ma chambre où je me douche et m'habille comme ça

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je me maquille un peu .

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Tandis que je prends la direction de mon véhicule, Med surgit dans mon champ de vision. J'opère prestement un détour de regard, feignant une ignorance magistrale à son égard.

Med : zaya ?

Moi : oui ?

Bien malgré moi, l'attrait de son regard me contraignit à faire volte-face pour plonger mes yeux dans les siens.

Med : En réalité, Zaya, j'avais dans l'idée de t'offrir une soirée gastronomique ce soir, si cela te convient

Moi : Il me semble que cela ne constitue pas une initiative judicieuse.  repousser cette soirée à une date ultérieure, qu'en dites-vous ?

Med : Accordez-moi le privilège de votre compagnie et je suis convaincu que ce sera une décision dont vous vous féliciterez plus tard. Il est assuré que notre divertissement se révélera fort agréable, voilà ce que je puis garantir, Zaya.

Moi : Tout ce que je veux, c'est être isolé. .

Med :  Si tu ne te sens pas à l'aise avec moi, tu n'as pas à venir princesse mais sache que je serai toujours avec toi et que je serai là pour toi la nuit. .

Avec douceur, il effleure mon visage, déposant un baiser sur ma joue. Dès lors, je gravite vers l'automobile, établissant le cap vers ce lieu qu'est mon bureau. En franchissant les portes du lieu de travail, à l'horizon se dessine la silhouette d'Aïcha. Pris d'une urge sentiméntale, je me rapproche d'elle, rêvant de l'enlacer, aspirant à ce réconfort humain dont le manque se fait ressentir dans mes bras désespérément vides.

Moi : bonjour , demoiselle.

Aïcha : bonjour , ma belle , ça va ?

Moi : oui et toi ?

Aïcha : qu'est-ce qui tourne pas rond dans ton p'tit monde? C'est quoi ce gros nuage noir qui te colle comme une vieille chaussette? Allez, je suis là pour toi, mon vieux. Tu peux te fier à moi, c'est sûr. Alors, déballe ton sac, accouche de ton mal être... parle-moi, quoi!

Moi : Écoute, t'as carrément illuminé ma vie, inutile de t'en faire, ok ?

Aïcha : merci, ma vie .

l'amour De ma vie est mon violeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant