L'histoire de Zaya est à glacer le sang, un terrible drame qu'elle porte en elle. Cette femme a été victime d'un viol qui a complètement bouleversé sa vie, la laissant brisée et face à des traumatismes indescriptibles. Vous n'allez pas en croire vos...
Bon, mettons les choses au clair, aujourd'hui n'est pas un jour ordinaire, oh non! C'est le grand jour, celui où notre chère Aicha ajoute une autre bougie à son gâteau. Nous fêtons son passage au club des 22 printemps. Des le matin, le réveil sonne à la 9ème heure. Pas le choix, j'émerge de mon cocon douillet et je m'en vais m'engouffrer dans une cascade de fraîcheur, autrement dit, une bonne douche matinale. Une fois que j'ai fini de m'asperger, hop, je glisse rapidement dans mes sous-vêtements... Mais alors que j'essaie de démarrer ma journée...
BAM!
Mon téléphone décide de rompre le silence, s'égosillant à tue-tête. D'un pas pressé, je me dirige vers ma chambre, attrape mon brouilleur de calme matinal, autrement connu sous le nom de téléphone, balaye rapidement du regard la pièce... et voilà le coupable: Med joue les trouble-fêtes. Que faire? Bah, je décroche, évidemment.
Moi : Bonjour, mon amour , comment vas-tu ?
Med : bonjour chérie, comment vas - tu?
Moi : Je vais bien , mon amour, et toi ?
Med : J'ai pensé à toi toute la nuit , et je meurs d'envie d' embrasser tes lèvres.
Moi : En fait, c'est aujourd'hui l'anniversaire de ma copine Aïcha , tu viens avec moi ?
Med : avec plaisir , Je vais t'accompagner .
Moi : viens me chercher à 19h , J'ai la flamme de conduire.
Med : d'accord !
Une saturation de doux murmures m'a poussée à poser délicatement le combiné, fatiguée de ces tendres protestations d'affection incessantes. Ainsi, je suis tourmentée, m'habillant comme une ombre pour affronter le cœur battant de mon travail quotidien.
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Je dois filer au bureau rapidos, j'ai un rendez-vous à ne pas manquer avec un client. Je dois le balader dans tous les tracas de la ville pour lui montrer les meilleurs hôtels. Il me faut marquer des points. À peine débarqué au bureau, comme un chat sur ses gardes, je découvre que le bougre est déjà présent, préparé et prêt à y aller. Il n'attendait que moi.
Moi : Bonjour, M Kevin .
Kevin : Bonjour, Mademoiselle.
Moi : C'est monsieur Mohamed, qui, même s'il était fort pris par ses diverses tâches aujourd'hui, a pris la liberté de me déléguer auprès de vous. J'ose espérer que cela ne soulève aucune objection de votre part ?
