« Tu préfères les chevaux aux humains ? » Je demande après avoir tourné sa phrase en boucle dans ma tête quelques secondes.
« Oui... » Il répond dans un souffle.
Un animateur de centre aéré, un moniteur d'équitation, quatre semaines de camp au cen...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Harry
Le soleil filtre par les fenêtre dont les rideaux sont restés ouverts hier soir et mes yeux papillonnent en sentant leur douce chaleur lécher agréablement la peau nue de mon torse. Nous nous sommes couchés tard hier soir après nous être dans un premier temps endormis sur le canapé devant une série. Lorsque nous avons rejoint mon lit, il était un peu plus de deux heures du matin.
Louis dort à mes côtés, je le constate dans un premier temps grâce à sa respiration, lente et calme, et un sourire m'échappe lorsque je bascule ma tête vers lui. Je l'observe de longues minutes. Il dort, paisiblement. Allongé sur le ventre, ses deux bras sont enroulés sous l'oreiller sur lequel repose sa joue droite. Son visage est tourné dans ma direction et sa bouche est entrouverte.
Les rayons de soleil dansent aussi sur son dos nu. Sa peau bronzée et dorée brille au soleil et il est absolument merveilleux à regarder, c'est un bonheur pour les yeux de bon matin. Ses cheveux sont ébouriffés dans tous les sens sur l'oreiller et sa chute de reins est creusée dans la position dans laquelle il se tient actuellement.
Je ne peux pas empêcher mon regard de glisser sur son corps. Il est allongé sur le ventre, je respecte totalement ses désirs à cet instant précis. Il ne m'a jamais interdit de regarder son dos et je ne m'en retiens pas.
Ses fesses légèrement rebondies sont moulées dans un short de sport dont l'élastique large arrive pile au-dessus de la naissance de ses fesses, et je crois qu'il faut que j'arrête de l'observer ainsi, car mon bas ventre commence à se tordre d'une agréable manière.
Après un coup d'œil à l'écran de mon portable qui affiche 9h37, je réalise que nous avons bien dormi et que Louis ne m'en voudra surement pas si je le réveil maintenant.
Alors le plus lentement possible, avec la douceur et la légèreté semblable à celle d'une plume, je fais glisser le bout de mon doigt le long de son dos, traçant la ligne de sa colonne vertébrale jusqu'à la chute de ses reins. Sa peau frissonne inconsciemment à mon toucher et un léger sourire étire mes lèvres à cette vue. C'est toujours un plaisir de voir à quel point nos corps réagissent naturellement l'un à l'autre.
Prenant appui sur mon coude gauche, je bascule mon corps sur le côté pour me rapprocher de Louis et tendrement, je dépose mes lèvres une première fois contre son omoplate après les avoir humidifiés avec le bout de ma langue.
Frisson.
Je souris, satisfait et dépose un second baiser un peu plus bas, juste en dessous de son omoplate, au niveau de ses côtes.
Frisson.
Je me penche un peu plus en avant, mon buste basculé par-dessus son dos et dépose un baiser humide au niveau de sa nuque, juste en dessous de ses cheveux.
Soupir.
S'en suit une avalanche de baisers tout le long de sa colonne, retraçant le chemin effectué par mon doigt un peu plus tôt. Et le corps de Louis me répond.
