Chapitre 68

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La personne qui était depuis tout ce temps devant ma porte n'est que Antoine mais comment savait-il où je vivais ? Je n'avais pourtant dit a personne sauf ma mère ce qui est normale.

Moi- comment tu connais mon adresse ?

Antoine- maddy, tu pourrais m'ouvrir de sorte a ce que on se parle comme des gens normaux parce que là, on dirait un malade mental qui parle a une porte tout seul.

Je souris face a ce qu'il vient de dire puis je finis par ouvrir la porte et je retrouve Antoine avec un t-shirt blanc et un simple jean.

Moi- entre.

Il entre puis inspecte le lieu où il se trouve.

Antoine- joli appartement.

Je le remercie puis lui propose de boire un thé chaud ensemble qu'il accepte aussitôt.

On s'installe sur le canapé de mon salon avec le thé dans nos main.

Moi- ducoup, comment tu as su où je vivais alors que je ne t'ai rien dis ?

Antoine- je suis passé tout a l'heure chez ta mère et c'est elle qui m'a donné ton adresse. J'avais envie de te voir et je sais qu'il est tard mais je ne pouvais pas attendre demain, j'étais trop impatient alors j'ai débarqué directement chez toi.

Ce qu'il vient de me dire fait légèrement battre mon cœur mais je joue la dur a cuire malgré le faite que je l'aime toujours mais c'est bon j'ai assez été humilier par lui que je ne me laisserai plus faire quoi qu'il arrive.

Antoine- a quoi penses-tu ?

Je le fixe et sans savoir comment mais le visage d'Antoine est proche du mien. C'est marrant, je ne savais pas que notre proximité était si proche et je m'en étais même pas aperçu. Antoine baisse son regard vers mes lèvres, puis d'une lenteur, il rapproche son visage du mien puis son front se colle au mien. Je suis légèrement troublé par la situation qui se passe et mon cœur ne fait que de battre de plus en plus vite dans ma poitrine. Je me sens légèrement fiévreuse. C'est bien le seul homme a me faire un effet de fou mais je ne pouvais pas me laisser faire par lui après le mal qu'il m'a fait. D'un coup, il prend ma main avec la sienne puis pose ma main vers sa poitrine.

Antoine- tu sens mon cœur ?

Oh putain, son cœur bat très fort encore plus fort que le mien il me semble.

Antoine- j'espère que le tiens bat fort comme le mien.

Moi- arrête...

J'essaie de retirer ma main de la sienne mais il me l'a tient bien trop fort.

Antoine- maddy, tu m'aimes ?

Je souffle d'agacement et essaie encore de retirer ma main mais cette fois-ci, il me tire contre lui puis m'enlace dans ses bras, ses bras chaud qui me tiennent fermement contre lui, sa respiration que je sens sur mon épaule, son parfum qui attire mes narines. Je n'en peux plus, c'est beaucoup trop pour moi. Pleins d'émotions ressortent de moi.

Antoine- parce que moi je t'aime Maddy...

Mon corps me lâche après ces mots...

Mon Date, Mon EnnemiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant