Chapitre 49

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Le lendemain matin, j'avais aujourd'hui envie de sortir dehors. Prendre l'air, surtout me changer les idées.

Je sors de ma chambre puis arrive au salon où je constate Antoine assit en train de prendre le déjeuner.

Je passe derrière lui mais compte sortir de la maison sans montrer mon existence.

Jena- bonjour.

Je regarde rapidement Jena puis Antoine retourne sa tête pour croiser son regard au mien.

Je détourne aussi vite que possible mon regard de celui d'Antoine puis de Jena. Je fou un vent a Jena puis continue de marcher jusqu'a sortir de la maison pour me retrouver dehors dans l'air fraîche. Aujourd'hui, il fait gris, nuageux comme mon coeur.

Je marche et marche jusqu'a arrivé en ville où je me retrouve plus seule mais avec pleins de gens. Je me retrouve comme encerclé par ces gens. Personne ne me calcule et j'ai l'air perdu autour de tout ces gens. Ils marchent avec leur téléphone, a plusieurs, en famille... Sa vous ai déjà arriver de vous sentir seul au monde ? Et bien, je viens de le ressentir. Mon coeur est seul et j'ai besoin a ce moment précis-là d'être dans les bras chaud de quelqu'un. Je veux qu'on me réconforte, qu'on m'aime mais malheureusement personne n'est là.

Je vois au plus loin un arrêt de bus. Des gens attendent le bus sauf que moi je ne vais attendre aucun bus, je vais juste m'asseoir sur le banc de cet arrêt de bus.

Le soir est tombé, sa fait depuis ce matin, que je suis resté assise sur ce banc de cet arrêt de bus comme une pommé. J'étais perdu dans mes pensées. Il commence a pleuvoir et les goûtes de pluies s'abattent sur le toit de l'arrêt de bus d'abords doucement puis d'un coup plus fort que le début. C'est une grosse pluie et comme on dit, il pleut des cordes.

Je décide de sortir de l'abri et comme une abruti je me met sous la pluie qui tombe sur moi et d'un seul coup, je deviens toute mouillée de la tête au pied. Je reste debout sous la pluie sans bouger. J'écoute la pluie puis les voitures qui roulent.

D'un coup, je ne sens plus la pluie tombée sur moi car un parapluie me couvre de la pluie. Je porte mon regard a la personne qui me couvre de son parapluie et quand je croise mon regard a celui d'Antoine, d'un geste, je l'enlace dans mes bras et quand je suis dans ses bras je me sens au chaud et en sécurité.

Moi- dit moi que tu m'aimes.

Rien ne sort de la bouche d'Antoine. Il m'enlace a son tour avec beaucoup de chaleur. Sa tête se retrouve contre mon cou.

Antoine- j'ai eu peur de te perdre une nouvelle fois.

A ces mots, mon coeur se stoppe et a ce moment précis, j'ai compris que j'étais tomber amoureuse d'Antoine et je veux rester dans ses bras chaud pour toujours. Je respire l'odeur de la pluie et celle d'Antoine et j'avais compris que j'étais réellement amoureuse de lui.

Mon Date, Mon EnnemiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant