Bad Boys & Me

68.BREY

Je me réveille complètement perdue et me rappelle encore où je suis maintenant. Ça va faire plusieurs jours que je suis ici et je n'aie toujours pas vue la personne qui m'a kidnappée depuis...

Je ne sais même pas quelle jour ont n'est en faite. Si seulement il y avait quelqu'un qui pouvait me le dire.

Et d'un coup, comme si ma prière venait de se faire exaucé, un homme rentre dans la pièce complètement dans le noir depuis mon kidnapping. La lumière de l'extérieur m'aveugla le visage m'empêchant de voir qui est l'heureux élu à avoir réussi à me kidnapper depuis mon arriver à Miami...non non excusez-moi depuis ma connaissance ET rencontre des garçons. Je ne devrais pas oublier non plus rapprochement aussi.

J'insiste bien sur le mot.

Mon regard essaya de visualiser le visage de cet inconnu qui ne s'essaie de me regarder.

- Je peux vous aidez?...

Rien. Ok bon et bien...essayons autre chose alors.

- Quelle jours nous sommes?

- 10 mai.

Bref et sec mais moins brutal. Donc je viens de rater l'anniversaire de mon père, génial. Il a fallu que je commence à aller le voir régulièrement pour pouvoir me faire de nouveau capturer et rater son anniversaire.

- Quelle jours de la semaine nou-

- Mardi.

Donc ma crainte s'avérait être vrai alors. Ça ne fait pas quelques jours que je suis là mais bien une semaine, peut-être plus voir même. Le 7 mai était donc samedi dernier...

À cette penser, mon cœur fut comme déchirer. En 19 ans de ma vie je n'aie jamais j'ai bien dit jamais rater la fête de mon père, encore moins le jour de sa visite au cimetière. Je me sens comme être culpabilisée de n'avoir pas pu être là. J'ai l'impression de l'avoir trahi alors que ce n'est pas de ma faute mais la leurs à eux.

Une petite haine monte en moi. Je continuais à regarder l'homme devant et commença à m'énerver légèrement puisque la lumière de l'extérieur m'aveugla toujours.

- Est-ce que vous pouvez au moins fermer la foutu porte pour que je puisse enfin apaiser mes yeux?

Il le fait, d'un coup de pied sans me lâcher du regard et nous voilà de nouveau dans le noir. Finalement je me rends compte que je n'aurais peut-être pas dû dire ça comme ça me rendant compte que c'est moi qui suis captive et qu'il peut m'arriver n'importe quoi.

Une petite lumière s'allume du plafonnier et je fus face à une veste en cuir.

Je sens les problèmes arriver.

- Ça fait longtemps Breyley...

Attend quoi?