Bad Boys & Me

44.BREY

- HAAA!

Le bruit de son corps qui rentre en contact avec le tapis bleu résonne dans la salle. Il essaye de se redresser à cause de la fatigue mais tout ce qu'il fait c'est une grimace de douleur ce qui me fait rire.

- Tu m'as encore battu.

- N'as-tu pas honte jeune homme.

Je m'assoie à califourchon sur lui avec brutalité et son souffle se coupe sous mon poids.

- Je suis lourde à ce point?

- Ton corps non. Mais t'es grosse fesses oui.

- Ça fait partie de mon corps connard.

- Ne m'insulte pas pétasse.

- Je suis pas Marilou moi.

Nous explosons de rire dû à mon commentaire. À bout de souffle, nous reprenons notre respiration; mains liées, il m'attire vers lui.

- Viens là toi. Dit-il souriant

Nos lèvres se scellent dans un baiser langoureux. Ses mains qui étaient à l'intérieur de ma camisole, descende jusqu'à atteindre mes fesses et les empoignes me lâchant un fou rire contre ses lèvres. Elle remonte en caressant mon dos pour revenir à la même place. 

- J'adore serrer tes fesses dans mes mains. Marmonne-t'il dans mon cou.

- Hmm...pervers.

- Tu vas voir ce que le pervers va te faire.

Je criais de rire quand il inverse les rôles et commençait à me chatouiller les côtes. Ses chatouillements se remplace par des baisers dans mon cou. Je fermais mes yeux pour savourer ses baisers suaves qui descendait petit à petit jusqu'à mon ventre. Il remonte pour m'embrasser de nouveau mais avant ça, nos yeux se trouve. Je caressais sa joue et son nez de mon pouce c'est ma manière à moi de lui dire que je l'aime. Avec Zackary, je sais que c'est le bon j'en suis sûr et certaine et ça n'a rien avoir avec l'autre qui m'a brisé et en plus le pire dans tout ça, c'est qu'il avait raison. J'avais un faible pour lui...je commençais à tomber sous son charme mais lorsqu'il a dit ces mots...je me suis rattrapée bien vite.

Mais avec Zachary je ris et sourie tout le temps en sa présence. Alors oui je l'aime.

C'est indéniable...

Je sens ses lèvres rentrer en contacte avec mon nez ce qui me ramène à la réalité.

- Tu divagues encore.

...Si?

Ses yeux vairons me regarde avec un peu d'inquiétude. Je lui sourie pour le rassurer.

- Je t'aime ma chenille.

Aaah, j'adore quand il m'appelle comme ça.

Je scelle nos lèvres en signe de réponse.

Notre baiser se fait avec rapidité et nos langues se mêle. Il retire l'élastique de ma queue de cheval pour libérer mes cheveux et retire sa camisole par la suite. Le reste de nos vêtements s'éparpille dans la pièce.

Et c'est comme ça que nos peau rentre en contact l'un à l'autre.

Une chance que la salle de gym appartient à sa famille et que le sous-sol est réservé privé.

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Pour la première fois de ma vie, j'ai oublié ce jour important. Tellement important que ça m'était sortie de la tête.