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LES AMOURS PRÈS DU CIEL

Vive les mariés !

────── ҉ ───────

   — Chûya, tu es en train de tremper mon costume.
   — C'est pas de ma faute, dit Chûya en reniflant bruyamment.
   — Tu m'étouffes.
   — M'en fiche !
   — Chûya arrête de pleurer, aujourd'hui je veux juste te voir sourire, c'est mon mariage quand même, dit Fyodor, qui caressait depuis quelques minutes ses cheveux.
   — Je peux pas m'arrêter ! Je suis ému et tu vas m'abandonner...
   — Je vais pas t'abandonner Chûya, tu sais que rien ne va changer.
   — Mais tu vas partir en lune de miel !
   — Et je vais revenir !
   — Tu vas m'oublier, et t'auras plus le temps pour moi.
   Fyodor ne prit pas la peine de répondre, et continua de serrer Chûya dans ses bras. Cela faisait un moment qu'il s'était blotti contre lui et sanglotait avec désespoir, tandis que Fyodor essayait de le consoler, un sourire aux lèvres. Depuis que la journée était commencée, Chûya avait pleuré au moins cinq fois, et il avait même commencé avant que le mariage ne débute. Il avait évidemment fondu en larmes lorsqu'il avait aidé Fyodor à se préparer, à mettre son costume et coiffer ses cheveux. Il avait ensuite pleuré lors de la cérémonie de mariage, lorsque Fyodor était entré dans le sanctuaire, lorsqu'il avait échangé ses vœux avec Nikolaï, lors de l'échange des alliances et du baiser, et lorsqu'il avait fallu faire un discours. Et à présent que la soirée nocturne était entamée, il pleurait car Fyodor « allait l'abandonner pour Nikolaï. ». Fyodor l'avait alors entraîné à l'écart de la fête et des invités qui s'amusaient sur la piste de danse, et le consolait du mieux qu'il pouvait.
   Il le rassurait tant bien que mal et lui répétait qu'il n'allait pas l'oublier, mais Chûya continuait de pleurer et refusait de le lâcher, comme si s'écarter de lui le ferait disparaître. Cela ne dérangeait pas Fyodor, Chûya était comme son petit frère et il comprenait son émotion. Il s'était attendu à ce qu'il pleure, même s'il ne pensait pas qu'il pleurerait autant. Il le consolait alors avec amusement, tout en surveillant du coin de l'œil son mari qui était en plein slow avec l'une de ses tantes sur la piste de danse. Nikolaï ne devait plus être très sobre...
   — Chûya, tu pleures encore, s'exclama Ryûnosuke en s'approchant d'eux.
   — Je pense qu'il a un peu trop bu, expliqua Fyodor.
   — J'ai pas bu, je suis juste ému ! Et je veux pas que tu partes et que tu me laisses tout seul, dit Chûya en reniflant.
   — Chûya je suis avec Nikolaï depuis des années, notre mariage ne va pas nous éloigner, rassura Fyodor en riant.
   — Et puis t'as Dazai maintenant, ajouta Ryûnosuke.
   — Allez pleure pas, c'est le moment de faire la fête Chûya !
   — Mais oui, viens danser avec moi, demanda Gin en accourant vers eux. J'ai rattrapé le bouquet et j'ai même pas de cavalier ! J'ai déjà dansé avec Ryû, Fyodor, et Tachi, maintenant il faut qu'on danse ensemble.
   — J'aime pas danser, je suis minuscule en plus, dit Chûya. T'as qu'à danser avec Higuchi.
   — Mais elle m'écrase les pieds, gémit Gin. En plus elle ne regarde que Ryû.
   — D'ailleurs ça m'arrangerait qu'elle arrête..., dit Atsushi, qui tenait la main de Ryûnosuke.
— Peu importe, moi je ne regarde que toi, répondit Ryûnosuke en embrassant sa joue.
— Excusez-moi, est-ce que je peux la garder ?!
Fyodor tourna la tête vers la nouvelle arrivante, et vit que Yosano venait d'arriver près d'eux, une bouteille de vin à la main. Elle aussi faisait partie des « voisins insupportables », alors Fyodor et Nikolaï s'étaient naturellement rapprochés d'elle et ils avaient sympathisé. Mais Fyodor serait toujours surpris de voir à quel point elle pouvait aimer le vin. Elle ne comptait pas le ramener n'est-ce pas ?!
— Qu'est-ce que tu veux en faire ?
— Le garder bien sûr ! Il irait super bien dans ma cave !
— Toi aussi tu aimes le vin, s'exclama Chûya en lâchant Fyodor.
— Évidemment, le vin gouverne le monde, déclara Yosano en brandissant sa bouteille comme s'il s'agissait d'un trophée. Fyodor j'aurais préféré que tu lances une bouteille de vin plutôt qu'un bouquet de fleurs !
— Moi je préfère recevoir un bouquet de fleurs, dit Gin en montrant le bouquet de Fyodor et Nikolaï, qu'elle avait récupéré lors du lancer de bouquet.
— Oh c'est toi qui l'as eu ?! Tu vas te marier alors, félicitations, dit joyeusement Yosano en s'empressant d'embrasser Gin.
— Mais non...
— Non ?! Tu n'as pas de Roméo ?!
— Elle préfère les Juliette, déclara Ryûnosuke.
— Et sa Juliette préfère les dark Roméo, ajouta Chûya.
— Et le dark Roméo préfère les Roméo albinos, conclut Fyodor en jetant un regard entendu à Atsushi.
— Et bien et bien ! Ça fait beaucoup de Roméo... En tout cas elle est nulle ta Juliette, tout le monde sait que les Roméo craignent, affirma Yosano d'une voix fluette, qui trahissait son état d'ivresse. Moi je veux bien être ta Juliette !
— Vraiment, dit Gin avec surprise.
— Oui ! Attends juste que je retire ça !
Yosano se pencha devant la jeune femme et défit la lanière de ses escarpins, sûrement pour être plus à l'aise en dansant. Et si Atsushi et Ryûnosuke détournèrent les yeux pour ne pas voir le décolleté de sa robe qui tombait en avant et révélait une partie de ses seins, Gin ne se gêna pas pour tout regarder. Yosano l'avait probablement fait exprès car elle se releva en souriant, satisfaite d'elle. Elle plaqua ses escarpins sur le torse d'Atsushi, ainsi que sa bouteille de vin, et tendit la main à Gin.
— Allons montre à ta Juliette ce qu'elle rate !
— D'accord, sourit Gin en prenant sa main.
Elle donna son bouquet à son frère pour s'en débarrasser, et partit avec Yosano sur la piste de danse. C'était pour le moins inattendu, Fyodor ne pensait pas qu'elles feraient attention l'une à l'autre, mais elles formaient un couple assez amusant ! D'ailleurs, en parlant de couple, ou était passé son mari ? Tout à l'heure il l'avait vu s'amuser à faire faire une chenille aux invités, mais maintenant il ne le voyait plus. Et étrangement, il ne voyait plus Dazai et Ranpo non plus.
— Chûya, tu n'aurais pas vu Dazai, demanda Fyodor en scrutant la foule d'invité.
— Non, il doit être en train de s'amuser avec Ranpo, dit Chûya en essuyant ses joues humides.
— Nikolaï était avec eux tout à l'heure et ils commençaient à faire n'importe quoi alors... Oh non, mais qu'est-ce qu'ils font ?!
— Quoi ?
Fyodor ne répondit pas et se dirigea d'un pas pressé vers le buffet. Il venait d'apercevoir son mari, et comme il s'y attendait, Nikolaï s'était rallié à Dazai et Ranpo pour faire des bêtises. Ils étaient tous les trois autour du buffet, accroupis juste devant la pièce montée de choux. Fyodor s'approcha en sentant qu'il allait commettre un meurtre, et vit avec désespoir qu'ils étaient littéralement en train de grignoter la pièce montée. Tous les invités autour les dévisageaient avec incrédulité, ils devaient tous prendre le marié pour un fou. Très bien, où étaient les papiers du divorce ?!
— Je peux savoir ce que vous faites ?!
— Oh Fyodor ! Bah euh... tu vas rire mais on s'est dit que ça serait drôle de casser la pièce montée donc on voulait prendre les choux à la base, mais ils sont tous collés au nougat alors on y arrivait pas et on s'est dit qu'on allait les manger directement là..., dit Nikolaï avant de s'interrompre en voyant le regard noir de Fyodor.
— Et c'est super bon, dit Ranpo en léchant de la crème qu'il avait sur ses lèvres.
— Désolé, j'ai essayé de les arrêter..., s'excusa Poe, qui tentait vainement de tirer Ranpo en arrière.
— C'était mon idée, il faut rendre à Dazai ce qui est à Dazai, dit fièrement ce dernier.
— ... Debout, dit sèchement Fyodor.
Nikolaï obéit immédiatement, et Dazai et Ranpo comprirent qu'il valait mieux l'imiter car ils se levèrent à leur tour. Fyodor croisa les bras sur sa poitrine et fusilla du regard son mari, ignorant royalement son expression toute penaud.
— Bébé je-
— Tu peux me rappeler ton âge déjà, coupa sèchement Fyodor.
— ... Vingt-huit ans mais-
— Et qu'est-ce qu'il se passe aujourd'hui ?
— Je...
— Réponds à ma question.
— C'est notre mariage-
— En effet. Notre mariage. Et là tu viens de détruire ta pièce montée.
— Oui mais-
— Nikolaï Vassilievitch Gogol, tu as vraiment, vraiment, de la chance que je t'aime et qu'il y ait des personnes autour de nous, sinon je n'aurais aucune pitié pour t'envoyer dans les camps de mon pays et te faire faire des travaux forcés jusqu'à ce que tu meures de fatigue. Et vous deux, je vous interdis d'approcher mon mari, et débrouillez-vous pour réparer vos bêtises.
— Euh tu me donnes pas d'ordre, tenta Dazai pour se rebeller, avant que Chûya, qui avait suivi Fyodor, ne lui frappe sèchement la tête.
— Espèce de crétin, marmonna Fyodor en prenant la main pour tirer Nikolaï vers lui.
Nikolaï ne chercha pas à rester avec ses nouveaux amis et suivit Fyodor sans broncher, sous le regard amusé de leurs invités. Fyodor ignora leur regard et fit comme si de rien était, et éloigna autant que possible son mari du buffet. Sigma, l'un de ses meilleurs amis, les rejoignit rapidement, et jeta un regard désolé à Fyodor.
— Je suis désolé, je t'avais promis de le garder à l'œil mais quelqu'un m'a accosté et j'ai paniqué !
— T'inquiète pas, Nikolaï est un cas désespéré, tu n'aurais rien pu faire pour lui.
— Mais tu m'aimes quand même, demanda timidement Nikolaï.
— Hmm non. Là non. Tout à l'heure je t'aimais, demain je t'aimerais, mais là tu vois j'hésite.
— Si vous voulez je peux essayer de recouper la pièce montée pour retirer l'étage du bas, proposa Sigma.
— Tu es adorable mais je préfère que Dazai répare ses âneries lui-même.
— Comme tu veux. Et Nikolaï, tu as de la crème sur toi, prévint Sigma en pointant sa chemise du doigt. Il faudrait peut-être que tu nettoies ça ?
— Oh non, j'avais pas vu !
— Tu manges vraiment comme un enfant, soupira Fyodor.
— Mais non !
— Ça fait trois ans qu'on vit ensemble et je ne t'ai jamais vu manger sans tacher tes t-shirt.
— Au moins tu as l'habitude, dit Sigma avec un petit rire.
— Mais tu m'aimes quand même !
— Pour le meilleur et pour le pire, oui, soupira Fyodor. On va nettoyer ça aux toilettes, viens. Sigma tu peux aider Chûya à gérer les enfants ?
— Bien sûr !
— Merci.
Fyodor tira une nouvelle fois Nikolaï vers lui et l'entraîna cette fois-ci vers les toilettes, qui se trouvaient en dehors de la salle de réception. Son mari était désespérant, il avait l'âge mental d'un enfant de dix ans. Et lui qui détestait Dazai, il avait fallu qu'il devienne son ami aujourd'hui et qu'ils décident de faire des bêtises ensemble. Mais c'était prévisible, Fyodor aurait dû s'y attendre et empêcher cela.
Il était agacé, mais en même temps, il n'arrivait pas à s'énerver contre Nikolaï. Il n'en avait pas envie, pas aujourd'hui, et il ne voulait pas que son mariage soit gâché par une pièce montée grignotée. Alors, il ferait payer ce dérapage à Nikolaï plus tard.
— Si tu te comportes bien jusqu'à la fin de la soirée, je te pardonnerais peut-être et je ne me vengerais pas trop fort, annonça Fyodor en entrant dans les toilettes.
— Je serais sage promis !
— Il y a intérêt, sinon ta lune de miel tu la feras avec ta tante, menaça Fyodor en poussant son mari vers un lavabo.
— J'adore quand t'es aussi autoritaire, répliqua Nikolaï en retirant son veston pour le nettoyer.
— Tu devrais pas aimer ça, je te signale que c'est mauvais signe pour toi, fit remarquer Fyodor en s'adossant au mur près du lavabo.
— Oui mais t'es super sexy quand t'es en colère, et ça ne peut que m'exciter.
Fyodor haussa un sourcil, alors que Nikolaï passait lentement son pouce sur sa lèvre pour la nettoyer, en lui lançant un regard bien plus sombre que quelques minutes plus tôt.
— Nos invités sont juste à côté, rappela Fyodor en comprenant où il voulait en venir.
— Depuis quand ça te dérange ?
— Depuis que c'est notre mariage, nettoie ton costume au lieu de te faire des films.
— Comme tu veux. Ma chemise est tâchée, ça ne te dérange pas si je la retire pour la nettoyer, n'est-ce pas ?
— Pas du tout.
Nikolai sourit et déboutonna sa chemise, pour se retrouver torse nu devant le miroir aussi du lavabo. Il fit comme si de rien était et nettoya son costume, tout en s'arrangeant pour exposer ses muscles gonflés à Fyodor. Il était vraiment désespérant... Mais son petit jeu marchait parfaitement sur Fyodor, et il avait du mal à rester impassible. Comment pouvait-il rester de marbre face à l'homme qui venait de devenir son mari ? Il n'y arrivait pas en temps normal, alors le jour de son mariage...
Et Nikolaï était d'une beauté incomparable aujourd'hui, même sans le haut de son costume. Ses yeux étaient soulignés de longs traits blancs qui reluisaient et étiraient ses paupières, ses cils étaient allongés au-dessus de ses iris, et les traits de son visage marqués par un léger maquillage. Mais ce que préférait Fyodor, c'était la façon dont ses cheveux étaient coiffés. Une grande partie de ses mèches avait été coiffée en fines tresses au travers desquelles des perles nacrées passaient. Plusieurs petites tresses ornées encadraient son visage, mêlées à ses mèches rebelles qui tombaient autour de ses yeux. Et surtout, la partie plus longue de ses cheveux était attachée en une longue queue de cheval basse. Ses cheveux tombaient gracieusement dans son dos, glissant entre ses omoplates, et des fils d'argent brillaient dedans. Lors de la cérémonie, ils étaient lâchés et Nikolaï était encore plus séduisant, mais il avait préféré les attacher pour danser.
— Tu me dévores du regard, lança Nikolaï en jetant un coup d'œil à Fyodor.
— J'admire juste mon mari.
— Moi aussi j'ai très envie de t'admirer, déclara alors Nikolaï en s'approchant pour se mettre devant lui, de manière à ce qu'il soit bloqué contre le mur.
— Je t'en pris fais-le.
— J'ai le droit de t'admirer avec mes lèvres ?
— Tu ne risques pas de voir grand-chose avec tes lèvres.
— Hmm moi je pense que si.
Nikolaï se pencha vers lui et déposa ses lèvres sous sa mâchoire, juste au-dessus du tour du cou qu'il portait. Il embrassa avec lenteur la dentelle noire qui ornait sa gorge, ainsi que la perle sombre qui était suspendue au milieu du collier. Puis il descendit le long de sa gorge, en suivant le chemin de son air comme pour lui voler son souffle, et embrassa le creux de son cou. Il pouvait y accéder facilement, et caresser ses clavicules sans avoir à toucher à sa chemise, car Fyodor portait une chemise en soie blanche déjà déboutonnée. Mais Nikolaï ne sut pas s'en contenter, car il écarta les pans de sa chemise pour embrasser le haut de sa poitrine, et Fyodor se mordit la lèvre avec envie.
L'écho des musiques qui défilaient dans la salle de réception paraissait de plus en plus faible, tout comme les voix des invités et les pas qui foulaient la piste de danse. Fyodor les entendait de moins en moins, chaque baiser de Nikolaï l'enfermait un peu plus dans une bulle où seuls lui et son mari existaient, et il avait de moins en moins envie de retourner à la réalité. Pourtant il savait que c'était leur mariage, ils devaient retourner avec leurs invités et se retenir, ils auraient toute leur nuit de noces pour se satisfaire... Et malgré cela... Il ne pouvait s'empêcher de désirer Nikolaï.
— Arrête, on a une nuit de noce pour faire ça, dit Fyodor sans conviction.
Nikolaï ne l'écouta pas. Il glissa ses mains derrière sa taille et défit le lacet qui tenait fermé le corset que portait Fyodor autour de sa taille. Son magnifique corset blanc, lui aussi en dentelle, se défit aussitôt et tomba à ses pieds, et Nikolaï en profita pour défaire les boutons restant de sa chemise.
— Et qu'est-ce qu'on va dire aux invités quand ils verront qu'on a disparu ?
— Qu'on consommait simplement notre mariage, proposa Nikolaï en lui retirant sa chemise. J'ai le droit de faire l'amour à mon mari non ?
— Techniquement non, tu dois attendre la nuit de noces.
— On devait aussi rester vierge jusqu'à cette nuit et pourtant... Les traditions, qu'est-ce que c'est au fond ?
— Oh rien, et puis ce n'est pas comme si toutes tes tantes te pensaient encore vierge et que nos amis étaient juste à côté, répliqua Fyodor en souriant.
— Ce n'est qu'un détail ça. Oh et puis de toute façon tout le monde à l'habitude de nous attendre, donc on va pas changer ça !
— T'as de la chance que je t'aime, dit Fyodor en verrouillant la porte des toilettes, avant de se tourner face au mur. Allez envoie moi au paradis.
— C'est comme ça que je t'aime chéri, murmura Nikolaï en baissant leur pantalon.
— Si tu me fais crier tu peux dire adieu à notre nuit de noces.
Nikolaï sourit et prit Fyodor dans ses bras. Il couvrit sa bouche d'une main pour étouffer ses futur gémissements, et maintint sa taille contre lui avec son autre bras. Fyodor s'appuya contre le mur et ferma les yeux en se faisant posséder, submergé par un merveilleux sentiment de bien-être.
— T'inquiète pas mon amour, susurra Nikolaï à son oreille. Je vais y aller doucement pour que tu puisses continuer de danser... Ou pas.

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Vous allez me dire que personne n'a remarqué l'image que j'avais mise en médias hier ? 😭
Sans faire exprès j'ai cliqué sur la mauvaise image dans ma galerie et je vous ai sorti mon programme de cours, et personne s'est dit que y'avait un truc bizarre ? 😭
J'ai trop honte, je suis trop une ksos comme dirait ma sœur (je n'ai aucune idée de comment ça s'écrit).

Bref euh-
La prochaine fois svp dites le moi 🥲. Pour ma défense, je me réveille tous les jours à onze heures pour corriger le chapitre qui va sortir, alors je suis toujours un peu à côté de la plaque et je vois pas tout ce qui va pas dans mon chapitre 😭 Je suis la pire en fait-

En tout cas cette intrigue est terminée et j'espère qu'elle vous a plu 🥲
La prochaine vraie intrigue débutera donc lundi et sera centrée sur le Shin soukoku 🤭 C'est mon intrigue préférée donc j'espère qu'elle vous plaira !

Zoubi zoubi mgl 🦦
(Ceux qui connaissent pas mon compte doivent pas du tout comprendre pour je signe comme ça mes chapitres 🫠)

Recueil Bungo Stray DogsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant