après le basculement de Vador dans le côté obscure, de son duel sur Mustafar et de sa lamentable défaite, Obi Wan ramène sa femme mourante, heureusement elle survit et met au monde 2 jumeaux mais brisée par les évènements et les choc qu'elle a subi...
Ils sortirent en trompe surpris de ce qu'il venait de leur arriver. Ils s'inquiétèrent tout deux pour la santé de la femme au masque, mais... il leur ai dit qu'elle allait bien... peut-être lui avait il retiré son masque... non ! Son identité secrète serait donc détruite ?
Kanan regarda l'enfant courir inquiet. Il se sentait bizarre, cet homme était bien mystérieux, sa présence dans ce quartier encore plus. Ils rejoignirent le ghost inquiet, ils entrèrent, les 4 autres étaient déjà réveillé mais leur arrivé leur fit un choc. Hera se retourna et les regarda.
Hera : que se passe t il ? Qu'avez vous ?
Sabine venait à peine de se lever, elle était encore endormi par la nuit et les fixa sans qu'aucun sentiment ou réaction se fit dans ses yeux.
Erza : masque rouge a été attrapé par l'empire.
Sabine : hein ? Ça ne va pas d'entrer comme ça ? Je suis en train de petit-déjeuner !
Zeb : tu te réveille doucement, toi...
Sabine : exactement, ce n'est pas une raison pour...
Erza : MAIS MASQUE ROUGE EST AUX MAINS DE L'EMPIRE !
Elle fit un mouvement de recul surpris de cette réponse si violente.
Hera : où est elle ?
Erza : dans la prison de Lothal, il faut se dépêcher avant qu'ils ne la déplacent dans un autre secteur !
Sabine : ce n'est pas là que le sénateur en exil voulait se rendre ?
Hera : elle se lève. Alors... nous allons avoir le plaisir de le rencontrer là bas. Prépare toi.
Sabine : maintenant ?
Quelques minutes plus tard.
Ils étaient autour d'un plan, silencieux. Sabine avait fini de se préparer énervé, elle regarde ses bombes, en retrait. L'enfant s'approcha d'elle.
Sabine : je te hais.
Erza : pardon pour se lever un peu trop.... Brutal.
Sabine : très drôle. Je te conseille de ne pas refaire ça, si tu ne veux pas finir la tête taguée.
Il déglutit, inquiet par la menace de la jeune fille. Il s'éloigna et regarda les autres faire le plan, ils voulaient entrer et ressortir par les égouts après... le reste il n'y comprenais rien. Il resta pensif, peut-être la vision qu'il lui avait raconté l'avait touché et avait elle voulu préparer la venu du sénateur.
Mais que faisait elle dans un bar ? Peut-être, s'alcooliser car il lui avait fait revenir des mauvais souvenirs... son passé lui était si flou, il semblait marcher à l'aveuglette en lui parlant. Il soupira releva sa tête, et fit demi tour.
Bref, il se sentait coupable.
********
l'interrogatoire était terminé, on l'avait torturé bien évidement après... pour le fun. On lui avait posé des questions idiotes, tentant d'en savoir plus sur elle. Elle n'avait parfois rien, ou dit des mensonges, ils savaient sûrement son âge, ils n'avaient pas vu son visage, c'était l'essentiel.
Elle était là accroché, stupidement, les mains liée collé contre le mur. Elle était comme crucifié. Elle était pensive, elle regardait les soldats qui passaient. Elle chantonnait un air que lui chantait sa mère... Jobal Naberrie quand elle était petite, quand elle était triste, perdue et seule, quand elle avait peur, elle était stressé durant sa jeunesse à l'académie royale.
Elle avait été là, dans certains moments importants de sa vie, pas les plus importants mais... elle ne l'avait abandonner, elle avait été toujours là, à la soutenir, à la voir grandir... et mourir. Elle ne l'avait pas vu depuis... 14 ans. Sa mort l'avait sûrement énormément affecté, elle l'avait pleuré longuement. Et là, sa fille... même adoptive, l'avait abandonné, lâchement. Elle était parti, elle n'avait rien laissé, elle était morte d'un soir. Elle avait dû recevoir cette nouvelle par message.
Elle imaginais sa tête devant le mail qu'elle lisait, la tristesse et les larmes qui coulaient. Le message devait être court avec peu de mot : Padmé Naberrie est morte tel jour à tel heure. Son corps est à Polismassa, venait le chercher.
Elle imaginais les larmes, de la femme d'âge mur et de sa sœur trouvé son faux corps complètement inerte, sur un tapis. Elle soupira se rappelant toute ses horreurs. Ses servantes aussi... Yané, Dormé, Rabé, Sabé, Eirtaé, Saché... quelle a été leur tête quand elle ont vu et su, leur dame morte ! Elles qui avaient du temps ensemble malgré les chocs et les évènements qu'il y a eu sur Naboo !
Elle semblait avoir tout massacré, tout écrasé, elle n'était plus rien. Si elles la voyaient, si ses parents la voyaient, ils auraient devant un corps, sans âme et sans sentiment.
Un vide,
un trou noir,
Rien qu'un masque rouge.
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