Scène 57 : confession

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ils décidèrent de courir, paniqué, de peur que des impériaux les trouvent. Elle surveillait le gamin, qui était plus inquiet qu'elle.

Padmé : où allons nous ?

Erza : il regarda autour de lui inquiet. Il entend des bruits, des cris. Elle lui pris la main pour le calmer, cela ne servit à rien. Il fut apeuré encore plus.

Padmé : ne crois pas, Kanan. Pourquoi aurai je fait ça ?

Erza : il la dépassa, et lui fit un signe. Elle le regarda surpris. Suis moi... il s'élancèrent dans les égouts. Les impériaux suivaient les autres. Ils avaient de la chance.

Ils marchèrent longtemps épuisé. Il s'arrêta sur de lui. Il tourna sa tête. Il avait trouvé, la trappe était fermé, elle se monta à l'échelle silencieuse. Elle tourna la tête et le fixa.

Padmé : tu es sûr ?

Erza : oui, oui. Elle l'ouvra d'un coup de sabre. Cette trappe était trop petite pour qu'elle puisse donner dans la rue. Alors, où l'emmenait il ? Elle lui obéis malgré ses doutes. Elle entra dans une maison. Abandonnée...

détruite.

Le garçon entra, en faisant une mine triste. Elle venait de comprendre. Elle le regarda.

Erza : la fuite et le meurtre du sénateur vont faire bouger les choses.... Mieux vaut rester à l'intérieur...

Padmé : elle le regarda et soupira. C'était ta maison...

Erza : ma maison ? Plutôt celle de mes parents.

Padmé : qui les a tué ?

Erza : l'empire.

Padmé : cela ne fait pas de doute. Pourquoi ?

Erza : des rebelles... il shoota dans un cailloux. Il descendit dans un petit endroit fermé et montra une radio. Elle comprit... fils de rebelle...

Padmé : les fêtes lié au jour de l'empire vont avoir lieu... il...

Erza : je n'ai pas envie d'y aller.

Padmé : parce que tu n'aime pas l'empire.

Erza : parce que c'est mon anniversaire.

Padmé : c'est pour ça que tu es si maussade ?

Erza : oui... le jour de l'empire, le pire jour de l'histoire, il a fallu que je naisse, ce jour là.

Padmé : il y a eu des jours plus sombres...

Erza : ah oui ? Vous n'avez pas changé d'identité, le jour de l'empire ?

Padmé : le suivant. Disons, que je n'ai pas tenu longtemps. Elle sourit. Il la regarda, sa peur semblait passer. Elle releva les yeux. Il lui fit un signe, il montèrent sur le toit et s'assirent pour regarder la vu. La nuit commençait à tomber. Elle lui tendis une gourde. Il but et lui donna. Elle en bu un peu.

Erza : qui êtes vous ? Je veux dire... êtes vous un enfant de riche ? Un enfant des rues ? Un enfant ayant ses parents ?

Padmé : un enfant des rues... un enfant du peuple, un enfant de personne aisé. Disons que je suis bien tombé... mais cela n'a pas changé ce que je suis et ce que je vaux. J'ai l'impression de redevenir ce que j'avais été enfant. Une personne seule, perdue, qui cherche à survivre.

Erza : vous avez souffert.

Padmé : sûrement plus que toi. Mais... je n'en suis pas morte, c'est l'essentiel.

Erza : survivre... un bien grand mot...

Padmé : n'est ce pas le but de la vie ?

Erza : vous avez déjà été amoureuse ?

Padmé : tes questions commencent à être un peu gênantes et...

Erza : dites moi.

Padmé : tu es amoureux ?

Erza : non.

Padmé : heureusement. C'est la pire chose de la galaxie, la pire torture.

Erza : l'amour... vous a t il tué ?

Padmé : elle tourna la tête. Des fois. Ils étaient bien assis là. Quelques heures plus tard, après avoir tenté d'appeler ou de joindre les autres compagnons, le feu d'artifice commença.


Star Wars : Masque Rouge, un jedi ou un sith ? ( anidala )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant