Star Wars : Masque Rouge, un jedi ou un sith ? ( anidala )

Scène 134 : fin de l'histoire

6 mois plus tard, Coruscante.

Elle regardait paisiblement le ciel de Coruscante, pendant qu'elle écoutait les informations. Les populations avaient éradiqué une bonne partie de l'empire et la nouvelle république venait d'être fondé. Elle soupira fermant les yeux, à chaque fois qu'elle entendait des nouvelles venant de monde dont l'empire perdait son influence.

La galaxie devenait libre, l'empire allait bientôt être oublié, incapable de se reconstruire après la mort de son chef. Elle était revenu dans son appartement que lui avait donné le sénat. Il y a longtemps.

Elle était seule, vivant dans ce palace immense, vide et poussiéreux. Son père était venu lui dire sous sa forme de fantôme, que la rébellion à la ville des maudits avait été maté par les autres familles et ceux qui avait constitué cela aller être puni.

De plus... son père lui a confié qu'Anakin était bien arrivé à la ville et avait réussit à sortir sans problème. Son mari avait discuté un peu avec son beau-père découvrant ainsi la vie dans cette ville.

Elle, elle n'avait pas envie de faire cette maudite opération pour son coeur, elle n'avait plus rien à faire alors pourquoi s'accrocher à la vie ? Alors, elle était en robe de chambre faisant des allés retours entre la cuisine et sa chambre, ou entre la porte, pour récupérer à manger, et sa chambre.

Elle restait allongé, elle ne savait pas combien de temps lui restait elle à vivre. Elle s'accrochait, peut-être un peu trop.

Un jour, elle sentit une violente pulsation dans son coeur, elle s'allongea comprenant que c'était la fin. Elle tourna la tête vers la fenêtre.

Padmé : j'ai fait ce que j'avais à faire... c'est parfait... elle entendit un bruit, elle tourna la tête. Elle ne pouvait pas se lever prise d'une violente crise de douleur. Une jeune femme et un jeune homme entrèrent dans la pièce : ses enfants.

Leia : Maman ? C'est nous ! On va appeler un médecin ! Tout ira bien !

Luke : on ne peut pas l'amener à l'hôpital, elle y passerai durant le trajet.

Leia : pourquoi as tu voulu t'éloigner de nous ? Pourquoi t'es tu enfuit ?

Padmé : elle tendit sa main vers le masque qu'elle avait posé sur la table. Elle la regarda. Ce masque...

Leia : accroche toi, on...

Padmé : n'aie pas peur que je meure Leia. J'ai vécu.

Leia : hein ? Mais, tu ne peux pas m'abandonner !

Padmé : jamais ne t'abandonnerai, j'ai été, je suis et je serai toujours avec toi.

Leia : arrête de faire de la philosophie et...

Padmé : ce n'est pas de la philosophie. C'est la réalité. Elle lui prit la main en pleure.

Luke : tu vas devenir un fantôme de force ?

Leia : que raconte tu ?

Padmé : non... j'ai fait trop d'horreur, pour le mériter. La force a voulu que je ne connaisse pas de fin, à ma mort j'irais dans une ville... une ville unique. Et un jour, vous me rejoindrez mes enfants.

Luke : hein ?

Padmé : votre père y est en ce moment même et m'attends.

Leia : elle ne délire pas ?

Luke : non... j'en ai déjà entendu.

Padmé : peut-être réussirai je un jour à devenir ce que tu as dit, une chose pure...

Leia : pourquoi le médecin ne vient il pas ? Ce... ce n'est pas normale.

Padmé : elle trembla, sentant qu'elle allait les quitter. Leia, Luke... promettez moi de toujours, toujours faire passer en premier la famille.

Leia : que... d'... d'accord, maman. Je te le promets.

Padmé : c'est ça le plus important. Elle ferma les yeux, et ne les rouvrir plus jamais dans ce monde. Luke et Leia éclatèrent en sanglot, complètement effondré par la mort de leur mère.

******

Elle sentit quelqu'un lui prendre la main. Elle entendit son nom, des cris, elle ouvrit les yeux surprise.

Anakin : Padmé... tu te réveille ? Je commence à trouver le temps long ! Elle ouvrit les yeux. Elle se releva.

Padmé : où suis je ?

Anakin : là où tu m'a envoyé, coquine ! Il était assis silencieux dans un champs de fleur, il avait repris le corps d'un homme de 22 ans. Il la regardait.

Padmé : c'est jolie.

Anakin : ici, pas là bas. Il pointa du doigt l'immonde nuage de vapeur que créait la ville au loin. on peut rester ici, non ? On est bien... loin de tout. Elle lui sourit amusé.

Padmé : tu voudrais qu'on s'amuse égoïstement alors que là bas ils souffrent ? Nous avons une nouvelle rébellion à mener dois je te rappeler !

Anakin : il sourit. Oui, mais prenons d'abord un peu du bon temps... il s'allongea sur elle et l'embrassa, amoureusement.