FAMOUS ~Bill Kaulitz~

Chapitre 5: Il Est Chiant Celui-là

Bill

Je suis entrain de descendre les escaliers en cherchant mon frère.

- Tom ? T'es où ?

- canapé ! Il cri.

Je me dirige vers le salon et le trouve affalé sur le canapé entrain de regarder la télé.

- je vais te tuer toi ! Putain, faut que t'arrêtes de remettre des trucs vides au frigo ! Je m'écrie en lui donnant un coup de pied dans les côtes.

- tu fais chier Bill !

Il grogne de douleur et me fusil du regard.

- le langage Tom ! Et Bill a raison, quand c'est vide ça va à la poubelle. Par contre toi Bill, évites de frapper ton frère. Intervient notre mère.

- oui maman. Mais demande à ton fils d'arrêter de viser mes côtes ! J'ai déjà un bleu de l'autre jour.

Ma mère se tourne vers moi les poings sur les hanches et les sourcils levés.

- c'est pas de ma faute si il est chiant. Je souffle.

- c'est ton frère. Alors arrête de le martyriser.

- mais ça serre à ça un frère !

- peut-être mais Tom est mon fils. Alors tu ne le frappe pas. Elle contre.

Après ça elle s'en va pour répondre à un appel.

- j'ai toujours su que j'étais l'enfant préféré. M'informe Tom en croisant les bras derrière sa nuque.

Je lui fou une tape sur la cuisse à laquelle il répond par une insulte.

- bon qu'est-ce que tu veux ?

- bah rien ? Je réponds.

- normalement quand t'es casse couille tu veux quelque chose. Aller accouche !

- oui bon j'avoue... Aide moi à faire mon sac pour aller chez papa s'il te plaît.

- ah non tu te démerdes Bill !

- aller s'il te plaît ! Je galère à fermer ma valise ! Ça prend deux secondes ! Je plaide.

- j'ai pas envie Bill. Il râle.

Je l'attrape par le bras et essaie de le tirer hors du canapé.

- Tom s'il te plaît !

- c'est mort petit frère ! Et dégage, je vois pas la télé.

Il me repousse grâce à un coup indolore au niveau de l'abdomen.

- aides moi ! Fais pas le connard allé !

Il me regarde un instant mais finit par souffler et se lève.

- merci Tom!

Je remonte rapidement et l'entraine à ma suite jusqu'à ma chambre.

- on part seulement une semaine chez papa, tu le sais ça ? Il questionne ahuri par la quantité de vêtements qu'il y'a.

Je lève les yeux au ciel et m'assoie sur la valise et lui demande de fermer la tirette.

Il râle mais s'exécute avec un certain mal.

- non mais il me faut plusieurs tenues ! Imagine qu'il y est un problème d'origine x ou y ! Il faut que j'ai plusieurs options. Je lui explique.